Que l'on aime ou non le football, difficile de rester insensible à la musique de la Ligue des champions. Avec elle, sonne des rêves de gloire et de victoire. Dans son nouveau stade du Parc OL, l'équipe de l'Olympique lyonnais va jouer un match pour son histoire, le premier de la Ligue des champions.
Le premier match de l'Olympique lyonnais au Parc OL, la première fois que les notes mythiques de la Ligue des champions vont raisonner dans le stade : ce mercredi soir à 20h45 restera forcément dans l'histoire de l'enceinte. Reste à savoir de quelle manière tout cela s'écrira ? Une victoire pour baptiser définitivement le Parc OL ? Une défaite que certains ne manqueront pas de ressortir pendant quelques années ? Ou un match nul à l’ambiguïté sans pareil, verre à moitié plein ou à moitié vide, pour une histoire où l'on ne sera pas réellement s'il faut s'en satisfaire ou non.
L'erreur de dresser des barrières
Malgré son statut de première, difficile pourtant de sentir un véritable engouement. Le stade ne sera pas plein. L'équipe du Dinamo ne fait pas rêver comme la Juventus. De son côté, au lieu de capitaliser sur « un moment historique », l'OL a préféré sortir une vidéo compilant certaines critiques reçues sur les réseaux sociaux ajoutant «La Ligue des champions il y a ceux qui en parlent... et ceux qui la jouent». Immature et loin d'être à la hauteur de l'événement, cette méthode de communication est surtout dangereuse et ajoute un peu plus de pression inutile sur le dos des joueurs. En cas de défaite, le retour de boomerang risque d'être amer. Elle n'attirera pas non plus les néophytes qui à défaut de s’intéresser régulièrement au football auraient pu avoir envie de vivre ce même moment d'histoire. Quand l'OL a besoin de la communion de tous ceux qui sont attachés au rayonnement de Lyon, le club dresse des barrières incompréhensibles. Et si le club voit son avenir en pôle de loisirs, ce genre de vidéo est à bannir.
Une nouvelle opportunité
Jean-Michel Aulas évoque régulièrement le passé de son club et la décennie des années 2000 arrivant aujourd'hui aux limites d'une telle rhétorique. Même si personne ne reniera ce passé, l'histoire s'écrit aujourd'hui. Le match OL – Zagreb est l'unique opportunité d'ouvrir une nouvelle page. Tel un point fixe, il est l'occasion de balayer pendant un temps tout risque de crise en cas de victoire, ou plongera le club dans l'incertitude en cas de défaite. Heureusement pour les joueurs, mais aussi tout le club, l'histoire n'est jamais injuste, quand elle vous offre l'opportunité de l'écrire vous même. Prochain rendez-vous avec l'histoire, le derby du 2 octobre.
J'espere qu'on aura au tant de reussite en ligue des champions qu'en ligue 1 l'annee derniere au parc ol
C'est helas le mode de communication de l'OL, toujours se comparer aux autres.
C'est normal, c'est la compétition.
Selon Foot sur 7, Dzabanna est titulaire à la tête de l'attaque ! C'est une blague j'espère
http://www.foot-sur7.fr/341741-c1-ol-premiere-titularisation-pour-alan-dzabana