D'ici à la fin du mois de mars, l'OL affrontera plusieurs adversaires directs dans la lutte pour le maintien. Un calendrier qui aura son importance pour la suite.
A la lecture du calendrier de l'OL d'ici à la mi-mai, qui marquera la fin du championnat, il est très tentant de diviser le programme en deux. Tout d'abord, entre la fin du mois de février et début avril. Sur cette période, les Rhodaniens devront défier Metz (23/02), Lens (03/03), Lorient, Toulouse, Reims et Nantes. Sans oublier le parcours en Coupe de France qui se poursuivra mardi face à Strasbourg.
Actuellement 11e, l'Olympique lyonnais s'apprête à affronter tous ses concurrents directs ou presque dans les jours à venir. "Ce sera un élément charnière. Les semaines qui arrivent seront déterminantes pour le maintien du club, et peut-être pour regarder vers le haut, a acquiescé notre consultant Nicolas Puydebois dans Tant qu'il y aura des Gones. Si tu veux rester en Ligue 1, Metz, Lorient et Toulouse seront des rendez-vous décisifs. Cela permettrait d'obtenir des points face à des adversaires sur le papier abordables, et donc conserver cette dynamique."
Sans faire de grandes projections, il est quasiment certain que si Alexandre Lacazette et ses partenaires gardent leur lancée, ils seront vite sauvés. Dans le cas contraire, la situation pourrait se compliquer au vu du menu des dernières journées.
Une fin de saison difficile sur le papier
Mi-avril, il faudra accueillir Brest, puis aller à Paris, avant de rencontrer Monaco et Lille. Les ultimes rendez-vous face à Clermont et Strasbourg devraient, sur le papier, être moins difficiles. Moins difficiles, possiblement, mais potentiellement pas moins cruciaux si le classement des lyonnais se situe dans la zone rouge.
Le champion de France 2003-2005 avec l'OL y voit lui une belle opportunité de travailler en vue de la suite. Un éventuel strapontin européen n'est pas non plus à exclure, mais il faudra pour cela être parfait. "Même si on ne se prend pas à rêver, ça prépare la saison prochaine avec la philosophie mise en place par Pierre Sage. Lorsque tu es maintenu, tu peux travailler des circuits de passes, le repli défensif et des ressorties de balle, tu es plus libéré. Je pense que l'équipe a la capacité de le faire, a affirmé Nicolas Puydebois. On peut vivre une fin d'exercice agréable, voir si l'on peut rivaliser contre ses formations."
textor a joué tapis , banco !
Punaise Nico ça fait un moment que le finaliste de la Coupe de France n'est plus qualifié pour l'Europe 😉
En revanche si le vainqueur de la coupe est le même que celui du championnat, ça libère une place en C3 au classement, non ?
C'est ce qu'a dit Nico en tout cas.
D'ailleurs, je ne me souviens pas que le finaliste de la coupe de France était qualifié pour l'Europe. Je n'étais pas né si ça a bien existé.
En C3 pour celui qui est qualifié en C4, ce qui libère cette place en C4 pour le 7e de L1
Non, Nico disait que si Paris gagne la coupe et le championnat, le finaliste de la CDF serait qualifié pour l'Europe.
Auparavant, le finaliste de la CDF était qualifié pour l'Europe si le vainqueur de la coupe était identique à celui de championnat.
Maintenant, comme l'explique OLVictory, c'est un effet dominant sur le classement qui prévaut.
Si le même club remporter la coupe et le championnat, la 6eme place devient qualificative pour la C3 et donc la 7eme place pour la C4.
Ah c'est pas drôle ça ! Il va falloir cravacher pour remonter au classement alors.
Passer devant un Rennes en pleine bourre, il vaut mieux ne pas en parler dans l'immédiat
"si Paris gagne la coupe et le championnat, le finaliste de la CDF serait qualifié pour l'Europe.
Auparavant, le finaliste de la CDF était qualifié pour l'Europe si le vainqueur de la coupe était identique à celui de championnat."
???
Un sacré coup de vieux 😅
Ai-je mal entendu, je le pensais vraiment 😉
Je pense que la huitième place est accessible en étant bons. Reims et Marseille je sont pas au top, il est possible de les doubler. Mais il faut bien avoir à l'esprit qu'on entend partout que Marseille est nul, mais c'est amplifié, il peuvent retrouver un parcours correct.
Plus haut tiendrait de l'exploit et d'un concours de circonstances très favorable, il faudrait que plusieurs équipes bien classées s'effondrent...On y verra clair dans quelques matchs
En fin de saison, les equipes en danger de relegation sont les plus difficiles a battre ... par contre le PSG et le ventre mou, ce pourrait etre plus facile et donc le deuxième volet de cette fin de saison n'est pas vraiment celui que decrit l'article... de mon point de vue...
Dans tous les cas, il ne faut pas perdre contre les équipes qui sont derrière au classement.
On aura que des matchs à l'extérieur contre les équipes de bas de tableau.
Arrêtons de s'enflammer on joue toujours le maintien.
Salut,
Allez, un brin d'histoire ....😉
C'est bien en étant battu en finale de CdF en 63 par Monaco aprés 2 matchs, que notre OL a pu jouer sa PREMIÈRE véritable coupe d'europe ...
Jusqu'alors c'était coupe des villes de foires , Drago, et puis c'est tout !
Donc en 64 , quart de finale de la coupe des vainqueurs de coupe ( ex.C3), notre OL élimine Hambourg gràce à ce grand Nestor Combin qui réalise un doublé au retour, après le nul à l'aller .
En demi finale l'OL fait 2 nuls, et est éliminé sur un 3ème match d'appui par le Sporting de Lisbonne ....
De mémoire , Nestor devait être suspendu pour ce match suite à un rouge ...
Ma première coupe d'europe , c'était bien !....😜
Il m'aura fallu bien des années pour revivre la même chose, mais en LDC ...
ça existait les cartons en 63 ?
Et c'est là que Nestor avait marqué un but du milieu du terrain !
Xuo,
Pas de cartons, mais les expulsions existaient déjà ! 😉
Euh, le but du milieu, je crois que c'est à Gerland , contre Odense, des Danois ....🤔🤔
Certifié sur l'honneur sans avoir utilisé le Net !....
Ah oui! Je me souviens très bien de cette "épopée", la première de l'OL en Europe. Et pour compléter cette évocation, la même année l'OL remportait sa première coupe de France face à Bordeaux (2-0), après celle perdue l'année précédente face à Monaco. J'écoutais la retransmission à la radio...
Cette année là, l'OL avait fait également un bon championnat, cédant sur la deuxième partie, peut-être l'esprit trop tourné vers les coupes (Europe et France).
Il me revient aussi en tête qu'à cette époque, les buts marqués "à l'extérieur" ne comptaient pas "double" (comme on disait), ce qui a été le cas peu après. Et aujourd'hui on est revenu à la case départ, puisque cette manière de départager les clubs à égalité sur les doubles confrontations n'est plus en vigueur.
Ce que je trouve dommage... C'était quand même un bel encouragement à ne pas trop fermer le jeu à l'extérieur. Aujourd'hui, après avoir supprimé cette mesure, on en arrive même à supprimer les prolongations. Les télés s'en réjouissent, d'autant que "les tirs au but show" sont un spectacle en soi parait-il...
Moi je préfère le jeu aux tirs au but, et je trouvais assez juste de jouer un match d'appui si nécessaire... Mais le rythme actuel des compétitions, le nombre de matchs... et les exigences des diffuseurs et sponsors auront toujours gain de cause...