Afin de préparer leur match éliminatoire pour la Coupe du monde de mardi prochain, les Pays-Bas se sont fait les dents sur l’Écosse. Les Oranjevrouwen se sont imposées 2-1. Passeuse décisive, Danielle van de Donk est sortie à vingt minutes de la fin quand Damaris faisait son entrée.
Un petit amical pour se mettre en jambes. Exempt de cette journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2023, les Pays-Bas ne sont pas pour autant restés les bras croisés. Afin de préparer leur finale de groupe contre l’Islande, mardi prochain, les Oranjevrouwen ont disputé et remporté (2-1) un match amical contre l’Ecosse, histoire de parfaire les automatismes et relancer les machines après l’été.
Pour cette confrontation amicale, Daniëlle van de Donk a une nouvelle été titularisée dans un rôle de meneuse de jeu derrière Miedema. Au contraire du Trophée des Championnes avec l’OL, la numéro 10 néerlandaise n’a pas trouvé le chemin du but face aux Ecossaises mais s’est montrée décisive sur le premier but de sa sélection. Après 66 minutes de jeu, elle a laissé sa place tandis que sa coéquipière de club, Damaris Egurrola, faisait elle son entrée dans un quadruple changement.
Däbritz, De Donk, Egurrola... J'ai du mal à les définir. Elles m'apparaissent par à-coups au cours d'un match.
Je suppose que tu parles des matchs avec l'OL ?
En fait, je pense, c'est un peu le cas de toutes nos milieux de terrain : c'est vrai aussi pour Amandine ou Horran, voire Macario.
Ces filles sont capables de jouer sur plusieurs registres, selon la nécessité du jeu, la tactique à appliquer, le pressing ou la percussion... tout cela dans le même match. La fatigue ou l'opportunité réglant leurs courses (donc leur visibilité). Pour les attaques placée c'est moins visibles car plus statique parfois, et le déplacement des latérales les contraint à rester vigilantes sur une éventuelle contre-attaque rapide .