Ce dimanche, Christophe Revel est revenu sur son rôle d'entraîneur des gardiens de l'Olympique Lyonnais. Après plus de deux mois passés au club, il sent que le portier lyonnais, Anthony Lopes, peut encore progresser.
Le 2 juin dernier, Christophe Revel a été nommé nouvel entraîneur des gardiens de l'Olympique lyonnais pour remplacer Grégory Coupet, parti à Dijon. Depuis, l'entraîneur semble s'être bien intégré au sein de l'effectif. « On a appris à se connaître, appris à connaître l'homme aussi (...). Je pense que ça c'est super bien passé et que tout va bien », a déclaré Anthony Lopes au micro d'OLTV, à propos de la relation avec son coach.
« Je pense qu'il a un grand potentiel »
Après plus de deux mois à côtoyer le gardien lyonnais, l'entraîneur lui a trouvé des failles. Choses sur lesquelles Christophe Revel veut le faire progresser. « Quand je suis venue, j'ai analysé, de manière encore plus précise Anthony (Lopes). Je lui ai expliqué comment je travaillais, ce que je voyais comme axe de développement, de progression, parce qu'il n'y a pas d'âge pour progresser, a-t-il déclaré. J'ai une idée en tête de ce que je veux faire avec lui, là où je veux l'emmener. Je pense qu'il a un grand potentiel, qu'il en a encore sous le coude, pour aller encore plus haut dans les airs et plus loin au sol »
En tout cas il n'a pas régressé en changeant d'entraineur et c'est déjà très bien !
Le jeu au pied...
Ses relances sont justes catastrophiques, souvent en touche ou sur l'adversaire
Oh que oui !!!!
Sans compter les passes réussis sur les lateraux mais qui sont quasi injouable voir même extrêmement dangereuse pour l'équipe...
Parole de défenseur droit (amateur...), ces ballons aériens lent avec de l'effet qui arrivent du gardien aux 25m le long de la touche quand tu as tout le jeu (et le pressing) qui vient sur toi pendant que tu attend que le ballon arrive...c'est horrible à jouer!!!!!
Les péno. Parce qu'en finale de coupe de la ligue j'ai pleuré d'avance quand les péno ont débuté. Et Lloris c'était pareil.
Oui, deux lacunes importantes dans le jeu de Lopes : le jeu au pied avec les dégagements (trop souvent en touche par exemple) ainsi que les penos ou tirs au but, à tel point que je souhaiterais que quand une séance de tirs s'annonce on fasse entrer Tata !
la même , mais tata est très fort sur les peno
Je partage un article que je vous conseille vraiment de lire car il peut faire office de bilan de notre mois d'août (voire juillet, avec les matches de préparation) avant de reprendre le championnat : "Les leçons estivales de l’OL".
"L’OL doit compter sur son centre
C’est devenu une évidence, on le répète chaque année désormais. Oui, l’OL est une équipe talentueuse.
Si le duo Alexandre Lacazette – Nabil Fekir avait ébloui notre bonne vieille Ligue 1 une demi-décennie plus tôt, la doublette Houssem Aouar – Maxence Caqueret a régalé les spécialistes européens lors de ce Final 8.
Énièmes symboles de l’excellente formation rhodanienne, la réussite de ces deux pépites confirmera peut-être au président Aulas que rouler avec sa propre essence vaut parfois mieux que faire le plein à l’étranger.
Maxence Caqueret, du haut de ses 20 ans, a ainsi donné gain de cause aux nombreux supporters lyonnais réclamant son intégration dans l’équipe première dès la reprise de la saison dernière. Auteur de trois performances remarquables pour ses premières sorties dans la cour européenne, il s’est déjà fait un nom dans les journaux italiens, notamment après son match XXL contre Manchester City.
Un baume au cœur pour des Gones qui n’ont toujours pas digéré le départ du talentueux Amine Gouiri vers l’OGC Nice.
Quant à Houssem Aouar, inutile de préciser que le leader de ce Lyon version Final 8, c’était bien lui. Sans revenir en détail sur ses performances déjà analysées à droite et à gauche, le joyau de Villeurbanne a su se mettre à la hauteur des rendez-vous pour (re)mettre son club sur les bons rails. Globalement au-dessus du lot, il a été reçu cinq sur cinq chez les cadors européens prêts à sortir le chéquier pour s’attacher les services du numéro 8 franco-algérien.
Et l’OL a encore du stock en arrière boutique. Rayan Cherki, devenu le plus jeune joueur de l’histoire à disputer une demi-finale de Ligue des Champions aura, on l’espère, son mot à dire cette année. Melvin Bard après ses matchs amicaux convaincants, peut également espérer entrer dans la rotation des latéraux.
