Ce lundi 9 janvier, le Parc Olympique Lyonnais soufflera sa première bougie. A cette occasion, Xavier Pierrot, le stadium manager de l’enceinte basée à Décines, dresse le bilan de cette première année d’existence et n’élude aucun sujet. Si la satisfaction est de rigueur, les objectifs sont désormais d’augmenter le taux de remplissage et le nombre d’abonnés pour les matchs de l’OL. A côté de ça, le stade va encore se développer à travers une programmation événementielle diversifiée et des services associés toujours plus nombreux. Le Parc OL est loin d’avoir atteint son potentiel maximum.
O & L : Dans quatre jours, le Parc OL célébrera son premier anniversaire. Quel bilan tirez-vous depuis l’inauguration en grande pompe le 9 janvier 2016 pour OL-Troyes (4-1) ?
Xavier Pierrot : Le bilan est très positif et très encourageant pour la suite. Ce fut une première année riche en émotions et en événements avec, bien évidemment, les matchs de l’OL et cette très belle deuxième partie de saison 2015-2016 ainsi que les matchs de Ligue des Champions mais également l’Euro 2016, les finales des coupes d’Europe de rugby, le concert de Rihanna et plus récemment le Winter Game. Cela est très riche pour une première année. Mais les chiffres, notamment le taux de remplissage, sont légèrement supérieurs à nos attentes. Après, tout n’est pas parfait et nous comptons nous appuyer sur ces premiers mois d’existence pour corriger certaines choses.
Quels sont vos principaux points d’insatisfaction ?
Le point noir reste les buvettes. Les différents retours qui nous sont parvenus ne sont pas très bons. On constate une certaine insatisfaction des supporters sur ce thème-là. Cela s’explique notamment par le fait que par rapport à Gerland, le nombre de buvettes a été multiplié par 5. Il a fallu le temps de former du personnel quant aux méthodes de travail et au rythme intense les soirs de match. Ce n’est pas facile. Pour satisfaire les personnes présentes au stade, nous avons donc développé les commandes à la place, via l’application mobile Parc OL. C’est une méthode de consommation qui fonctionne de mieux en mieux.
Les sorties difficiles du stade lors des matchs à forte affluence ainsi que les prix pratiqués pour les places sont deux éléments évoqués assez régulièrement comme étant des points à améliorer. Partagez-vous cet avis ?
Il est vrai que lors des premières semaines qui ont suivi l’ouverture, les sorties du stade étaient assez longues. L’évacuation totale se faisait en 1h15 environ. Aujourd’hui, nous avons réduit ce délai à 50 minutes. A titre de comparaison, à Gerland, on to1urnait autour de 1h30. L’accessibilité et la sécurité sont deux thèmes essentiels pour le bon fonctionnement du Parc OL. Concernant notre grille tarifaire, j’entends effectivement des plaintes de la part des supporters. Je tiens à préciser, tout de même, que nos offres débutent souvent autour de 10-15€. Sur l’ensemble de la saison, les prix les moins chers sont semblables à ceux qui étaient pratiqués à Gerland. C’était l’une de nos volontés. Après, il est vrai que ces places les moins chères se vendent vite donc il faut arriver parmi les premiers.
« Il y aura des rectifications et des ajustements de notre grille tarifaire »
Globalement, nous constatons une augmentation indéniable du prix moyen des places entre le Parc OL et Gerland. Ne pensez-vous pas que des tarifs plus avantageux amélioreraient encore davantage l’affluence moyenne du stade et éviteraient des flops à 17 000 personnes comme contre Guingamp en Coupe de la Ligue ?
Nous travaillons notre grille tarifaire. Il y aura assurément des rectifications et des ajustements. Après, comme je l’ai déjà évoqué, le taux de remplissage global du Parc OL est légèrement supérieur à nos prévisions et à nos attentes. Pour ce qui est des premiers tours de coupe de la Ligue et de coupe de France, nous savons pertinemment que ces matchs ne font que de faibles affluences. A Gerland, le phénomène était le même. Ce match contre Guingamp était disputé en semaine et dans une météo très fraîche. Cela n’a pas aidé. Je pense d’ailleurs que dimanche contre Montpellier, nous ne ferons pas une très grosse affluence non plus. Après, la configuration du Parc OL nous offre la possibilité de fermer le volet haut du stade, ce qui réduit sa capacité à 26 000 places. L’objectif est donc de se rapprocher le plus près possible de ce chiffre quand nous décidons de passer dans cette configuration. Le rendu en termes d’ambiance et d’impression générale reste très correct même à 26 000 places.
