Lens accueillera l'OL au stade de la Licorne lors de la 21e journée de L1 pour la saison 2014/2015.
Les Lensois sont assurés de jouer en Ligue 1 et ils ont désormais trouvé un point de chute pour recevoir les autres équipes du championnat. Le Stade Bollaert-Delelis étant en travaux pour préparer l'Euro 2016, les Nordistes vont donc effectuer 16 matchs en Picardie au stade la Licorne (12097 places) à Amiens. Lens défiera également "à domicile" trois grosses équipes au Stade de France (80 000 places) à savoir le PSG le 18 octobre, Lille le 6 décembre et l'OM le 20 mars 2015.
Le match entre le RC Lens et Lyon est prévu le 17 janvier 2015.
C'est sympa d'aider les lensois, mais nous aussi on est dans la merde prez !!!
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OL Groupe, une entreprise “en péril” ?
La holding qui chapeaute l’Olympique lyonnais (OL) a publié ses comptes vendredi 25 juillet. À l’exception notable de quelques bonnes nouvelles, notamment du côté des droits télé, ils ne sont pas brillants. Au point que les opposants au Grand Stade doutent de l’avenir du club. Est-ce justifié ? Décryptage avec l’aide d’un spécialiste.
Des transferts pas encore effectués et deux bonnes nouvelles, voilà ce que l’on peut retirer de la publication du rapport d’activités annuel de l’OL Groupe, publié le 25 juillet.
1. Deux bonnes nouvelles pour l’OL
Pour commencer, quelques chiffres qui donnent le sourire à Jean-Michel Aulas. Les rebonds conjugués de la billetterie et des droits télé produisent un bonus de 5,4 millions d’euros en un an. Ce n’est pas négligeable. Sur le plan de la billetterie, ce résultat a permis au club olympien de claironner qu’il avait battu le record absolu du nombre de spectateurs à Gerland. Petite précision qui n’aura pas échappé aux fans, il n’y a jamais eu autant de matchs qu’en 2013-2014. Ceci explique cela : le bon parcours de l’OL en Europa League, ajouté à l’accession en finale de Coupe de la Ligue (dont trois matchs disputés sur les bords du Rhône), a boosté les comptes. Les mauvaises langues diront que ce rebond n’était que conjoncturel. Sur l’ensemble de l’exercice comptable, hors transferts, la croissance de l’entreprise est de 3 %.
Côté transferts, en revanche, le compte n’y est pas. Mais les supporters lyonnais le savaient : il faudra vendre avant la fin du mercato. Au moins un joueur à forte valeur marchande (Lacazette ou Grenier) changera de tunique. Rien de nouveau de ce côté."
En millions d'eurosSaison 2013/2014*Saison 2012/2013Variation en M €Var.
Partenariats et publicité -5%
Billetterie +5,7%
Droits marketing et TV +9,1%
Produits de la marque -2,4%
Produits des activités hors contrats joueurs +3,0%
Produits des cessions des contrats joueurs -55,5%
Total des produits des activités -12,4%
* Chiffres provisoires, estimés et non audités"
On commence à payer une estimation du "capital joueur" dans les bilans qui est théorique puisque basée sur les prix d'achat de joueurs à une époque où l'on achetait très cher.
On est obligé de vendre les joueurs achetés très chers et chaque fois qu'on en vend un, on plombe les bilans car on le revend bien en dessous du prix d'achat.
C'est un cercle vicieux qu'on va encore traîner quelques années et qui se cumule en plus avec la construction du stade.
Aulas se rend bien compte chaque fois qu'il vend un joueur de base de l'effectif qu'il affaiblit l'équipe, mais il le fait pour le bien du club.
On agit de nos jours avec rationalité mais contraints et forcés. On paie simplement aujourd'hui des erreurs de stratégie faites il y a quelques années quand on voulait rejoindre prématurément les grands clubs européens en dépensant sans compter.
Logiquement nous n'aurons plus ce probleme hormis pour gourcuff qui est le seul que l'on revendra moins cher que l'achat.
Il ne reste que des joueurs du centre de formation qui eu ferons faire des plus value au club. En tout cas on ne reverra plus des achats type Lissandro, gomis, bastos,keita, briand pour les revendre 75% moins cher.