Corinne Diacre a procédé à un gros renouvellement pour sa première liste en tant que sélectionneuse de l'équipe de France féminine. Elle convoqué quatre Lyonnaises.
Alors qu'elles étaient légions ces dernières années en équipe de France, elles ne seront que quatre contre le Chili le 15 septembre à Caen et face à l’Espagne le lundi 18 septembre à Calais. Sarah Bouhaddi, Griedge Mbock Bathy, Wendie Renard et Eugénie Le Sommer sont les seules Lyonnaises convoquées par la nouvelle sélectionneuse Corinne Diacre. L'ancienne entraîneure de Clermont (L2) a décidé de procéder à un gros renouvellement après l'échec des Bleues à l'Euro, sorties en quarts de finale contre l'Angleterre. Huit nouvelles joueuses ont ainsi été appelées pour la première fois. Amandine Henry, qui effectuera prochainement son retour à Lyon, est bien là.
La fin d'un cycle sans doute là aussi en EDF féminine.
De plus, l'OL féminin s'oriente de plus en plus vers l'apport de joueuses étrangères à l'instar de l'équipe masculine.
Tant mieux pour nous , mais je regarderais moins l'edf alors
Pareil mm si je suis pas pro foot féminine les résultats des lyonnaises m'intéresse tjrs surtout les derniers carrés de ldc . Sinon le foot féminin en général et d'un niveau très faible
Sexistes sur les bords j'avoue. Qd il s'agit du foot
et toi ton niveau ?
?? Qui te parle de mon niveau ?? Je compare le foot féminin en général c d'un niveau faible pas très agréable à regarder souvent enuiyent
tu n' as toujours pas répondu à ma queestion
A l'intention de Corentin Marabeuf.
Madame Corinne Diacre est le nouveau sélectionneur de l'équipe de France féminine.
Elle est l'ancien entraîneur de Clermont.
Les termes défenseure, auteure, sélectionneure, docteure, compositeure, professeure, sélectionneuse, première ministre, députée...font partie d'une liste de barbarismes inventés au milieu des années 1980 par un secrétaire d'État en mal de féminisme et de notoriété.
Bien que de plus en plus utilisés par les journalistes et le personnel politique, ces âneries n'ont jamais été reconnues par l'Académie Française. Le principe est simple. A de rares exceptions près : termes anciens admis par l'usage (agricultrice, infirmière, institutrice, présidente...) les noms de grades, titres et fonctions ne se féminisent pas. Le genre masculin s'applique dans ce cas aux dames comme aux hommes car il n'est pas sexuellement marqué au contraire du genre féminin.
C'est à l'Académie Française de fixer les règles de notre langue et à personne d'autre, ministres compris.
Quant au terme d'entraîneuse, s'il est bien français, n'a rien à voir avec le sport mais avec l'encouragement du client à consommer et offrir des boissons alcoolisées dans ce qu'on appelait jadis les boites de nuit.
Amicalement.