Mercredi, l'OL se rendra sur le terrain de la Juventus pour le quart de finale de la Ligue des champions. Un match à suivre dans plusieurs bars de Lyon.
En tête de la D1, les Fenottes aspirent également à reprendre leur couronne européenne. Cela commence mercredi avec la première manche des quarts de finale de la Ligue des champions. Opposées à la Juventus, les coéquipières de Wendie Renard voyageront à Turin pour ce grand rendez-vous, avant le match retour la semaine suivante à Décines (31 mars). Ce match en Italie sera notamment à suivre dans plusieurs bars de la ville de Lyon.
Des places pour le match retour à gagner
Avec le nouveau concept Comptoirs Rouge & Bleu, une quinzaine d'établissements offrent la possibilité aux supporteurs de se retrouver dans la métropole lyonnaise. La rencontre de mercredi sera diffusée dans quatre bars du 2e arrondissement : le République, le ED'S, le Tony's et le BBC. Enfin, ce duel sera également retransmis au Ninkasi de l'OL Vallée. Dans chacun de ces endroits, des places pour la 2e affiche sont à gagner.
Pour rappel, la partie sera aussi visible gratuitement sur la chaîne YouTube de DAZN, détenteur des droits TV de la compétition, et sur notre site internet.
Petite info pratique pour ceux qui ne le savent pas encore : allez sur FOOTAO tv cherchez le match et cliquez sur DAZN juste avant l'heure de diffusion... c'est facile et rapide
Ou aller directement sur YouTube... Chercher "DAZN UEFA Women's Champions League" et laisser cette chaîne gratuite en abonné pour ne pas avoir à refaire une recherche... Par ailleurs, on a le choix entre plusieurs langues de diffusion, dont évidemment le français !.
Devancé d'une longueur !...
Et en plus, pour les coms en Français, on a en principe Olivier Tolachides , ex.OL et grand connaisseur de la maison OL, et du foot féminin !......
Un plaisir !
Avec un trio d'arbitres britanniques, les filles vont pouvoir jouer des épaules, ça ne sifflera pas trop 😉
Le positif, c'est que l'arbitre du centre est une ancienne joueuse de haut niveau, et internationale qui plus est....
Normalement, c'est un plus quant à l'esprit du jeu, ce qui m'a semblé manquer à Hamel dimanche, qui lui , n'a visiblement jamais dû pratiquer!😉
Mais ce sont deux bonhommes à la VAR, et là je n'ai aucune certitude.
Nos filles devront être costaudes, car les british laissent beaucoup jouer.
Après, j'espère que l'arbitrage n'aura pas le crunch en mémoire, et un vilain désir de revanche !...😜
C'est vrai Dede j'ai été agréablement surprise de retrouver Olivier Tolachides qui connait parfaitement nos joueuses pour les avoir suivies assez longtemps .
"Poupette" c'est l'affectueux surnom de notre petite fille (bientôt 8 ans) qui joue au foot avec les garçons dans la cours de récré... qui regarde les matchs de nos Fenottes avec nous... et qui clique sur toutes les compos présentées dans les directs de l'équipe pour tout savoir sur les joueuses... Qu'en sera-t-il dans quelques années ?... tous les virtuoses se passionnent très jeunes ! ... nous, à son âge, la télé n'avait qu'une seule chaîne en noir et gris... on n'en avait pas dans la famille ! ... ni chez les voisins ! Seuls quelques matchs de l'EDF à voir avec le rugby de Roger Couderc et l'athlétisme ! ... mais les stades étaient pleins et la ferveur populaire non violente... nous y allions en famille, même avec la "mémée" parfois ! BON MATCH A TOUS 😉
Olivier T. est un journaliste qui connaît bien les stats des joueuses !
Morroni et Horan dans le groupe.
La première a repris l'entraînement.
Un article sur les salaires du foot féminin :
RT @lequipe Salaires de la D1 Arkema : l'écart se creuse entre les stars de l'OL et du PSG et les autres
https://www.lequipe.fr/Football/Article/Salaires-l1-feminine/1322719
C'est là que l'on voit la grosse différence entre les clubs pro dans leur ADN et ceux qui sont restés semi-pro, voire amateurs.... Mais que fait la Fédé ? Elle cause, elle cause, en bon fonctionnaire vivant sur le fric des passionnés !
Les contrats fédéraux sont mal rémunérés, et les joueuses conservent un emploi à temps partiel pour vivre normalement (j'en connais quelques-unes, comme en basket ou handball, sport-co restés amateurs)... et puis il y a les clubs dont les équipes féminines (même adossées aux masculines) ne font pas grand chose pour les joueuses : Guimgamp, Reims, Dijon, St Etienne, Marseille, Bordeaux... on peut même citer le PSG qui n'a pas de stade régulièrement disponible pour elles. Pour réussir, il faut avant tout s'en donner les moyens,et l'impulsion doit venir des dirigeants du foot... j'espère que JMA dans ses nouvelles fonctions à la Fédé va faire bouger les "enclumes" qui cadenassent un peu trop le développement du foot pro féminin.