Depuis le début de la saison 2016-2017, l’Olympique Lyonnais présente un taux de remplissage de 70,67 % en Ligue 1 (40 618 spectateurs de moyenne) mais de 86,6% lors de ces trois matchs de Ligue des Champions (49 777 spectateurs de moyenne). Pensez-vous que les résultats un peu en dent de scie de l’OL dans cette première partie d’exercice ont eu un impact négatif sur l’affluence ?
C’est difficile à dire. Globalement, les affluences lors de la première partie de saison sont toujours inférieures à celles de la deuxième partie de saison pour la simple et bonne raison que les enjeux sportifs sont beaucoup plus importants dès lors que l’on se reproche de la fin. Exception faite des gros matchs qui restent très attractifs peu importe les périodes auxquels ils sont situés. La météo automnale puis hivernale reboute également un peu alors que dès qu’arrive le printemps voire l’été, la donne est différente. Donc plus les enjeux sportifs sont importants, plus le public se déplace. Si l’OL se bat jusqu’au bout pour une place en Ligue des Champions, il sera massivement soutenu comme ce fut le cas la saison dernière avec cette formidable « remontada ».
Nous imaginons toutefois que l’OL et son président Jean-Michel Aulas ne sauraient se satisfaire de 40 000 spectateurs de moyenne…
L’objectif est de toujours faire mieux. Ce n’est un secret pour personne. Cette première année va nous servir de base. Notre volonté est d’avoir une base de spectateurs fidèles comprise entre 40 000 et 45 000 personnes. Nous sommes actuellement sur la fourchette basse et nous comptons sur la mise en place de services associés (coiffure, brasserie, commande à la place…) les soirs de matchs pour fidéliser encore davantage notre public. Nous souhaitons, par ailleurs, augmenter notre nombre d’abonnés dès la saison prochaine (20 000 pour la saison 2016-2017, ndlr). Nous œuvrons au quotidien pour ça.
« Notre volonté est que la zone autour du stade soit acheté entièrement en 2019 »
A ce titre, depuis son ouverture, le Parc OL a développé d’autres activités commerciales comme les visites guidées, les séminaires d’entreprises ou encore la Brasserie des Lumières. Ces activités ont-elles trouvé leur public ?
Je peux répondre oui avec certitude. Tout d’abord, les visites ont attiré un public très nombreux, issu de la région Auvergne-Rhône Alpes mais également de la France entière et même de certains pays étrangers. Cela en dit long sur l’attrait du Parc OL. Pour ce qui est des séminaires, là encore le succès est au rendez-vous. Pour les mois de décembre et de janvier, nous n’avons même pas pu satisfaire toutes les demandes sur certaines dates sachant que le stade compte sept salons différents. Enfin, la Brasserie des Lumières réalise, en moyenne, 170 à 180 couverts quotidiens. Un chiffre très honorable. J’évoquerai également la possibilité désormais de se faire coiffer les soirs de match dans la loge Match & Beauty de Frédéric Moreno ainsi que l’ouverture le 10 février prochain d’un Escape Game. Le Parc OL se doit d’être un véritable lieu de vie.
Un lieu de vie toujours en construction parce que le stade ainsi que le Groupama Training Center ne sont que les prémisses de la future zone faussement baptisée « OL Land ». Où en sont les travaux et quand sera-t-elle totalement achevée ?
Effectivement, les travaux devraient débuter prochainement concernant la prochaine phase du projet. Celle-ci comprend la réalisation d’une zone hôtelière, d’un business center avec des bureaux, d’une clinique du sport, d’une zone restauration et d’une zone loisirs avec salles de fitness et complexe de football indoor notamment. Notre volonté est que tout soit achevé courant 2019. Ainsi, le Parc OL sera encore davantage un lieu de vie qu’aujourd’hui. Il y aura tout à proximité pour se sentir à l’aise et partager des moments uniques.
Alors que le Parc OL s’apprête à célébrer son premier anniversaire, quelles festivités sont prévues pour le match de Montpellier dimanche ?
Absolument aucune. Nous avons fait le choix de ne pas fêter cet anniversaire car nous sommes dans une aventure sans fin. Par conséquent, il ne nous parait pas opportun de prévoir des festivités à chaque anniversaire de l’inauguration.
