Comparé à Lionel Messi par le président Aulas, Nabil Fékir reste lui-même néanmoins. Humble et lucide.
Fin novembre, quand l'OL tournait à plein régime et juste avant la claque reçue lors du derby, Jean-Michel Aulas lâchait : "Fékir, c'est Messi". Une phrase lourde à supporter pour un jeune joueur, les exemples de comparaisons d'autres jeunes prometteurs par le passé leur ayant plus fait défaut.
Pour sa part, Nabil Fékir rejette la comparaison, lui qui s'estime très loin du niveau du Barcelonais. Surtout, l'attaquant de l'OL n'a pas de modèle, et veut faire son propre chemin.
De toute façon, deux statures différentes ! L'un passera plutôt en force et l'autre plutôt en finesse.
S'il y avait deux Messi sur la planète, ça se saurait.
Ah, c'est bien, Fékir garde les pieds sur terre. Il sait qu'il à encore beaucoup de chemin à faire et bien progresser avec L'OL.