Malgré son doublé contre Metz, Moussa Dembélé a regretté la première mi-temps de l’OL. Battus par les Messins (3-2), les Lyonnais ne seront très certainement pas européens la saison prochaine.
Avant le match de dimanche, le FC Metz n’avait gagné qu’un seul match à domicile cette saison. C’était en décembre dernier et face à un OL en pleine confiance après la victoire à Marseille, le pire était à craindre pour les Messins. Finalement, ce sont bien les hommes de Frédéric Antonetti, encore pleins d’espoirs pour se maintenir, qui ont montré le plus d’envie et ont remporté la bataille (3-2). Une semaine après le succès dans le sud de la France, l’OL a été aux abonnés absents au moins pendant la première mi-temps.
"Il n’y a pas d’excuses. On n’était pas assez concentré et déterminé dès l’entame du match. On savait que c’était une équipe qui doute et qui jouait gros et on aurait dû entrer dans ce match avec de l’intensité et de l’impact pour les faire douter, a déclaré Moussa Dembélé au micro d’Amazon Prime. Ils ont mis les deux premiers buts et ça les a mis en confiance tout simplement."
Dembélé : "On savait qu'ils étaient forts en contre"
Pourtant, dans cet après-midi cauchemardesque en tout point de vue avec notamment l’exclusion de Thiago Mendes, les Lyonnais ont trouvé certaines ressources mentales pour revenir dans la partie. Avec un doublé de Dembélé (43e, 84e), la physionomie du match aurait même pu tourner en faveur de l’OL dans un match au scénario aléatoire. Mais à force de jeter ses forces dans la bataille en infériorité numérique, le club lyonnais s’est fait sanctionner. Désormais à 5 points de la dernière place qualificative en attendant le match en retard de Nice, les hommes de Peter Bosz ne seront très certainement pas européens la saison prochaine. Un vrai échec.
"C’est un match à l’image de la saison. Il y a du bon et du moins bon. On n’arrive pas à être complet pendant 90 minutes sur un match. Ce sont nos erreurs et il va falloir les assumer et les corriger pour la suite, a poursuivi Dembélé (…) C’est une saison ratée pour le club qu’est l’Olympique lyonnais. On se doit d’être toujours en haut du tableau et en Europe. On a pêché et je ne vois pas quel autre adjectif je pourrais utiliser."
c est pas la faute des supporters? et dire qu on va peut être passer à côté d un retour de Lacazette parce que cette équipe est pas capable d accrocher une coupe d Europe. Les mecs ils jouent contre une équipe avant dernière de championnat et il parle de pas être assez concentré et impliqué dès l entame du match ? j ai l impression de rêver à entendre des discours comme ça.
Il parle, il parle, mais il s'en fout puisque le club tourne au mensonge depuis 10 ans, plus aucune parole est crédible. Il le dit, mais ça ne fait même plus réagir, c'est un mensonge de plus qui s'ajoute à la liste et, au fond, est-ce qu'il en a vraiment quelque chose à faire de la situation du club ? Lui, il marque des buts, c'est un de ceux qui aura le plus facilement un après. Beaucoup d'autres sont des imposteurs, ils n'ont pas le niveau pour l'OL mais se revendiquent du salaire et du statut.
Forts en contre ?! C'est une blague...ils sont derniers du championnat !
Mais c'est pire que l'image d'une saison, c'est l'image de plusieurs saisons...impossible d'aimer cette équipe et ces joueurs.
Franchement bye bye Peter, le mec qui ne capte toujours pas qu'en France il faut être solide derrière avant de partir à l'abordage. ça m'étonnera toujours. On aurait des meilleurs résultats avec Antonetti, c'est dire...
Bye Bye tous les boulets (la moitié de l'équipe en fait...).
Bref, encore une saison de transition, mais cette fois avec les jeunes, c'est déjà ça.
Allez l'OL et à l'année prochaine !
On est toujours forts en contres quand l'adversaire laisse des boulevards et des pistes jalonnées.
Dembele reconnaît: saison ratée...mais surtout peter bosz l a dit aussi : coach il faut prendre ses responsabilités !
J'aime Moussa Dembele et je souhaite qu'il reste jusqu'à la fin de son contrat. Sinon on pourrait avoir une Breel comme recrue l'an prochain.
Joli !
Et cette 10e défaite de la saison, celle ci face à la lanterne rouge de la L1 c'est à cause des supporters ?
SHUT...
L'Equipe Vincent Duluc publié le 8 mai 2022 à 20h12
Cette fois, c'est presque fini, et cela ne mérite pas plus : battu à Metz (2-3) à la dernière minute, au bout d'un naufrage qui ressemble à sa saison, l'OL ne sera très probablement pas européen, pour la deuxième fois en trois saisons. Il terminera vraisemblablement entre la 7e et la 10e place, sans doute le déclassement le plus imprévisible et le plus spectaculaire de la saison française. C'est un échec profond dont les trois parties principales du club partagent la responsabilité (dirigeants, entraîneur, joueurs), après de longs mois à tenter de se convaincre que demain serait un autre jour, alors qu'il s'agissait d'un jour sans fin : les mêmes inconstances, les mêmes limites, les mêmes défaites.