« Après le Winter Game, la pelouse est dans un état très convenable »
Pour la première fois depuis l’inauguration, vous avez organisé un autre événement qu’un match de d’OL avec ce Winter Game entre les Lions du LHC et les Brûleurs de Loups de Grenoble. Quel retour faites-vous de cet événement ?
Effectivement à l’instar des matchs de l’OL, nous avons organisé ce Winter Game avec le Lyon Hockey Club. Il est utile de préciser que lors des autres événements comme les concerts, l’Euro ou pour les finales de coupes d’Europe de rugby, nous n’étions pas organisateurs. Pour en revenir au hockey, j’ai eu beaucoup de retours positifs concernant cette manifestation. Nous avons battu le record de spectateurs pour un match en France avec 25 182 spectateurs. L’affiche était belle et le spectacle présent en rendez-vous. C’était une belle première. Après, tout n’a pas été parfait. Le tifo lumineux avant la rencontre a été un échec. Il a été un peu plus réussi avant le feu d’artifice. Je pense qu’on retentera l’expérience pour un match de l’OL avec une affluence plus forte. Un point d’interrogation subsistait concernant la pelouse et je suis en mesure d’affirmer que son état est très convenable. Elle ne sera pas parfaite pour la réception de Montpellier dimanche en Coupe de France mais elle le sera sans doute pour le match contre Marseille le 22 janvier.
Justement, ce chiffre record a été un peu remis en question tant il ne semblait pas y avoir 25 000 spectateurs. Confirmez-vous ce chiffre ?
L’affluence communiquée est toujours celle de la feuille de recettes. En d’autres termes, il correspond au nombre de places vendues. C’est un chiffre officiel, qui ne souffre d’aucune contestation possible. Après, il est possible que certaines personnes ne se soient pas déplacées. C’est même, en toute honnêteté, fort probable. Même s’il n’y avait pas 25 000 personnes, le cap des 20 000 était largement dépassé. Mais le chiffre officiel reste 25 132.
Peut-on imaginer un nouveau Winter Game dans les mois ou les années à venir ?
Ce n’est pas à exclure. Il y a un partenariat important et vivant entre l’Olympique Lyonnais et le Lyon Hockey Club. Ce premier événement commun est encourageant et le public a répondu présent. Nous sommes fiers du travail accompli.
« Nos événements sportifs passés nous offrent une vraie légitimité »
A ce titre, quel est le futur du Parc OL sur le plan événementiel ?
La prochaine manifestation importante est la finale de la coupe de Ligue qui aura lieu le 1er avril. Nous sommes tous extrêmement déçus de l’élimination de l’OL dans cette compétition. C’est toujours un moment particulier de disputer une finale dans son stade mais ce n’est jamais facile d’y arriver. Ensuive, nous avons la venue du groupe britannique Coldplay, qui se produira au Parc OL le 8 juin. Plusieurs événements pourraient s’ajouter à cette programmation mais rien d’officiel pour le moment. Pour 2018, nous serons l’hôte de la finale de l’Europa League et nous espérons accueillir les demi-finales du Top 14 que nous avons raté cette année. Pour 2019, le Parc OL sera la place forte de la coupe du monde de football féminin organisée en France puisque le match d’ouverture ainsi que la finale se joueront chez nous. Nous sommes également à fond dans le projet français pour l’organisation de la coupe du Monde de rugby 2023.
Si le Parc OL brille par l’accueil de plusieurs événements sportifs nationaux et internationaux, les concerts se font rares. Est-ce une problématique de calendrier ou de contacts ?
C’est davantage une problématique de contacts. L’objectif est de réaliser deux concerts par an. Nous en avons un de programmé pour le moment. Il n’est vraiment pas à exclure qu’un autre vienne s’ajouter. Après, il est vrai que dans le milieu sportif, nous avons davantage de contacts et de savoir-faire. Le fait que les matchs de l’Euro 2016 et que les finales de coupes d’Europe de rugby se soient bien passés, nous offrent également une certaine légitimité.
A l’heure où le Parc OL organise ou cherche à organiser des événements à portée internationale, l’OL semble loin de ces grandes heures et peinent à avoir des résultats fondateurs sur la scène européenne. La situation est un peu paradoxale non ?
Non car nous sommes dans une optique de développement commun. L’OL ne va pas sans le Parc OL et vice-versa. Le fait d’évoquer le Parc OL permet de parler indirectement de l’OL et ainsi de développer sa notoriété. Mais quoi qu’il arrive, la priorité du stade sera toujours la réussite sportive de l’OL que ce soit chez les hommes comme chez les femmes.
