Bien qu'il y aura eu quelque peu d'animation sur la pelouse de Vélodrome hier soir, OM et OL se sont séparés sur un match nul 0-0. L'occasion pour nous de revenir sur les statistiques quoi ont marqué la rencontre.
5/27 : les chiffres officiels de cet "Olympico" le prouvent, Lyonnais et Marseillais auront beaucoup tenté ce dimanche, affichant surtout une grande maladresse devant la cage. Sur les 27 frappes de la rencontre (13 pour les locaux, 14 pour l'OL), seulement 5 étaient cadrées... Pas étonnant donc que la partie se soit soldée sur un match nul et vierge.
10 : ou le nombre de ballons perdus par Maxwel Cornet hier au soir. Si on compare avec les 20 ballons qu'il a touchés durant cet OM - OL, on comprend rapidement que le jeune attaquant n'aura pas eu la même influence que face mercredi dernier, face à Zagreb. Sevré de ballons hier, il n'a pas su se montrer tranchant au moment opportun.
81 : Maciej Rybus a beaucoup couru hier, mais pas seulement. Le Polonais restera comme le Lyonnais ayant touché le plus de ballons, devant Corentin Tolisso (75) et... Jérémy Morel (65). Une belle preuve de son activité fournie sur le côté gauche, bien que pas encore décisive.
100% : le pourcentage de passes réussies par Nicolas Nkoulou hier soir. Propre, mais à relativiser lorsque l'on sait que la défense à trois axiaux permet des transmissions plus courtes et donc moins dangereuses.
32654 : plus grand stade de Ligue 1, le Vélodrome a hier sonné creux. Dotée pourtant d'une exposition de choix (dimanche soir) et d'un adversaire qui déplace souvent les foules, l'affiche de la 5e journée n'a même pas rempli le stade à moitié... Triste constat pour l'Olympique de Marseille, bien que les choses pourraient changer avec l'arrivée de son nouveau président.
Bonjour à tous,
J'ai vu le résumé du match, L'OL à eu de nombreuses occasions. Dommage que le but de Darder n'ait pas étais valider. Hier L'OL était plus fort que L'OM
Attention, mister Gielly ! Votre article est très intéressant, mais je m'insurge contre cet horrible conditionnel présent venant déguiser la chute de votre article: «... bien que les choses pourraient changer ...». D'après mes (lointains) souvenirs, «bien que» est toujours suivi d'un verbe au subjonctif, ici «puissent». Les vieux de la vieille disaient jadis que les si n'aiment pas les ré... ok, je sors !