Mis sous pression par la victoire du PSG, l’OL a parfaitement réagi face au Paris FC (2-0). Grâce à Vanessa Gilles et Signe Bruun, les Fenottes reprennent un point d’avance au classement.
Pour la manière, il faudra repasser. Ce dimanche, l’OL a assuré l’essentiel dans la course au titre et ce sprint final. Face au Paris FC, les Fenottes se savaient attendues et se devaient de répondre présentes. Avec la victoire du PSG un peu plus tôt dans l’après-midi, le club parisien avait repris, provisoirement, la tête du championnat avec deux longueurs d’avance. Le faux-pas pour l'OL était déjà interdit au moment d’aborder la 19e journée, il était encore moins recommandé au moment du coup d’envoi.
Dans ce choc contre le PFC, en sortie de trêve internationale et en pleine semaine de l'annonce d'une potentielle vente, il n’est jamais facile de se remettre dans le bain. La prestation lyonnaise l’a confirmé au Parc OL dimanche. Les joueuses de Sonia Bompastor ont été dominatrices, c’est un fait. Seulement, elles ont été bien loin du récital offensif observé avant la trêve face au Havre (7-0). Contre le 4e du championnat, l’OL a eu du mal à se montrer vraiment dangereux.
Un jeu lyonnais qui a manqué d'étincelles
Amel Majri a bien essayé de tenter une frappe lointaine après un slalom de Delphine Cascarino dès l’entame, mais avec la formation offensive mise en place par Sonia Bompastor, il y avait de quoi s’attendre à mieux. Cynthia N’Nadozie n’a rien eu à faire pendant 90 minutes si ce n'est s'interposer devant Becho (71e). Mais la gardienne adverse a dû s’incliner sur un nouveau coup de casque de Vanessa Gilles au quart d’heure de jeu. Une ouverture du score qui a fait du bien à l’OL au tableau d’affichage plus que dans le jeu. Sur un rythme assez monotone, les Lyonnaises n’ont pas réussi à déstabiliser outre mesure le bloc francilien.
Eugénie Le Sommer, à son avantage avec les Bleues durant la trêve et avec Hervé Renard en tribunes, l’a joué trop collectif alors qu’elle avait le chemin du but ouvert. À force de ne pas être assez tueuses, les Fenottes se sont exposées aux contres du Paris FC avec la vitesse de Clara Matéo notamment. À l’heure de jeu, Daphnée Corboz a obligé Christiane Endler à s’employer (59e). Un souffle d’air chaud dans le cou lyonnais qui sera suivi d'une autre très grosse alerte avec un duel perdu de Ribadeira (73e). Avec cette victoire validée par Signe Bruun à trois minutes de la fin, l’OL reprend son fauteuil de leader et c’est bien l’essentiel dimanche.
On souffre toujours sur un pressing constant. Mais dans ce type de match, les passes longues ou les dégagements longs sont à éviter contre une équipe regroupée et ne sont reçus que par l'adversaire qui peut contre-attaquer.
Je passe mon tour, j'ai donné sur l'autre fil ! 😉😜
ALLEZ LES FENOTTES ! 👍
Comment Dédé, tu n'étais pas dans la tribune ?!!! quelle honte !! 😊 😛
dede ,
Je vieillis , il fait froid , le gasoil est trop cher ,ma voiture n'a pas démarré.....
Bref , je cherche une excuse , mais je crois que je m'enfonce davantage ! 😉😜
J'ai honte !
Bonne soirée .
Un match rendu compliqué par la présence constante des parisiennes au contact.
Une première mi-temps plutôt soporifique à mon goût, plus d'énergie en seconde mais que ce fut difficile jusqu'au bout et la délivrance en toute fin de match avec ce deuxième but signé Bruun sur une merveille de passe de Delphine qui centre après un débordement désormais classique chez elle.
En fin de match, Delphine, bien que revenant de sélection, avait du kérosène dans le carbu ! le turbo s'est mis en marche et pfffftttt... c'était speedy Delphine 👍
Pas vu le match, bravo les fenottes
Pas vu le match mais la sensation désagréable que l’ingerance et les problèmes de management chez les
hommes gangrene aussi un peu OL féminin.
Heureusement que les fenottes ont de la marge mais ça ronronne un peu non ?
On a eu pas mal de blessures mais en terme de recrutement on est pas moins inspiré là ???
Ne me tombez pas dessus je me pose juste la question 😉
Et je cache pas avoir quelques “réserves” sur Sonia ☺️
Sonia fait avec les impondérables qui continuent de perturber la saison du club, entre blessures et sélections à l'autre bout du monde.
Je n'ai pas souvenir d'une telle scoumoune !
Quant à la marge dont tu parles, elle est plutôt étroite en championnat puisque un seul point d'avance sur l'éternel rival, point qu'il convient de conserver pour éviter l'obligation de l'emporter dans la future confrontation avec le PSG, lequel rame plutôt aussi actuellement.
Trop de maladresse ds la finition avec tirs non cadrés sans variante et des centres non doses. Cascarino, VpCaroenter font la