Révélation de l’OL avec Castello Lukeba, Malo Gusto s’impose dans l’effectif de Peter Bosz cette saison. Néanmoins, le latéral droit lyonnais a eu quelques soucis de réveil durant sa formation qui l'ont rendu plus professionnel par la suite.
A 18 ans, Malo Gusto n’a pas perdu de temps. En l’espace de quelques mois, le latéral droit s’est imposé comme l’une des révélations de l’OL et donne du fil à retorde à Léo Dubois, pourtant capitaine. Ces dernières semaines, l’ancien de Bourgoin-Jallieu donne l’impression d’avoir pris un avantage sur son ainé, certes touché lors des derniers matchs avant son retour dans le groupe contre l'OM. S’il n’a pas connu de retard à l’allumage pour faire ses débuts en professionnels, ce fut loin d’être le cas durant ses jeunes années de formation. Entre Gusto et la ponctualité, ça n’a pas toujours été une grande histoire d’amour.
"J’ai une anecdote qui m’a fait changer. Il faut savoir que j’avais un problème sur les retards. Je ne respectais pas souvent les horaires. Et un jour, en U16, entre deux entraînements un mercredi après-midi, on avait une sieste. Je ne me suis pas réveillé pour la séance, a avoué Malo Gusto dans une interview pour Onze Mondial. Les coachs sont venus me chercher dans ma chambre, ils ont débarqué devant mon lit et m’ont vu en train de dormir. Depuis ce jour-là, je n’arrive plus en retard, je suis toujours en avance. Cet événement m’a fait évoluer, car dans le monde professionnel, c’est important d’être ponctuel. Ça a été une bonne chose de vivre ça. Surtout que je suis un gros dormeur, je dors tout le temps, à toute heure (sourire)."
S’il en rigole aujourd’hui, Malo Gusto assure ne pas avoir fait le malin à l'époque. Cette prise de conscience montre qu’il a rapidement compris les efforts et sacrifices nécessaires pour toucher au plus haut niveau. A lui de confirmer sur la durée.
Notre futur capitaine ? Il a plus de charisme que Caqueret.
Pas d'accord, Caqueret au top !
strasbourg qui gagne contre brest !! à nous de faire le boulot demain.
Voilà à quelle bassesse nous en somme réduits : le sort de l'équipe n'étant plus qu'entre ses pieds, nous en sommes à espérer que ceux qui nous précèdent perdent.
Et à ce jeu-là, il aurait été préférable que Brest gagne plutôt que Strasbourg.
C'est toujours comme ça quand il reste très peu de chance d'atteindre les objectifs. Espérer un faux pas adverse tout en n'ayant plus droit à l'erreur. C'est rarement payant mais on sait jamais.