Hubert Fournier avait mis en cause Jean-Michel Aulas la semaine passée après un retweet du président qui s'interrogeait sur la non-titularisation de Yoann Gourcuff.
JMA est revenu sur cet épisode dans les colonnes du Parisien. "Je n'ai pas l'habitude. Je suis intervenu immédiatement, et ça ne se reproduira plus. C'était idiot, c'était se tirer une balle dans le pied. Hubert, qui est un garçon intelligent et premier du championnat, a compris que ça ne se faisait pas. Ni à Lyon, ni ailleurs. L'incident est clos, et on s'entend très bien", a expliqué l'historique président de l'OL.
Aulas reconnait qu'il s'est planté et il désamorce la bombe.
C'est l'attitude qu'il fallait avoir.
Les discussions entre le président et l'entraineur doivent se faire dans un bureau, à l’abri des regards et des oreilles des journalistes qui n'attendent que ça pour polémiquer.
Comme aurait dit les inconnus "cela ne nous regarde pas!"
Non il dit l'inverse, il dit que Fournier s'est planté en faisant cette sortie et qu'il l'a recadré derrière. J'aurai préféré qu'il se remette lui en cause et qu'il avoue que son tweet était déplacé... La en gros c'est "pas touche au big boss, tu rentres dans le rang et tu te tais..."
C'est vrai qu'il y a un double sens à sa phrase.
Si vraiment c'est dans ce sens là, Fournier part à la fin de la saison.
L'inconvénient du tweet, c'est qu'il faut répondre en instantané et que de ce fait, il est impossible d'avoir un recul suffisant pour faire la synthèse d'une situation donnée.
Or, un président de club, comme un homme politique, se doit d'examiner la portée de chaque mot qu'il délivre en public.
On retrouve le même problème avec nos commentaires, sauf qu'ils n'ont heureusement pas la même portée médiatique ni la même influence sur le fonctionnement du club.