Les Lyonnais ont accompli à Metz une première période pathétique, sans qualité ni engagement, avec deux retours au score par Moussa Dembélé (43e, 84e) pour prix d'un talent tellement supérieur et tellement gâché, et une punition finale, à la dernière minute, pour éteindre tout rêve européen avec un certain panache et un sens aigu de l'autodestruction.
« C'est à l'image de la saison. Il y a un manque de combativité dans l'effectif. Même si tu ne joues pas ton meilleur football, tu dois rester soudé et gagner »
Moussa Dembélé, le meilleur buteur lyonnais
Mais tout, dans cet enchaînement, lui ressemble. Une semaine après son triomphe à Marseille (3-0), l'OL a été à peu près en dessous de tout à Metz, contre une équipe très faible et en tout cas très fébrile, comme si les joueurs lyonnais s'étaient désintéressés du sort de leur club et de leur entraîneur dans un match ordinaire après avoir brillé pour eux-mêmes à Marseille.
Le match a confirmé la dépendance de l'OL envers Moussa Dembélé en 2022 (19 buts en L1, 15 sur la phase retour), le club lyonnais ayant été autant porté par les buts qu'il a marqués que par ceux qu'il a ratés. Seul joueur lyonnais venu assumer la situation devant les micros, le double buteur du jour a résumé : « C'est à l'image de la saison. Il y a un manque de combativité dans l'effectif. Même si tu ne joues pas ton meilleur football, tu dois rester soudé et gagner. Il nous a manqué ce petit truc toute la saison. » Cela aura été, constamment, un petit truc assez énorme.
« Je sens de la confiance de mon président, des dirigeants, ils savent exactement ce qui se passe dans l'équipe »
Peter Bosz, l'entraîneur de l'OL
Dans ce contexte, la conférence de presse de Peter Bosz a donné la même impression que la défaite de son équipe : mêmes maux, mêmes mots, même « je ne peux pas l'expliquer », éternel « ce n'est pas bien », constat d'échec (« oui, et il n'y a pas d'excuse »), et avenir flou. S'il finit aussi mal classé, loin de l'Europe, le technicien néerlandais peut-il rester en poste ? « Ce n'est pas à moi qu'il faut poser la question, répond-il. Moi, je sens la confiance de mon président, des dirigeants, ils savent exactement ce qui se passe dans l'équipe. »
Ils savent qu'il s'est souvent passé la même chose (10e défaite en L1), et que leur entraîneur n'a pas trouvé la solution sur la durée. Ils savent aussi, donc, que cet échec est également le leur, ainsi que celui de l'ère Juninho : trois saisons sans la moindre qualification en Ligue des champions, et deux sans coupe d'Europe, le niveau le plus bas de l'OL au XXIe siècle.
Le changement d'actionnaires pourrait peser sur l'avenir du coach
Comment maintenir Bosz dans ces conditions ? Sans l'Europe, le bilan qui sera fait de son action ne pourra pas être le même. Il s'est débattu, dimanche, mais ses quatre changements dès la mi-temps, une grande première, ont symbolisé la manière dont il a avancé toute la saison, à tâtons, en se cognant aux murs, en changeant d'hommes ou de système, incapable de susciter ni d'obtenir la moindre continuité. Il manque autre chose qu'une autre organisation ou d'autres joueurs. Il manque du lien entre eux, un supplément d'âme, et c'est aussi le boulot de l'entraîneur, le reflet de son impact et de son discours.
L'OL est au coeur de changements profonds, avec le départ annoncé de deux actionnaires importants, Pathé (19,36 %) et IMG (19,85 %), et la recherche parallèle de nouveaux investisseurs par la banque Raine, mandatée par les deux actionnaires, et par Jean-Michel Aulas lui-même.
Dans ces conditions, il est extrêmement probable qu'un éventuel changement d'entraîneur, si changement il y a, attendra l'arrivée de ces nouveaux partenaires et les nouveaux équilibres au sein de l'actionnariat. Pour cela et pour tout le reste, vu la position de l'OL au classement, la saison prochaine commence ce matin.
UNE VRAIE ÉQUIPE D'IMPOSTEURS ENCADRÉE PAR UN INCAPABLE AVEC LA BÉNÉDICTION DE DIRIGEANTS MENTEURS...
On attend toujours des excuses de la part des joueurs et du staff pour cette saison ratée
On peut toujours rêver
On a fait fort dans la médiocrité on est devenue un lieu de villégiature pour touristes désœuvrés...on peut pas être Plus bas.avec un staff complètement au fraise des joueurs pas concerné est des dirigeants a l'ouest.il y a t'il encore un pilote dans l'avion ?
https://youtu.be/pLvL_9HQQoE
Dembélé , grand joueur et dire que cette breel de Bosz lui a préféré Paqueta avant , sinon il aurait fini meilleur buteur
OL Groupe a communiqué sur le financement de l'Arena, le club va financer la construction avec un emprunt (encore) de 90 M€ et à hauteur de 51 M€ sur ses fonds propres. Le temps que l'Arena devienne rentable et rembourse ses emprunts, c'est l'équipe de foot qui va servir à ramener l'argent.
Pour ceux qui pensent que l'OL va investir dans le sportif à un moment, ce n'est pas encore pour demain.
Et vendre à un investisseur ne changera rien, le nouveau est comme l'ancien, il voudra un club qui rapporte beaucoup pour rembourser les emprunts.
A moins qu'un sponsor richissime ET généreux ne rachète le club.