Après la trêve internationale fin février, l’OL enchaînera quatre matchs de championnat. Les joueuses de Sonia Bompastor sont désormais au fait de la programmation de ces rencontres.
Un choc avant de se tourner vers la Coupe de France puis la trêve internationale. Ce dimanche (21h), l’OL affronte le PSG dans une affiche toujours aussi attendue en D1 féminine. Les play-offs ont enlevé le côté décisif de ces confrontations, mais l’opposition reste un évènement majeur de la saison, comme nous l'a confié Eugénie Le Sommer. Après la parenthèse internationale qui verra notamment les Bleues affronter l’Allemagne au Parc OL pour la demi-finale de Ligue des Nations, les joueuses de l’OL retrouveront leur train-train quotidien à Décines avec un mois de mars assez chargé. En plus du quart de finale de Ligue des champions contre Benfica, les Fenottes disputeront quatre matchs de D1 féminine sur cette période d’un mois.
Trois matchs sur quatre à 21h
Le début des hostilités commencera avec un déplacement à Dijon, le 3 mars (21h), comme annoncé il y a quelques jours. Ce sera ensuite au tour du FC Fleury d’Inès Jaurena de venir à Décines pour affronter l’OL le vendredi 15 mars, toujours à 21h. Après le match aller à Benfica le 19, les joueuses de Sonia Bompastor iront dans le nord pour affronter le LOSC le samedi 23 mars (14h) avant de terminer ce mois de mars à domicile avec la réception du Havre. Inès Benyahia retrouvera son club formateur le dimanche 31 mars à 21h. Encore beaucoup de matchs en prime time, ce qui ne devrait pas forcément plaire entre Rhône et Saône.
"les joueuses de l’OL retrouveront leur train quotidien"
Pour aller où David ? ne serait-ce pas leur train-train quotidien, qu'elles vont retrouver ? 🙂
Encore un mois ardu, surtout pour les sélectionnées, les autres pourront souffler un peu.
Prendre le train pour aller au turbin.
Et le copain d'Antoine, pas très malin, qui avait pris un laxatif au lieu de prendre le train.....
Et pourtant la mère d'Antoine lui avait dit d'aller se faire couper les cheveux...
C'était quand il était au campus à Grenoble St martin d'Hères, le rigolo Antoine Muraccioli, qui amusait la galerie, je l'ai croisé à cette époque, effectuant des travaux en ces lieux.
C'était le bon temps !