« Depuis un an, j’ai passé davantage de temps au stade que chez moi »
Un an après son ouverture, est-ce que selon vous, le Parc OL a convaincu les supporters lyonnais, eux qui restent très attachés à Gerland ?
En majorité, je pense que les supporters de l’OL sont fiers du Parc OL. Après, Gerland sera toujours dans notre cœur. Je dis notre car je suis à l’OL depuis 1999 donc j’ai très bien connu ce stade de Gerland. Maintenant, je pense que le Parc OL était une étape nécessaire dans le développement du club. A l’image de l’Allianz Arena de Munich, nous avons fait le pari d’un stade extramuros. Je pense que ce pari est réussi. Nous ne sommes qu’à 12 kilomètres du centre-ville, nous avons l’A42 à proximité et 7 000 places de parking à disposition. C’est un lieu stratégique où toutes les personnes et notamment les touristes qui descendent dans le sud sont susceptibles de s’y arrêter. Décines est l’emplacement idéal.
Quand vous parlez de l’Allianz Arena, ce stade est-il un modèle à suivre ou est-ce que l’OL cherche à créer son propre modèle ?
Notre fonctionnement est propre à nous-même mais il serait dommage de ne pas s’inspirer de ce qui marche. Aujourd’hui, j’ai davantage foi au modèle allemand qu’au modèle anglais. Les Germaniques ont connu une véritable révolution de leurs infrastructures grâce à la coupe du Monde 2006. Je cite l’Allianz Arena et le Bayern Munich comme exemple car il y a une vraie relation de proximité entre l’équipe et les supporters. On veut qu’il y ait ce genre de relation entre notre équipe et nos supporters. Notre souhait est qu’ils se sentent comme chez eux.
Pour autant, l’OL semble aujourd’hui à des années lumières du Bayern aussi bien en termes de niveau que de fans (le taux de remplissage de l’Allianz Arena est de 100%)…
Quand je parle d’inspiration, j’évoque le côté stade et non le côté sportif qui n’est pas de mon ressort. Même si les deux sont liés. Après, nous nous inspirons également de la Friends Arena de Stockholm et de la CommerzBank Arena de Francfort qui sont des références dans le domaine de l’événementiel et dans l’organisation de concerts par exemple. Mais preuve que le Parc OL compte désormais, nous allons accueillir les 16, 17 et 18 janvier prochain, la conférence annuelle de l’ESSMA (Association européenne de gestion et de sécurité des stades), pour échanger sur ce qui sera le stade de demain.
Dernière question, comment a évolué votre fonction de stadium manager depuis un an et l’inauguration du Parc OL ?
Mon rôle est beaucoup plus complexe qu’avant. Avec un stade comme le Parc OL en gestion, il faut assurer les événements présents tout en imaginant et en travaillant sur les événements de demain. Quand je parle d’événements, je fais référence à la fois aux rencontres sportives mais aussi aux concerts et autres projets. J’ai une vraie équipe autour de moi qui est à fond comme en témoigne l’organisation de ce Winter Game entre Noël et le jour de l’An. Je travaille également en étroite collaboration avec Jean-Michel Aulas. Nos échanges sont très constructifs. Puis le fait d’avoir les bureaux au Parc OL change la donne par rapport à Gerland. On se sent vraiment chez soi. D’ailleurs en un an, j’ai sûrement passé davantage de temps au stade que chez moi.
Article très intéressant, questions et réponses pertinentes !
En ces temps de mercato, d'infos bidons ..., ca fait du bien de lire des choses intéressantes ...
Dommage que toutes les composantes de L'OL (le médical, la cellule recrutement, l'organisation du sportif ...) ne soit pas toutes aussi sérieuses et performantes que celle dirigée par Xavier Pierrot !
j'aime bien le bottage en touche quand à la comparaison déraisonnable entre le bayern et nous ! en même temps c'est pas de ça faute si l'OL ne laisse pas rêveur depuis quelques année... mais on va s'améliorer !? hein Jean Mich' ?!
Franchement je crois que l'objectif de passer de 40 à 45000 spectateurs de moyenne aura le même succès que notre objectif de qualification en LDC.
Dans les deux cas ça ne se fera pas avec le staff actuel.
Et justement car contrairement à ce qui est dit dans le titre la priorité c'est de rembourser le stade, et après seulement le sportif viendra au centre des préoccupations. Peut-etre.
