Rémi Garde a annoncé ce matin que Miguel Lopes sera forfait pour la réception de Rennes dimanche soir (21h, Canal+).
Selon nos informations, le latéral droit portugais - touché aux ischio-jambiers - sera absent de deux à trois semaines au minimum.
17 commentaires
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Fait chier. J'aimerais faire un jour une saison à la Lille 2012 ou Marseille 2011, ce qui explique leur titre ces années là: une saison sans aucun blessé dans les joueurs majeurs ...
Les ischio-jambiers est une maladie typiquement lyonnaise. Et si on regardait de plus près les entraînements et exercices de Tola Vologe ?
oui et Grenier qui va joué en ayant encore des douleurs ! moyen-moyen !!
Miguel Lopès ca fait 3 ans qu'il ne joue pas régulièrement, à cause de blessure ou à cause de ses transferts incessants, Ce n'est pas surprenant qu'il se blesse après un début de saison au rythme infernal.
Espérons que M. Lopes sera bientôt de retour.
Réveillere
On file du pognon a Reveillère et il signe !!
Impossible : on lui a déjà refilé du pognon pour qu'il parte !
compte tenu de sa réputation, je m'attendais a ce qu'il retrouve l'infirmerie bien plutôt
vraiment une bonne affaire
a priori 3 semaines pour M.Lopes et au moins jusqu'au 29 septembre pour Danic
1ère bonne nouvelle du w-e, on jouera donc avec un latéral droit contre rennes, ça peut aider 😉
Bon j'espère au moins que son remplaçant ne laissera pas autant de boulevard que lui.
J’espère quand même que cette hiver l'OL pensera a recrutè un vrai latéral droit sa pourrai aider.
@ coco
effectivement je trouve que Clément se précipite trop pour retrouver le terrain
il a encore des douleurs à la cuisse, donc la cicatrisation n'est pas totale ..
ol-91
je suis aussi d'accord, il faudrait vraiment trouver la raison de ces blessures récurrentes à l'OL depuis pas mal de temps déjà !
je vais mm plus loin, nous sommes en 2013 !! je trouve la prépa de l'OL très archaïque !
la plupart des clubs sont sous "gps" ... à l'époque où Alex Dellal officiait à l'OL, il y avait eu un suivi longitudinal établi avec des entrainements adaptés .. il était un vrai préparateur physique du futur !! l'OL l'a viré alors qu'il était un vrai précurseur et un vrai novateur en matière de PP !!
il s'était même remis en question sur certaines blessures !
là pour moi c'est retour vers le futur !
Sur la prépa ,j'ai lu une ITW sur les méthodes Montanier ,son adjoint je crois ,et ils ne font pas de footing mais courses et accélérations ,récup ,jeux de ballons .... là à l'OL,il y a hecatombe d'ischios !
http://www.staderennais.com/index.php?rb=22&id=AT8246
Michel Troin ,adjoint de Montanier
« Ce sont les efforts à plus de 21 km/h qui font la différence »
Comment avez-vous organisé votre programme d’avant saison ?
Notre préparation d’avant saison se base sur l’objectif de développer les efforts à très haute intensité. Ce sont les courses à plus de 21 km/h qui font la différence. Sur la longueur d’un match, si une équipe fait 300 courses à cette vitesse et l’autre en réalise 200, elle fera la différence. On ne fait donc par exemple aucun footing.
Quelles sont les méthodes pour travailler ces efforts à haute intensité ?
On cherche à développer un jeu dynamique par des courses rapides, des déplacements courts, etc.. Il faut donc une capacité athlétique en rapport avec notre projet de jeu. On veut avant tout des joueurs dynamiques. Il faut donc travailler la capacité à répéter les efforts. Aujourd'hui, il y a des joueurs qui sont capables d’être rapides et endurants. Auparavant, c’était l’un ou l’autre. On ne peut pas encore dire aujourd’hui que le rythme est acquis. Par contre en septembre ou octobre, on devrait en tirer les bénéfices.
« Pourquoi monter des cols ? On ne prépare pas le tour de France ! »
Certains joueurs sont naturellement plus explosifs que d’autres …
Oui, mais cela se travaille. Pour certains ce ne sera pas trop dur, pour d’autres un peu plus. Jeunes comme anciens peuvent arriver à un certain palier. Les joueurs explosifs ne tiennent pas toujours le rythme durant tout le match. Ce qui est intéressant, c’est la répétition. Si le joueur est capable de réaliser un effort violent toutes les trois minutes, on a déjà quelque chose d’intéressant. Dans un match, un joueur n’est jamais arrêté. Par contre, il varie entre des courses lentes et des courses très rapides.
Le fait de ne plus avoir de préparateur physique et de ne plus réaliser un travail athlétique lourd est quelque chose de nouveau pour le club et peu fréquent en L1. Pourquoi ?
Le football n’est pas un sport d’endurance. On travaille de cette manière depuis 2001 avec Robert Nouzaret à Toulouse. Philippe Montanier était entraineur des gardiens et j’étais adjoint. Avec Bastia en 2002, on a procédé de la même manière. J’ai travaillé durant huit ans au centre de formation de Cannes avec Guy Lacombe et on utilisait déjà cette méthode. On base notre réflexion sur le jeu. Pourquoi faire des footings alors que ce n’est pas cet effort que l’on fait en match ? C’est bien de partir en stage en montagne et de grimper des cols, mais on ne prépare pas le tour de France !
Comment organisez-vous vos séances ?
Tout ce que l’on fait part d’un principe : un temps de travail pour deux temps de récupération ou deux temps de travail pour un temps de récupération. On conçoit les entraînements sur le dynamisme et les efforts courts. Au niveau mental, c’est la même chose : le joueur réalise un effort de concentration et ensuite il se relâche. On essaye également de varier au maximum les séances.
« La technique est la base de tout »
Il y a beaucoup de séances avec le ballon…
On essaye de travailler énormément la technique avec un travail de passe, de remise… il y a deux choses dans un match : il y a l’effort physique et mental avec ballon et sans ballon. On veut recréer cela à l’entraînement.
Le rythme des séances va-t-il évoluer durant la saison ?
La méthodologie est la même tout au long de l’année. L’équipe joue comme elle s’entraîne. Si les entrainements sont dynamiques et orientés d’une certaine manière, les matchs seront dans la même lignée.
La technique est-elle fondamentale ?
Oui c’est la base de tout. Lorsque j’étais formateur à Cannes, 50 joueurs sont devenus professionnels (Viera, Micoud, Escudé…) Ils étaient tous les meilleurs techniciens de leur groupe. Les grands joueurs sont ceux qui manient bien le ballon, qui jouent juste… L’Espagne l’a compris depuis longtemps et l’évolution générale va dans ce sens. Notamment chez les défenseurs où le bagage technique est de plus en plus important. On recherche cela : une qualité de première passe qui déclenche tout.