Lors de la Coupe des confédérations 2003, le monde du football a été choqué par le malaise de Marc-Vivien Foé. Quelques heures plus tard, le milieu de l’Olympique lyonnais décédait.
A la 75e minute d’un banal Cameroun - Colombie, Marc-Vivien Foé sortait du stade de Gerland inanimé. Après un malaise, les yeux révulsés, le milieu de terrain était envoyé à l’hôpital. Si à la fin du match le Cameroun se qualifiait pour la finale de la Coupe des confédérations, tout le monde du football pleurait Foé (28 ans).
Formé au Canon Yaoundé, Foé était arrivé à Lens en 1994. Après cinq belles saisons chez les Sang et Or, le Camerounais rejoignait Londres et West Ham. Son passage outre-mer avait alerté les dirigeants de l’OL et en 2000 il avait rejoint Lyon.
Durant trois années, le Camerounais s’était montré mais n’avait pas réussi à s’imposer pleinement.
Son décès a complètement fait repenser les mesures de sécurité autour d’un terrain de football. Il est en partie responsable de l’arrivée du défribillateur. Douze ans après, les instances, les supporteurs, les journalistes et plus généralement le monde du football n’ont pas oublié l’horreur de ce moment. C’est pourquoi le proverbe camerounais « un lion ne meurt jamais, il dort » prend tout son sens lorsque l’on évoque le nom de Marc-Vivien Foé.
repose en paix
J y étais....
C 'était super choquant comme souvenir .
Une pensée pour les proches
Le football ne t'oubliera jamais. J'en chialerais à chaque fois ...
Le pauvre Foé, puisse t-il reposer en paix. Requiescat in pace