L'OL féminin a étrillé le FC Metz ce dimanche (6-0), à l'occasion de la 11e journée du championnat de D1.
Après le match nul concédé un peu plus tôt dans le week-end par le Paris Saint-Germain sur sa pelouse contre Montpellier (1-1), l'OL féminin avait une occasion en or de creuser l'écart en tête du championnat en s'imposant ce dimanche à domicile contre le FC Metz, actuelle lanterne rouge.
Hegerberg voit triple
Pour ce choc des extrêmes, l'entraîneur de l'OL, Jean-Luc Vasseur, devait composer sans Eugénie Le Sommer, toujours en soins, Jessica Silva et Sally Julini. Malgré ces absences de poids, les coéquipières de Wendie Renard ont fait le job contre une très faible équipe de Metz. Dès le début du match, l'OL prend les commandes et Ada Hegerberg entame son festival. L'attaquante de l'Olympique lyonnais ne tarde pas à ouvrir le score suite à un face à face avec la gardienne adverse (1-0, 11e). Il ne faudra attendre qu'une petite demi-heure pour voir la Suédoise inscrire un doublé en transformant un penalty (4-0, 45+1). Enfin, Ada Hegerberg inscrira le dernier but de la journée pour l'OL féminin suite à un beau mouvement collectif entre Majri et Van de Sanden sur le côté droit (6-0, 75e). Un match plein pour la première joueuse de l'histoire à avoir remporté le ballon d'or.
Mbock domine dans les airs
Autre joueuse de l'OL à s'être particulièrement distinguée contre Metz, Griedge Mbock. La défenseure de l'Olympique lyonnais a en effet inscrit deux buts au cours de la rencontre, à la suite de deux coups de pieds arrêtés parfaitement tirés au second poteau par Amel Majri (2-0, 35e et 3-0, 37). Dominatrice dans les airs, Mbock a démontré qu'elle pouvait se montrer solide défensivement tout en étant efficace sur le plan offensif.
L'OL prend le large
Grace à ce large succès (6-0), l'OL féminin conforte sa place en tête du championnat. Les Fenottes comptent désormais cinq points d'avance sur le Paris Saint-Germain, tenu en échec samedi à domicile par Montpellier (1-1).
Bravo !
Oui mais, il faut relativiser car, en face il n'y avait que de la bonne volonté et de la résistance tant qu'elles on pu.
Dans ce genre de match, devant une équipe comme l'OL, rester derrière et essayer de profiter d'une erreur, ça finit toujours par craquer, c'est ce qu'il s'est passé avec, en plus trois barres et un poteau, qui auraient pu corser la note.
Samedi prochain, premier match retour, avant la trêve, en espérant que, cette fois, les Fenottes auront le dernier mot face à Dijon, qui les avaient tenues en échec à l'aller.