Ce lundi, dans "Tant qu'il y aura des Gones", les chroniqueurs sont revenus sur les nombreuses carences dont a fait preuve cet OL version 2017/2018.
A l'aube de la dernière ligne droite de la saison, l'Olympique lyonnais est 4e de Ligue 1. Une place décevante aux vues des ambitions affichées en août dernier. Plus que ça, le jeu développé tout au long de la saison pose de sérieuses questions sur la capacité de cette équipe à jouer ensemble. Clairement, la cohésion d'équipe n'est pas là, en tout cas sur le terrain. Excès d'individualisme, manque de régularité... Les chroniqueurs de "Tant qu'il y aura des Gones" ont essayé ce lundi, d'y voir un peu plus clair dans les soucis qu'a rencontrés l'équipe rhodanienne tout au long de la saison. Entre recrues à forts potentiels mais peu expérimentées et jeunes du centre de formation, cette équipe manque de cadre. Il manque un joueur capable de motiver tout le monde sur le terrain, un vrai leader à l'image d'un Maxime Gonalons la saison dernière. Eliminés de toutes les coupes et à cinq points du podium avant la trêve, les Lyonnais ont su se ressaisir et s'éviter une fin de saison prématurée. Cette victoire inespérée à Marseille le 18 mars dernier leur permet de revenir à deux points de la 3e place, et de continuer à croire en une qualification en Ligue des champions. Assez pour sauver la saison lyonnaise et finir sur le podium ? Réponse le 19 mai prochain.
C'est un bon résumé de cette saison, pas de fond de jeu, pas de cohésion d'équipe, des joueurs qui se la jouent perso, un entraîneur dépassé. Une équipe de foot c'est avant tout des joueurs qui jouent ensemble et pas un empilage de joueurs et avant d'acheter un joueur il faut regarder s'il peut s'inscrire dans un collectif et surtout dans le schéma de jeu qu'on a choisi (bon à Lyon on n'a pas de schéma de jeu....) et ces qualités sont bien plus importantes que tout (il faut aussi qu'il ait des qualités footballistiques ....)
C'est justement le travail d'un entraîneur de créer cette cohésion et ce collectif , à partir d'un ensemble de joueurs aux qualités disparates .
Le Qsg n'a pas eu cette cohésion et s'est fait balayer en champions league pour des raisons clairement évoquées par l'expérimenté Daniel Alvès .
Il y a des clans chez le champion de france . Les joueurs se regroupent par affinité et sur le terrain ça s'est ressenti et ils l'ont payé cash .
Le clan des brésiliens , des argentins , des français , etc ...
A l'OL aussi du temps de Juni / Cris , ère Houiller , il y avait le clan des brésiliens , qui en venaient à faire ce qu'ils voulaient à l'entrainement , le coach devenant spectateur ....
C'est complexe de gerer une telle somme d'égos il faut un coach très expérimenté ou un ancien joueur que tout le monde écoute et respecte , et obéit à ses consignes , comme ... un certain Zidane .
Les individualités peuvent sauver un effectif qui ne joue pas collectivement.
Si elles ne le font pas, il est un peu abusé de leur en attribuer la responsabilité.
C'est à l'équipe que revient collectivement le devoir de faire du jeu et tous ensemble.
J'aurais pas dit mieux !