Le défenseur central de l'OL Jérémy Morel est revenu sur la victoire des Lyonnais face à Marseille (0-3). Dès ce samedi (21h, Canal+ Décalé), il espère enchaîner avec une nouveau succès contre Caen afin d'assurer le podium de la Ligue 1.
L'Olympique lyonnais a explosé Marseille (0-3) ce dimanche soir au stade Vélodrome pour le compte de la 36e journée de Ligue 1. Le défenseur de l'OL, Jérémy Morel, a livré son analyse de la rencontre. "On a bien entamé le match. On a eu une bonne première mi-temps. On a su marquer, gérer notre avance et être très costaud défensivement. On a eu beaucoup de maîtrise aussi, a-t-il constaté. Au début de la deuxième mi-temps, c'était un peu compliqué pour tout le monde. On savait qu'on pouvait avoir des temps faibles dans ce match. Après le tout c'était de pouvoir faire le dos rond tous ensemble. On a essayé de gérer ces moments là. Et derrière on a su marquer les occasions qu'on a eu."
"Tant que mathématiquement ce n'est pas fait…"
À trois points d’une possible qualification pour la Ligue des champions, le défenseur rhodanien veut rester prudent. Contre Caen, ce samedi (21h, Canal+), il estime que tous les scénarios sont possibles pour l'OL. "Tant que mathématiquement ce n'est pas fait, ce n'est pas fini. Cette saison on a trop eu des hauts et des bas. On est capable de gagner mais aussi de perdre contre n'importe qui. Il va falloir être très sérieux samedi contre Caen lors de notre dernier match à domicile. Et en cas de victoire, on aura atteint notre objectif", a-t-il indiqué.
"Peut-être que la pression à Marseille est beaucoup plus forte"
Au terme du championnat, l'OM ne sera pas qualifié pour disputer une compétition européenne la saison prochaine. D'ailleurs, l'ancien Marseillais ne comprend pas la situation dans laquelle se trouve les Phocéens actuellement. "On ne peut pas expliquer. Peut-être que la pression à Marseille est beaucoup plus forte. Maintenant, je pars du principe que nous sommes des hommes sur le terrain. Donc on se doit d'accuser le coup quand ça ne va pas et faire front dans les mauvais moments. À Marseille, quand ça va bien c'est extraordinaire mais quand ça va mal, il faut aller au combat".