Je note que l'idée pour faire venir plus de monde c'est de proposer des coiffeurs. Ça en dit très long sur la vision sportive de la direction de l'OL en ce moment
Seul le stade est en 2.0
le reste, c'est 0 ou presque
Bon j'exagère un peu ...
intéressant d'avoir une interview de xavier sur cette 1ère année d'exercice
pourquoi le soir du winter game avec seulement 25 000 personnes au max, barre t'on les rues a proximité du stade après le match, on ne prend pas tous la rocade pour rentrer chez soi je me suis tapé 25km, alors qu'en passant par le centre de décines çà ne me fait que 15km, même mon gps en a perdu la tête, donc si c'est pour ne pas réveiller nos braves décinois, çà se défend, mais là on risquait pas d'entendre des klaxons, déjà on avait perdu et le froid calme les ardeurs
si on veut faire monter les recettes des buvettes, il faut ouvrir plus tôt le stade, car à l'extérieur y a rien contrairement a gerland ou il y avait une vie le long de l'avenue jean jaurès, là c'est triste a l'extérieur
En même temps, quand le salaire de 1 Grenier qui cire le banc peut te payer celui de 100 coiffeurs qui tondent les spectateurs, le club a probablement beaucoup à y gagner ! XD
A quel moment on parle de foot dans ce club ?
Bonne remarque !
J'allais le poster en commentaire, merci ! J'en ai marre d'entendre parler de ce stade, des buvettes, de l'application mobile pour commander un hot dog. Le stade c'est devenu le cache misère de l'état du club ...
Qui t'oblige a lire cet article ?!
Quand on s'appellera Sanchez ou Ramirez
Très bonne interview, ce stade,son mode de fonctionnement est presque une total réussite, pour passer de 40000 à 50000k il faut surtout des joueur plus attrayant lorsque l'on recrute, un coach top niveau et en continuant avec base de l'académie
Et de réel résultat dans le jeu
Pour en revenir au stade je vous trouve dur, il fait presque un sans faute pour une 1er année de fonctionnement, la seule point négatif est les match qui ce dispute sous moins de 35 mille de personnes mais ça c'est surtout la faute à la gestion sportive du club, et quoi qu'en pense jma ou xavier pierrot a un impact considérable sur l'affluence
L'om pendant 6 saison avait une influence en très forte baisse, il ramène bielsa un coach qui etait adoré et l'affluence à explosé, au losc cela sera exactement la même si bielsa signe et que les joueur pressenti arrive vraiment
Le parc des prince était à 25k 28k de moyenne avant les Qatari maintenant c'est à guichet fermé
Je trouve ça fou qu'on sous-estime des poste de dépense où les salaires sont compris entre "moyens" et "très faibles" et qui pourraient rapporter gros. Les salaires de Grenier et Valbuena pourraient payer 1 bon coach, 10 scouts, 1 directeur sportif, 1 préparateur physique de haut niveau et un bon gestionnaire de la communication / marketing.
Mais JMA préfère tout gérer quitte à laisser Pep Génésio faire cirer le banc à nos jeunes talents en devenir, recruter à l'aveugle, et être incapable de trouver une tactique cohérente ou d'insuffler un esprit de révolte à nos gones...
50 000 supporters de moyenne à Glasgow quand ils jouaient en D4 !
Ici, plus de gens qui démolissent que ceux qui soutiennent...
N'importe quoi et t'inquiète si nous somme en l2 nationale voire cfa je te garantie qu'on soutiendra le club (n'en déplaise à naka) bon pas à 50k par match
Là le problème c'est qu'on utilise mal nos argent sur le recrutement et le coach donc ça énerve
Lorsqu'on était pauvre avec danic comme recrues on était tous indulgent car on savait qu'on était en diète
Ceux qui soutiennent en payant leur entrée au stade ont quelques droits à critiquer. Ceux qui soutiennent sur Internet ont quel mérite ?
Vs etes trop presse ce stade n'a qu'un an serieu on en reparle dans 10 .
Le renouveau de l'OL c'est ce stade qui l'emmenera
la priorité .......la réussite sportive de l'ol.....hum hum........j'ai du mal a entendre ça dans mes petites oreilles avec l'équipe qui a été mis en place cette année.....la priorité c'est de faire du pognon pour rembourser le stade ça c'est la réalité....alors mrs mmes consommer quand vous allez au stade.......j'ai encore du mal a digérer le prix de la bière lors de ol-Angers
a long terme???? j'attends de voir......