Kim Källström a annoncé prendre sa retraite internationale après l’Euro 2016 en France. À 33 ans, l’ancien lyonnais estime qu’il est temps pour lui de laisser la place aux jeunes.
Le double champion de France avec Lyon (2007 et 2008) va tirer sa révérence sur la scène internationale après la compétition européenne qui débute le 10 juin prochain : « C'est le bon moment. Terminer sur un grand tournoi international, c'est le bon timing. » Une longue carrière qui se terminera après un dernier défi pour le coéquipier de Zlatan Ibrahimovic en Suède et Kim compte tout de même 127 sélections et 16 buts marqués.
Six saisons passées à l’OL
Les supporters lyonnais se souviendront de Källström probablement pour une chose : sa capacité à envoyer des mines au fond des filets adverses. En effet, le milieu de terrain était réputé pour sa lourde frappe de balle, mais cela n’enlevait rien à ses qualités dans le jeu des Gones. Arrivé en 2006 au club en provenance de Rennes, le Suèdois a porté le maillot de l’OL à 287 reprises pour un total de 24 buts inscrits. Son palmarès avec l’équipe rhodanienne est plutôt conséquent : deux championnats de France en 2007 et 2008, deux Trophées des champions en 2006 et 2007, deux Coupes de France en 2008 et 2012 et deux finales de Coupe de la Ligue en 2007 et 2012.
Kim Källström part ensuite en Russie et rejoint le club du Spartak Moscou, dans lequel il joue 58 matchs durant trois saisons, entrecoupées d’un prêt de six mois à Arsenal, où il dispute seulement trois rencontres. Le natif de Sandviken évolue désormais au Grasshopper Zurich dans le championnat de Suisse et on se souviendra tous du coup franc ci-dessus face au Paris Saint-Germain, en quart de finale de Coupe de France 2012.
Gros travailleur ce joueur. Avec une frappe de balle monumentale.
Kim est un super joueur, qui aura fait de belle choses à Lyon, merci pout tous ce qu'il auras fait à L'OL. Bonne continuation à lui. ALLEZ L'OL
Son but en coupe de France, est inoubliable.
Le vrai joueur de club par excellence.
Pas exceptionnel, mais indispensable. Bosseur, mouilleur de maillot, super mentalité, ultra polyvalent (il pouvait joueur meneur de jeu, relayeur, ailier gauche, voire même latéral). Jusqu'à l'éclosion de la paire Tolisso-Fékir, je l'ai beaucoup regretté.