Grégoire Puel a ouvert le score avec Nice samedi soir face à l'OL (1-3).
Passé par le centre de formation de Lyon quand son père dirigeait l'équipe première, le joueur polyvalent avait passé des moments difficiles dans la capitale des Gaules. "Oui, c'est une revanche par rapport à Lyon. C'est toujours bien de pouvoir jouer un peu plus haut sur le terrain. Surtout, il faut que je frappe", a-t-il confié à L'Equipe après la rencontre.
Avant de poursuivre sur les sifflets qui accompagnent ses matchs dans l'Allianz Riviera : "Les sifflets sont difficiles, même si je me suis forgé une carapace. J'ai le sentiment d'être attendu au tournant sur chaque passe et chaque contrôle".
Pauvre mec, il devra quitter le cocon familiale pour s'épanouir pleinement...
Un buteur virtuel avec une moyenne de 1/2 but par saison, et à travers un grand trou comme à l'entraînement. On se console comme on peut.
Il y a peut-être une espèce de malédiction qui frappe les fils d’entraîneurs.
Faut être courageux pour aller jouer à Nice vu la sale mentalité qui reigne dans le public.
Parler de revanche quand tu perd 3/1 à domicile ?