Latéral droit de l’OL durant la grande époque, Anthony Réveillère a tout connu. L’ancien international français assure que la culture de la gagne du groupe a souvent fait la différence.
A l’heure où l’OL cherche à renouer avec son glorieux passé et à inculquer un esprit de victoire, la sortie d’Anthony Réveillère risque de ramener encore un peu plus de nostalgie. Quand la culture de la gagne semble avoir quitté les rangs lyonnais ces dernières années, l’ancien latéral lyonnais assure au moment de raconter sa pire défaite que c’est bien ce refus de perdre qui a amené l’OL sur les toits français et européens dans les années 2000.
"L'élimination de l'OL par le PSV en 2005. On aurait aimé qu'il y ait le VAR à cette époque ! Ç'a été dur. Pour moi, on avait une équipe pour aller plus loin, se remémore Réveillère dans les colonnes de L’Equipe. La plus forte dans laquelle j'ai joué, avec Paul Le Guen sur le banc et le gros milieu de terrain Essien-Diarra-Juninho. Dès le couloir, on gagnait les matches. C'était limite si les adversaires ne nous disaient pas : "Les gars, tranquille aujourd'hui." Mais à 3-0, on attaquait toujours. On gagnait par le jeu, l'intensité, la force que dégageait le groupe."
Cette culture de la gagne et cette haine de la défaite a forcément donné lieu à quelques frictions quand la machine était enrayée. Mais en 10 ans, cela est arrivé peu de fois même si l’ancien défenseur lyonnais se rappelle d’une prise de bec avec Juninho, compétiteur dans l’âme. Peut-être un peu trop parfois. "Une fois, on s'est pris la tête avec Juninho. (…) On s'est chauffés, on nous a séparés. Après on a été assez intelligents pour se taper dans la main en disant "on est partenaires" avant le match suivant. On m'avait demandé de m'excuser, je ne me suis pas excusé. Lui non plus." Des accrochages comme il en existe tant dans un vestiaire et qui donnent parfois un aperçu de la mentalité qui règne dans un groupe
Incompréhensible qu'il n'y ai plus cet état d'esprit à l'OL
Cette pseudo mode de faire jouer les ailiers faut pied, qui rentre presque tout le temps à l'intérieur et qui ferme le jeu dans l'axe... OK c'est pour mieux décaler le latéral, donc déjà quand il n'est pas oublié... ok parfois ça donne un beau but sur 1 frappe de loin, mais bien souvent on perd la balle, 1 boulevard dans le dos du latéral, on se fait contrer comme des bleus, top!! Malouda et govou sur leur bon pied bouffer la ligne, ça provoquait, débordait et centrait, on s'en sortait pas si mal, et au passage, les ailiers ont le droit de permuter pendant 1 match, histoire de déstabiliser la défense adverse, mais c'est interdit à l'ol ces dernières années...
Contre des défenses regrouper jouer avec des faux pieds n'est franchement pas recommandé.Pourquoi certains entraîneurs insistent...C'est bizarre.Je préfère un 4-3-3 avec des bons pied.Tiens voici un article un peu vieux mais intéressant sur le sujet. https://www.befoot.net/lailier-faux-pied-toujours-la-bonne-recette/
Quand tu as CR7 à gauche et Messi à droite, qui jouent "ailier" et qui mettent 40 à 60 buts par saison, tu peux facilement te dire que c'est la recette "miracle" pour empiler les buts.
Et la paire Robben-Ribery à Munich a entériné la recette.
C'est quand même oublier le niveau intrinsèque de ces 4 joueurs (surtout ls 2 premiers), très largement au-dessus des autres.
Attendre d'un Traoré ou d'un Tetê qu'il fasse la même chose, c'est pour moi une ineptie totale.
le centre en retrait......l'arme fatale
Juni c'est un sanguain , faut pas le chercher ! LOL
Mais il tirait toute l'équipe vers le haut , les mecs en face avaient peur .
Antho Réveillère, un des joueurs que j'ai le + aimé, depuis que je supporte l'OL !
Solide, efficace , régulier...peut-être un peu effacé mais sacré défenseur. Anthony Reveillere et ses comparses nous servaient du foot 5 étoiles ! Il nous en reste plus beaucoup des étoiles en ce moment dans le jeu.....
maintenant on fait rigoler tous nos adversaires dans le couloir ... avec les discours prétentieux complètement déconnectés de la réalité de notre président qui est en train de rater complètement sa fin de carrière ... à part essayer de bien vendre son club en grande perte de vitesse ... il est parfois difficile d'être et d'avoir été !