Auteur d’un arrêt important en fin de match à Rennes, Anthony Lopes a sécurisé la première victoire de l’OL cette saison (0-1). Le gardien lyonnais ne pouvait que savourer la fin de cette disette.
C’est dans les grands moments que l’on voit les grands gardiens. Dimanche, à Rennes, Anthony Lopes n’a pas été très sollicité mais a fait l'arrêt qu'il fallait au moment où il le fallait. En jouant à dix dès la quatrième minute, les Rennais n’ont pas forcément joué leur jeu comme s’ils avaient été à onze contre onze. Néanmoins, avec l’ouverture du score de Jake O’Brien et une fin de match qui se rapprochait au fil des minutes, la partie entre Rennes et l’OL s’est retrouvée décousue. Une sorte d’attaque - défense qui aurait pu tourner en défaveur des Lyonnais, à force de reculer. Finalement, la formation rhodanienne a tenu bon et repart avec les trois points (0-1).
Peu sollicité, Lopes a malgré tout sauvé cette victoire au début du temps additionnel. Après un bon match contre Metz, le portier s’est interposé devant Amine Gouiri pour éviter le 1-1 qui aurait fait mal aux têtes. "Ça fait du bien, il nous fallait cette victoire pour passer une trêve plus tranquille. On est encore très loin, mais ça fait vraiment du bien, a concédé le Portugais en zone mixte. Ça faisait 6 mois qu’on n’avait pas gagné, donc quand on est l’OL, c’est dur à vivre. Pour un enfant du club comme moi, ça fait mal au cœur."
"On pêche encore à la finition"
À l’image de Corentin Tolisso ou Maxence Caqueret, eux aussi enfants du club, Anthony Lopes arborait un large sourire sur son visage dimanche soir. Il y a bien longtemps que ce n’était pas arrivé au moment de parler des enjeux sportifs de l’OL. Grâce à une unité collective plus que par la qualité du jeu proposé, les joueurs de Fabio Grosso ont fait le dos rond pour que les évènements soient enfin en leur faveur. "On fait une première mi-temps cohérente, avec des situations offensives pour mettre ce premier but, mais on pêche à la finition ou dans la dernière passe. On a gardé la tête en dehors de l’eau et pas douté, et ça a tourné en notre faveur. C’est vraiment un résultat positif. J’espère que ce succès nous donnera le déclic et en amènera d’autres."
Il y a désormais deux semaines pour évacuer l'euphorie et se remettre au travail pour confirmer face à Lille, le 26 novembre.
Ne pas gagner pendant six mois, c'est dur mais ça paie quand même ! Il ne faut jamais renoncer à ce qui est dur. Quoi, j'ai dit une connerie ?
Un cavalier qui sort d'une table de nuit
Poursuivant sa cuite au galop
Son nom il le signe d'un clou de girofle
D'un S qui veut dire Lopes
Lopes Lopes Lopes
J'étais prêt à lire l'article comme : "Ne pas ken pendant 6 mois, c'est dur" (et on est tout dur).
Lopes me semble désabusé et un tantinet peu enthousiasmé par fabio
On entre bientôt dans la fin d'une ère.
Ensuite on passe à Mandanda, il peut jouer jusqu'à 60 ans comme il est partit la...