Le 5-3-2 parcimonie
Avec un 5-3-2 immuable, Garcia a trouvé la bonne formule pour ce Final 8. Une défense à trois plutôt imperméable pour couvrir la profondeur, un milieu de terrain agressif sans ballon, créateur avec, et une pointe à deux tranchante en contre.
Cependant, cette animation comporte des limites qui la rendent difficilement viable pour la suite. Des points noirs laissent planer le doute sur une efficacité durable.
D’abord parce que ce schéma a été monté de toute pièce pour affronter des gros noms européens (Juventus, Manchester City, Bayern Munich). Quatre matches (si l’on prend en compte la finale de la Coupe de la Ligue), quatre scénarii identiques : laisser la balle à l’adversaire (seulement 35% de possession en moyenne), aspirer le bloc adverse, et piquer en transition.
Un plan de jeu qui nécessite dans un premier temps une grande concentration défensive, puis une efficacité glaciale sur les quelques contres à jouer. En analysant uniquement par le prisme du résultat, la Vieille Dame (2-1) et les Skyblues (1-3) en ont fait les frais.
Dans le jeu néanmoins, le constat est un peu plus à nuancer. Défensivement, même si l’OL n’a pas énormément encaissé, on a senti une pointe de réussite (le raté de Sterling par exemple) dans une équipe parfois au bord de la rupture (les dix minutes suivant le deuxième but de Cristiano Ronaldo).
Offensivement, l’ultra efficacité des Gones a fait le malheur de Pep Guardiola, tandis que le manque de réalisme de Memphis Depay et Karl Toko-Ekambi s’est fait punir face à la bande à Manuel Neuer (3-0).
Cependant, 75% du temps, ce sera à l’OL de faire le jeu face à des formations qui laisseront volontiers le ballon au septuple champion de France.
Tout n’est pas à jeter, il est effectivement possible de poser des difficultés à des blocs bas avec une défense à 3. Cela nécessite alors des circuits de passe parfaitement huilés, d’une bonne occupation de la largeur, et d’un milieu de terrain joueur.
Or, l’équipe de Rudi Garcia ne remplit qu’un critère sur les trois. Le trio dans l’entrejeu est capable de faire des merveilles individuellement, mais on a du mal à discerner des circuits qui se répètent de matches en matches.
Enfin, sur les côtés, l’incertitude est maximale. À droite, Léo Dubois n’offre pas une grande garantie offensive et s’est montré fragile en un contre un. De l’autre côté, Maxwel Cornet a besoin d’espace pour réciter son meilleur football.
Tous unis
En passant par l’accueil glacial réservé à Rudi Garcia en octobre dernier, puis par l’affaire Marcelo, l’OL n’a pas vécu un amour fou avec ses supporteurs cette saison. Cela fait même plusieurs années que la relation supporters/dirigeants se dégrade, bien que Juninho ait renoué le lien depuis son arrivée l’été dernier.
Pourtant, les fans étaient enthousiastes, stressés, avant le match retour contre les Bianconeri. Il faut dire qu’accrocher une qualification au champion d’Italie, et ce malgré le bon score à l’aller (1-0), était loin, très loin d’être gagné.
De la qualification en quarts est née un véritable engouement, l’impatience de retrouver Manchester City a commencé à gagner les fans. Mais cet engouement n’était pas grand chose comparé à l’union sacrée qui s’est fondée après le passage en demi-finale. Sans pouvoir accueillir directement en capitale des Gaules le dernier carré, on a senti sur les réseaux sociaux et dans les rues une impatience digne des grands moments.
La naissance du hashtag #YaCherMoy sur Twitter trouvant écho sur les profils de Jean-Michel Aulas, Karim Benzema ou encore Adidas France, les belles images des célébrations Place des Terreaux, ou les banderoles affichées un peu partout en ville, ont montré que l’OL pouvait toujours s’appuyer sur ses fans. On ne connaît pas l’impact réel de ce soutien à distance, mais une chose est sûre, dirigeants et joueurs devront capitaliser sur cette forte unité pour entamer la prochaine saison.
De retour en Ligue 1 face à Dijon au Groupama Stadium, l’OL aura à cœur de confirmer son excellent parcours européen par une bonne entame en championnat.
Avec ou sans Houssem Aouar, Memphis Depay ou encore Moussa Dembélé, [car] le mercato lyonnais est encore une autre affaire." (ultimodiez.fr, site de foot généraliste que je ne connaissais pas avant de tomber sur l'article).
Très bon site que ultimodiez moimoi, je te conseille de t'y inspirer plutôt que foot 01 (tu sais que j'ai pas le clin d'oeil)
Oups ! Le pavé !
Pas le temps de le lire pour l'instant du moins !
Bon article moimoi zt je confirme ultimodiez excellent site.
Articles toujours construits et de qualité.
En tout cas j'aime bien le discours de ce nouveau coach des gardiens ,je sens que nos gardiens vont progresser sous ses ordres.