Ce lundi, votre émission "Tant qu’il y aura des Gones" s’est arrêtée sur la préparation physique à l’OL. Avec Alexandre Dellal, ancien de la maison lyonnaise, un large focus a été fait sur les améliorations à faire.
Pas d’analyse de victoire ou de défaite de l’OL ce lundi sur le plateau de "Tant qu’il y aura des Gones". En pleine trêve internationale, le club lyonnais fait relâche en Ligue 1, mais pas vos fidèles serviteurs de TKYDG. Comme chaque lundi, Razik Brikh et Nicolas Puydebois étaient au rendez-vous à partir de 19h avec une émission qui a tourné autour de la préparation physique. Avec comme invité Alexandre Dellal, ancien préparateur à l’OL, l’effort physique et les moyens mis pour parvenir à un pic de performance ont rythmé cette heure d’émission. Entre explication de ce qu’est la préparation physique, évolution de ces dernières années et différences entre une équipe qui joue un maintien et une autre le haut du tableau, l’équipe du jour n’a pas eu sa langue dans sa poche une fois de plus.
Juninho, Prud'homme dans le dernier thème
Si la trêve et le retour à l’entraînement prévu mardi avec une double séance ont permis de se focaliser sur ce travail physique à l’OL ces dernières années, l’actualité du club lyonnais n’a pas pour autant été oubliée ce lundi 20 novembre sur le plateau de "Tant qu’il y aura des Gones". Car s’il ne se passe rien sur le terrain depuis la victoire à Rennes, en coulisses, il y a eu du mouvement. C’est donc tout logiquement que le dernier thème de TKYDG a tourné autour de la nomination de Laurent Prud’homme comme nouveau directeur général de l’OL, mais aussi de la réorganisation qui se prépare en interne. John Textor est-il enfin dans l’action ? Il attend en tout cas une réponse de Juninho pour un rôle de conseiller.
ramené nous Bruno et flo des hommes qui sont amoureux de leur club et de leur ville avec Flo au recrutement avec les moyens financiers il et capable de faire des grands joueurs et dans découvrir des prometteurs et Bruno avec une équipe compétitive, va nous faire retrouver la ligue des champions. Il est le dernier entraîneur à nous l'avoir fait jouer c'est quand même pas rien 👍👍👍👍
Désolé, mais c'est un raisonnement simpliste reposant sur des déductions erronées : en effet, tu ne prends pas en compte l'ensemble des éléments existant à l'époque.
Pour ma part, je ne suis pas favorable à un "retour" de Genesio sur le banc de l'OL, et pas davantage à celui de Maurice en tant que Directeur Sportif.
Il est bien difficile à un homme du crû de revenir sur ses terres après en être parti dans des conditions aussi déplorables, en particulier en ce qui concerne Genesio.
Mais quoi qu'il en soit, il m'apparait aussi "simpliste" de ne considérer que les éléments contextuels du passage de Genesio à Lyon pour le "déclasser" et le dénigrer.
D'abord il n'avait surement pas l'effectif des années Le Guen/Houiller, ni quantitativement ni encore moins qualitativement. Il a fait plutôt bien avec un effectif moyen "++" dans les deux cas (Lyon et Rennes).
D'une manière générale et hors contexte lyonnais, je pense que Genesio n'est pas un entraineur destiné à diriger un club majeur européen. En revanche, il peut, et il l'a prouvé aussi bien à Lyon qu'à Rennes, coacher et réussir bien plus qu'honnêtement avec un bon club de Ligue 1.
Ce qui lui manque ce n'est pas tant la compétence que le charisme, ce petit plus quasi magique qui fait les grands entraineurs. Ce n'est pas pour rien qu'on lui a collé le sobriquet de "Pep Genesio". Un bel accent porté ironiquement sur ce qui lui manque. On aurait aussi bien pu le surnommer "José Genesio" ou "Jurgen Genesio", mais ça sonnait moins bien et ça marquait aussi un peu moins l'ironie.
Ce petit coté "magique" est aussi en bonne partie conforté par les médias qui construisent leurs vedettes et leurs stars, s'appuyant au final sur des éléments qui manquent souvent d'objectivité. L'image compte beaucoup pour eux et de plus en plus, il faut comme on dit "avoir la carte", et en plus au bon moment.
C'est d'ailleurs la même chose dans pas mal de domaines, en particulier artistiques mais pas seulement.
Je regrette juste que Genesio soit parti un peu trop tôt de l'OL, à un moment où l'arrivée de Juninho était déjà programmée depuis presque un an, voire davantage, et qu'il n'ait pu lui apporter son aide, sa connaissance profonde du club et de l'effectif, sa mesure aussi pour canaliser l’énergie dispersée du débutant Juninho et lui faciliter le relationnel à tous les étages du club.
C'est là qu'il aurait été utile à l'OL, mais surement pas aujourd'hui alors qu'il est en plus usé et désabusé. S'il en retrouve la force et l'envie, je le vois bien entrainer quelque temps un club comme Montpellier, Toulouse ou Strasbourg qui correspondent à mon avis bien davantage à son profil actuel.
Je n'ai jamais aimé que certains l'affublent en permanence de ce sobriquet, même si c'est un "accent porté ironiquement sur ce qui lui manque", ce dont je doute fortement, car ceux qui veulent décrédibiliser quelqu'un n'ont généralement pas cette intelligence.
Sans les confrontations avec le Manchester City de Pep Guardiola, je gage que personne n'y aurait songé.
A peine ose-je m'autoriser de temps à autre, quasi toujours intérieurement, un "Don Maxence Caqueret", mais cela n'a pas grand chose à voir avec la volonté de certains de discréditer Bruno.
Quoiqu'il en soit, dans la mesure où il a déjà été à l'OL, je pars du principe que, s'il n'y est plus aujourd'hui, c'est qu'il n'y a plus sa place.
Nous connaissons en bonne partie ses méthodes, ses qualités, ses défauts, il existe des centaines d'autres entraîneurs, alors autant donner leur chance aux autres.
Sans parler qu'envisager un retour de Bruno serait implicitement vouloir du mal à Fabio - et donc à l'OL - qui n'a vraiment pas besoin de ça mais de tout le monde derrière lui.
"....l’équipe du jour n’a pas eu sa langue dans sa bouche une fois de plus...."
Ah bon ? Pas dans la mienne, en tout cas, je tiens à ce que cela se sache....