Buteur dimanche contre le PSG, Georges Mikautadze a fait parler sa finesse technique pour tromper Gianluigi Donnarumma. Un ballon piqué dont l'attaquant de l'OL raffole, comme il l’avait expliqué dans "Tant qu’il y aura des Gones".
Dans les regrets de la défaite de l’OL contre le PSG (3-1), ne pas avoir pu voir Georges Mikautadze se mettre plus en évidence a été frustrant. Dans l’heure passée sur la pelouse du Parc des Princes, le Géorgien n’a pas rechigné à la tâche, tentant de faire un pressing sur la défense parisienne. Quand il a pu se retrouver touché, il a réussi à conserver le ballon afin de permettre un maximum au bloc lyonnais de remonter. Mais c’est bien face au but qu’il était attendu dimanche et il n’a malheureusement pas eu grand-chose à se mettre sous la dent. Pourtant, sur l’inspiration géniale de Rayan Cherki, Mikautadze n’a eu besoin que d’une seule situation pour faire mouche.
"C'est un geste qui est beau"
Préféré à Alexandre Lacazette pour débuter ce choc, l’international géorgien se savait attendu et il a fait parler son sang-froid à la 41e minute. Si l’altercation avec Gianluigi Donnarumma a pris la lumière dans la foulée de son but, sa réalisation a été clinique. D’ailleurs, si le portier parisien avait regardé "Tant qu’il y aura des Gones" avant le match, il aurait peut-être pu anticiper le geste de Mikautadze. "Entre un lob et une frappe dans la lucarne ? Si le supporter me connait, il sait déjà la réponse (sourires). Le lob bien sûr, avait-il déclaré à la question posée. Et ce n’est pas pour humilier le gardien, mais c’est un geste qui est beau. Le gardien s’attend à ce que tu frappes fort en l’air ou au sol et quand tu lui fais ça, il plonge et il voit le ballon lui passer au-dessus."
C’est exactement ce qu’il s’est passé dimanche au Parc des Princes.
A souligner que c'est une belle réalisation !
N'empêche que Georges n'a pas fait la célébration qu'il s'était engagé à faire dans le TKYDG de la semaine dernière.
il a pas tellement eu le temps de célébrer que donnaruma l à mis au sol en même temps... pour seulement un jaune... comme mikautadze... voilà voilà...