A la veille du choc contre le PSG, Sonia Bompastor veut surfer sur la saison dernière et la préparation estivale. Malgré des absences et retards de forme, l’entraîneure de l’OL veut lancer cette nouvelle saison de la meilleure des façons à Dunkerque.
Une fenêtre internationale dès lundi
"En tant qu’ancienne joueuse internationale, la sélection est quelque chose d’important. L’idée est d’être en relation permanente avec les sélectionneurs pour donner un peu l’état des troupes et de gérer de manière intelligente. Les filles sont fatiguées mentalement et physiquement donc il faut faire en sorte de bien gérer les charges pour éviter les blessures. Ca fait partie d’une carrière internationale. Il faut s’adapter."
La programmation du Trophée des Championnes
"Il arrive tôt dans la saison mais ça reste une affiche entre les deux meilleures équipes françaises. Il y a un titre à aller chercher donc l’objectif était de préparer au mieux nos joueuses pour cet événement. Mais il est évident qu’on ne sera pas à 100%. On a fait en sorte de les préparer pour être au meilleur de notre forme à l’instant T pour décrocher ce premier titre. Il y aura des enseignements à tirer de ce match mais pas de conclusions définitives."
Le bilan du stage américain
"La préparation a été complexe avec plusieurs enjeux. Il a fallu réintégrer les joueuses avec différents retours sur les dates. On a essayé d’individualiser au maximum. Maintenant l’idée est de continuer sur cette lancée de la préparation qui sur le plan sportif est plutôt positif. Ca nous a permis d’évaluer nos jeunes joueuses sur le début de la préparation et sur la fin de gagner ce tournoi même s’il n’est pas officiel."
"Bien gérer les charges de travail"
La cohésion d’équipe aux Etats-Unis
"On avait fixé comme objectif 70% sur le sportif et 30% sur la cohésion. C’était l’occasion de retrouver tout le groupe. Les objectifs sont atteints et il est vrai que sur ce match de Chelsea, j’ai beaucoup aimé la réaction des joueuses en deuxième mi-temps. L’aspect mental. On a trouvé les ressources pour égaliser et gagner aux tirs au but. C’est toujours intéressant en terme de confiance."
Les retrouvailles avec Gérard Prêcheur
"C’est quelqu’un que j’apprécie énormément. Il m’a fait grandir en tant que joueuse et entraîneure. On s’apprécie et je suis contente qu’il soit à la tête de Parsi parce que c’est un très bon entraîneur. Il va faire progresser le PSG mais aussi le championnat. Je le connais bien mais il me connait bien aussi donc on est à 50% sur ce côté-là."
Le symbolique de ce 2e Trophée des Championnes
"Ne pas l'avoir gagné ? Je n’ai pas souvent des regrets. Je suis quelqu’un de positive et je regarde vers l’avant. C’est un titre à aller chercher surtout quand on est compétitrices comme nous. Continuer à écrire l’histoire de l’OL et à remplir le palmarès du club. On est ambitieuses, on veut continuer à gagner et il faut faire preuve d’efficacité pour ça. On s’est fixé des objectifs dans le contenu de nos matchs. Ce qui est important dans le football de haut niveau, c’est bien évidemment la manière mais il faut gagner surtout."
"Gérard Prêcheur est quelqu'un que j'apprécie"
Un ascendant psychologique à gagner ?
"C’est important de pouvoir gagner ce premier match et ce premier titre. Ça peut bien sûr créer un ascendant psychologique même si on n’en tirera pas de conclusions vu la période et le contexte de ce match. Il est encore trop tôt pour savoir qui va performer."
Peu de changement dans l’effectif
"On a déjà une bonne base par rapport à la saison dernière, des repères et des automatismes dans le jeu. Ça doit nous permettre d’enchaîner et de continuer sur cette bonne base."
Nos "fenottes" font un long et fatiguant déplacement (séjour) aux E.U. pendant que les parisiennes restent en France+ un petit passage en Espagne pour rencontre Levante
Money money money 🤑
Il y a la franchise à soutenir et vendre la marque OL.
Le PSG masculin a fait son périple au Japon
Cela fait partie du business.
Ah, le fric ! il ne fait, soi-disant pas, le bonheur mais, il y contribue fortement non ? surtout pour les dirigeants de clubs, investisseurs avant tout !
Un trophée psychologique.
Pour maintenir le blason OL tout en haut il ne reste plus que les fenottes, parceque pour les hommes l'équipe part en cacahuètes, à 4jours de la fin du mercato et après 5 journées on n'a pas une vision complète de l'équipe, toujours pas de 6, Malo seul au poste de LD, un milieu reconverti en DS....