Milieu du PSV Eindhoven en 2005, quand l'OL a été éliminé par les Hollandais, Phillip Cocu ne se rappelle plus s'il y avait faute sur Nilmar.
« Il y avait penalty sur Nilmar… », une rengaine que l’on entend dans les travées de Gerland depuis des années. A la 100e minute du quart de finale contre le PSV Eindhoven, en 2005, l’attaquant brésilien est fauché dans la surface, par Gomes, sans qu'une faute ne soit sifflée.
Interrogé par 20 minutes, Phillip Cocu, aujourd’hui entraîneur du PSV, assure ne pas se rappeler : « Honnêtement, je ne me souviens plus s’il y avait penalty. Mais je comprends que les Lyonnais se soient sentis frustrés car la qualification pouvait se jouer là-dessus. » Car pour lui, l’OL pouvait remporter la Ligue des champions : « On a été chanceux de passer ce jour-là, Lyon pouvait durant quelques années ambitionner de remporter la Ligue des champions. » Cocu craignait notamment un brésilien portant le numéro huit : « A cette époque-là, affronter Lyon impliquait forcément de gros matchs. Nos deux équipes étaient vraiment de niveau identique. Il fallait être malin face à l’OL, notamment pour ne pas offrir de coups francs à Juninho. »
Qu'il aille donc voir si sa femme n'est pas en train de s'éclater avec Van Bommel. 😉
De niveau identique ??? Je ne me souvenais pas qu'il jouait avec une canne et un labrador à l'époque !