Samedi à 20h30, l'OL croisera le fer avec l'Inter Milan pour achever sa préparation avant la reprise de la Ligue 1. Un match de gala qui, après six confrontations entre ces deux équipes, tourne à l'avantage des Italiens.
Après sept matches amicaux soldés par des fortunes diverses, l'Olympique lyonnais finalise sa préparation, avant la reprise du championnat, contre l'Inter Milan le 30 juillet prochain à 20h30. Si le onze aligné par Peter Bosz pourrait donner des indications sur celui qui devrait débuter en Ligue 1 contre Ajaccio, cette rencontre de gala est aussi l'occasion de se replonger dans ce duel franco-italien. Dans son histoire, le club rhodanien a croisé la route de l'Inter à six reprises, pour deux victoires, un match nul et trois défaites. Et pour retrouver les prémices d'une confrontation entre ces deux formations, il faut remonter à l'an 1997. Cette année-là, l'OL était embarqué en Ligue Europa, anciennement appelée Coupe de l'UEFA.
Une élimination en 16e de finale de Coupe UEFA
En seizièmes de finale de la compétition, les Lyonnais avaient pris le dessus à Milan (1-2), grâce à des buts de Ludovic Giuly et Alain Caveglia, avant d'être éliminés au match retour à Gerland (1-3). Cinq ans plus tard, Lyon avait pu prendre sa revanche. En phase de groupes de la Ligue des Champions 2002, Sonny Anderson et ses coéquipiers s'imposaient sur le même score à San Siro (1-2). Dans la deuxième manche, l'OL avait encore une fois pris trop de buts face aux Noir et Bleu, malgré un match nul accroché en fin de rencontre (3-3). Sur l'ensemble des deux matches, l'avant-centre brésilien avait planté trois pions. Quinze ans après, dans le cadre de l'International Champions Cup, un tournoi amical de présaison aux Etats-Unis, l'Inter Milan avait dominé l'écurie lyonnaise, par deux fois, sur la plus petite des marges (1-0). Samedi, Alexandre Lacazette et les autres peuvent remettre les compteurs à zéro.
Victoire 2-1 à Giuseppe-Meazza, et 3-3 au retour .
C était la bonne époque...
Je préfère Giuseppe-Meazza plutôt que San Siro.
Ça fait des décennies qu'on nous vend comme dans beaucoup de clubs français des "purs prodiges" , le " nouveau Zidane" etc... Bordeaux avec Chamak, l'OL avec Ben Arfa, puis Benzia, Bahlouli, Guezzal, Gouiri, Aouar, Cherki,...
Dès qu'un joueur a des origines maghrébines et évolue bien, on en fait le futur Zidane.
A l'OL c'est comme ça pour beaucoup de joueurs, peu importe leur origine ethnique, juste parque l'OL est l'un des meilleurs centres de formation d'Europe.
Donc si t'es au centre, c'est que t'es un crack! Non tu as du potentiel, tu dois bosser, tu es pas arrivé...Le problème est là, et ça influe sur la mentalité des gamins, car il faut le rappeler ils sont jeunes et certains à cause de ça vont foutre leur carrière en l'air (Benhamida par exemple, Bahlouli aussi).
Après, concernant ceux qui ont des origines maghrébines, à l'OL sauf exception c'est plus souvent des créateurs, des dribbleurs, rares sont ceux qui évoluent derrière, un peu nos brésiliens du bled (pas de racisme là dedans Pointdujour 😉).
Leur mentalité vient du façonnement en premier du club, puis de son entourage et des médias, et enfin de nous supporters avec nos attentes, notre manière de les encenser.
Ces joueurs ne sont pas responsables du bourrage de crâne qu'on leur impose.
Ils ont du talent, mais le club, le coach doit les remettre dans le sens de la marche et arrêter l'hémorragie de talents gâchés, Cherki on le voit le talent, l'envie.
Le coach lui a donné des bouts de match, mais avec des consignes strictes parfois non respectées. Mais comme lu plus haut parfois il faut pas trop brider le génie créatif du joueur, mais utiliser son profil à bon escient et le faire évoluer.