Absent durant presque six mois en raison de douleurs dorsales, Christophe Jallet savoure son retour en forme et évoque la confrontation retour face à la Roma.
Christophe Jallet a vécu une première partie de saison compliquée avec l’Olympique lyonnais. Gêné par une douleur au dos, il raconte, dans un entretien accordé à l’Equipe, ce qu’il a vécu durant de nombreux mois : « quand tu as des douleurs un peu bizarres et que personne n’arrive à te l’expliquer, tu te dis que ça va passer comme c’est venu. Mais quand ça traîne un mois, deux mois, trois mois, que les douleurs sont toujours aussi importantes, on commence à se dire que ça pue, indique-t-il. Tu rentres chez toi, tu es blasé, tu en as les larmes aux yeux car tu ne peux pas exercer ton métier, tu ne peux pas prendre de plaisir et tu te demandes ce qu’il faut faire. »
« J’ai relativisé »
Pris en charge par les médecins du club, l’intéressé a, par la suite, repris le chemin de l’entrainement et de la compétition en fin d’année dernière. Un retour loin d’être évident : « j’ai eu la chance de jouer dès le mois de décembre, peu de temps après ma reprise. Mais j’ai ensuite passé quasiment deux mois sans jouer où il a fallu se battre tous les jours à l’entrainement » raconte-t-il. Mature et expérimenté, l’ancien Parisien indique avoir fait le nécessaire pour dédramatiser la situation : « j’ai relativisé en me disant que six mois en arrière je n’étais pas sûr de pouvoir rejouer car je ne savais pas vraiment ce que j’avais. »
« C’était un discours de remobilisation »
Désormais en pleine possession de ses moyens, Christophe Jallet savoure cette reprise en grande forme. Le latéral droit lyonnais a inscrit le premier but de sa saison dimanche face à Toulouse (4-0) et fait une entrée remarquée lors du huitième de finale aller face à la Roma. Ce dernier revient justement sur cette rencontre, et plus particulièrement sur ses paroles à la mi-temps : « c’était un discours de remobilisation pour essayer de réveiller tout le monde. Comme je ne jouais pas, j’avais une vision différente que je voulais apporter pour contribuer à nous remettre sur le bon chemin car on était mal partis » explique-t-il. Les Gones ont affiché un bien meilleur visage en seconde période et l’ont emporté quatre buts à deux.
« Avec prudence et humilité »
A quelques heures du coup d’envoi du huitième de finale retour contre la Roma (21h05), Christophe Jallet évoque la confrontation et indique l’attitude à adopter : « avec prudence et humilité. On sait que c’est un très gros morceau. On a pu le voir lors du match aller. Il a fallu qu’on se mette à 150% pour qu’on puisse le dominer » annonce-t-il. Ce dernier conclu : « ça va nous permettre de nous confronter de nouveau à cette belle équipe et de voir ce qu’on vaut dans une situation où on a fait la première partie du travail. Il faut essayer de le terminer. » En 1995, l’OL avait brillé au Stadio Olimpico et enregistré une qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe UEFA aux dépens de la Lazio (2-1 à l’aller, 0-2 au retour). Les Lyonnais seraient bien inspirés de rééditer cette performance contre l’autre club de la ville.
L'idée qu'il me vient , ce serait que Jallet soit l'entraineur / joueur / Leader de cette équipe .
Il a toutes les qualités pour .
Le coach en place dessert plus l'équipe qu'autre chose , avec ses choix abscons et son manque d'autorité sur le groupe .
Jallet entraîneur ? Avec quelle expérience, quels diplômes ?
Être gentil, humble et bosseur, c'est très bien, c'est même impératif, mais ça ne suffit pas. En plus ça l'intéresse pas du tout de coacher il me semble, c'est le vin son dada.
On peut pas décemment pas vouloir dégager Bruno et mettre Jallet à sa place !
Non, mais on peut lui donner le brassard de capitaine qui est trop grand pour Max, et qui, à part les conférence de presse où il déballe des tonnes de banalités, il ne sert à rien sur le terrain et dans le vestiaire, la preuve à la mi-temps de Ol-Roma, le seul qui a parlé c'est jaja (ou étaient Max et BG ?)
Non seulement capitaine , car il en a l'étoffe , mais aussi coach ( pas dans l'immédiat mais à l'avenir je le vois bien dans ce job ) , car qui pourrait faire pire que le copain de nanard ?
Ce dernier n'est même pas au niveau de la DH