Dans cette situation de crise sanitaire, la santé économique des clubs constitue l'une des priorités pour les dirigeants. D'après L'Equipe, l'OL a trouvé des solutions individuelles avec ses joueurs.
A défaut d'avoir trouvés un accord collectif, les dirigeants lyonnais ont travaillé au cas par cas, selon les informations du journal L'Equipe. Alors que les employés du club, à l'image des joueurs, sont passés au chômage partiel, Jean-Michel Aulas n'a pas réussi à trouver un terrain d'entente autour d'une baisse globale des salaires au sein de son effectif.
Une baisse de 15%, au lieu des 25% espérés
L'idée initiale était une diminution sur les paies d'avril, de mai et juin à hauteur de pourcentages allant de 25 à 75% selon les individus. Mais les efforts, réclamés sur cette période, n'ont pas abouti. "L'OL a dû se résoudre de bosser au cas par cas, ce qui a finalement plutôt bien fonctionné. De nombreux joueurs ont ainsi accepté de raboter leurs revenus mais dans des proportions plus limitées que voulues par les dirigeants, précise le média. On tournerait plutôt autour de 15% que des 25% minimum espérés." A l'inverse, avec l'équipe féminine, le président lyonnais a trouvé un accord collectif (lire ici).
Mais qu'est-ce que les joueurs vont faire avec tout leur pognon ? Reconstruire un palais au sommet de Fourvière ???
Déjà t'as 3 beaux-Frères, un beau-père et 2 agents qui te pompent plus de la moitié.
Ensuite ta femme qui exige que tu roules en Ferrari, que tu l'emmène dans des restos étoilés et qui porte du Vuitton de la tête aux pieds....
Ben voilà in fine il reste pas grand chose pour ton palais 😆
Non mais après, on tombe sur les joueurs, mais en fait ils sont même pas au courant les joueurs, ils ont des agents, payés au pourcentage, ce sont eux les sangsues. Les joueurs à la limite ils veulent partager dans leur grande majorité. Mais le système empêche ça. C'est biaisé.
Je me souviens que Gourcuff avait consenti une baisse de salaire à l'OL, car il s'occupait lui-même de ses intérêts, mais sinon c'est mort, les agents ils sont payés pour ne rien lacher.
Les salariés du club a 1500 balles par mois y perdent ou seront peut être licenciés et les joueurs refusent ou presque de baisser leur salaire astronomique !
C'est limite un peu honteux
Salarié à 1500 balles par mois c'est souhaitable pour eux de se faire licencier alors 😆
A ce tarif toucher quelques indemnités et aller bosser ailleurs c'est un cadeau à leur faire^^
Allez tombons pas dans le panneau. Les pros c'est comme ça, ils sont très demandés valent beaucoup d'argent et on peut pas les comparer avec la vie civile. Ils sont en marge clairement.
Et déjà gratter 15% ben c'est pas si mal. ça sauvera peut-être quelques emplois du club.
C'est carrément scandaleux !
C'est assez désespérant comme comportement, mais à vrai dire pas surprenant, hélas.
On ne peut même pas se rassurer, en pensant que ce sera la même musique dans la plupart des clubs pros.
Les filles, avec des salaires ,10 fois moindres
,avaient acceptées dès le début, une diminution de leurs salaires.
'J'espère que jean mi mi saura reconnaître , puisque c'est du cas par cas ,les joueurs qui ont une saine mentalité, et......les autres.
Il serait bien qu'il en tienne compte dans les mois à venir.
Vont ils continuer à signer des autographes avec la conscience tranquille, à des fans qui se saignent pour aller les supporter ?....
Depuis le début du covid-19 le football pro n'à pas montrer son beau visage, que de querelle, droit TV, calendrier, UEFA, les salaires....
La majorité du foot pro, doit travailler à améliorer son image, et à travailler sur un nouveau modèle économique.
Je tiens quand même à féliciter les clubs, via les fondations et les joueurs qui ont aidé les personnes en première ligne et je tire un boulet rouge à ces pseudo clubs très friqués et leurs joueurs qui n'ont quasiment rien fait.
Chaque site présentant les choses à sa manière, je vous présente mon combiné d'infos pour former un article complet :
"Arrêt de la L1 : l'OL, le TFC et Amiens déboutés par le tribunal administratif
Ce vendredi, le tribunal administratif de Paris s'est déclaré incompétent pour juger des recours intentés par les formations de l'Olympique Lyonnais, de l'Amiens Sporting Club et du Toulouse Football Club quant à l'arrêt des compétitions décidé par la Ligue de Football Professionnel en raison de la pandémie de coronavirus. Les trois clubs devront saisir le Conseil d'État.
Dans un communiqué, la Ligue de Football Professionnel (LFP) indique avoir « pris connaissance avec satisfaction du rejet des recours introduits par l'Olympique Lyonnais, l'Amiens SC et le Toulouse FC devant le juge des référés du tribunal administratif de Paris. Celui-ci a logiquement retenu, par trois ordonnances rendues ce vendredi après-midi, que les décisions de portée générale prises par le Conseil d'administration de la Ligue le 30 avril dernier ne pouvaient être contestées que devant le Conseil d'État, qui est compétent pour connaître des actes de nature réglementaire pris par les autorités à compétence nationale telles que la LFP »." (Made in foot).
"L'Olympique Lyonnais a pris acte de la décision dans un communiqué ce vendredi, et saisira "dès lundi le Conseil d'Etat seul compétent en premier et dernier ressort".
Un peu plus tôt, le président du SC Amiens, Bernard Joanin, qui conteste le classement figé à la 28e journée, reléguant son club en Ligue 2, avait annoncé cette même intention.
Dans son communiqué, l'OL se dit " surpris que la LFP se réjouisse dès ce soir de la position du Tribunal administratif, alors que celui-ci ne s'est en aucun cas prononcé sur le bien-fondé de la demande"." (Le Progrès).
"La polémique a été relancée cette semaine par plusieurs éléments.
Tout d’abord, la reprise dans de bonnes conditions de la saison de Bundesliga, qui semble indiquer qu’il était possible de rependre le football et terminer le championnat aussi en France.
Ensuite, la décision de la LFP d’offrir 22 places en Ligue 2 la saison prochaine, sans reléguer aucune équipe.
Une décision qui pourrait être cassée par la FFF, qui craint de créer un précédent remettant en cause les relégations prononcées en Ligue 1." (sport.fr).