Coéquipières depuis un an à l'OL, Lindsey Horan et Vanessa Gilles sont désormais inséparables. Avec Ada Hegerberg, elles forment un trio complice sur le terrain et en dehors.
Dimanche, elle sera encore l’un des atouts majeurs de l’OL face au PSG au Parc des Princes. Malgré le long voyage vers les Etats-Unis durant la trêve internationale, Lindsey Horan sera bien au rendez-vous à 21h contre son ancien club. Métronome du jeu lyonnais depuis son arrivée entre Rhône et Saône, Horan s’est imposée comme l’une des leaders du groupe international lyonnais.
Après un prêt de deux saisons, l’Américaine a fait le choix de signer jusqu’en juin 2026 avec l’OL, une décision qui coulait de source. "Je joue avec les meilleures joueuses du monde et je peux jouer un style de football que je ne pourrais pas avoir aux États-Unis, a-t-elle avoué chez nos confrères du Progrès. Et que jouer la Champions League tous les ans, c’est juste incroyable."
"L’une des meilleures personnes que j’ai rencontrées"
À Lyon, Lindsey Horan a aussi trouvé un cadre de vie qui lui convient, elle qui peut désormais compter sur la présence de son compagnon. Avant ça, elle n’était pas pour autant seule dans la capitale des Gaules puisqu’une forte amitié s’est créée dans le vestiaire des Fenottes. En l’espace de quelques mois, Vanessa Gilles, Ada Hegerberg et Lindsey Horan sont devenues inséparables. Les trois se dédicacent leur but et ont noué une relation forte sur et en dehors des terrains.
"Elles sont vraiment géniales, ce sont mes deux amies les plus proches à l’OL. L’an dernier, quand Vanessa est arrivée, on s’est toutes les trois liées d’amitié. Ce qui est surprenant, car au départ, je n’aimais pas Vanessa (rires). Je plaisante. Mais elle était super introvertie. J’ai appris à la connaître, et c’est quelqu’un de très authentique, l’une des meilleures personnes que j’ai rencontrées dans ma vie."
À l’heure où certaines critiques fusent sur l’ambiance dans le vestiaire des garçons, le mélange des cultures chez les féminines est peut-être l’une des clés de la réussite de l’OL.
Voilà un article plaisant et, ô combien intéressant, quand on voit la "grisaille" masculine, qui règne à l'OL.
Oui, l'ambiance doit être très bonne dans le vestiaire des Fenottes, les résultats le prouvent et, on devrait en avoir confirmation dimanche soir, malgré une légère ombre dont on a assez parlé.
Bonne journée à toutes et tous.
Bonjour dede,
une chose est sûre c'est que l'état d'esprit chez les filles qui jouent au foot est bien différent de celui des garçons... enfin globalement, parce qu'il peut toujours y avoir des rivalités malsaines... suivez mon regard !
Le pognon, le fric... n'a pas "pourri" le milieu, enfin pas encore. Les agents et l'entourage des joueuses sont focus sur le sport avant tout, le carnet de chèque vient bien après, les contrats sont respectés jusqu'au bout.
Les contrats fédéraux sont garants d'une certaine équité salariale.
Sans aucun préjugés, le niveau d'éducation semble aussi bien différent... les joueurs masculin sont devenus des valeurs marchandes aux mains des agents... et ils le savent bien, d'où leur "mentalité du chacun pour soit, il n'y a pas du pognon pour tous"... et les salaires indécents retournent bien des cerveaux !
Comment développer des amitiés durables quand tu changes de club saisons après saison ? 😜
Exactement Dédé (et isa)
Un article très plaisant à lire. On est au cœur de ce que devrait être la réalité dans un sport collectif. De très forts liens entre les membres d'une même équipe, base de toute réussite et aussi d'un fort attachement à ce que doit être la compétition sportive en équipe, ce qui fait tant apprécier celle-ci. Souvenirs, souvenirs .......
.... pour avoir des souvenirs tels que ceux que tu évoques.... il faut au moins être "séniors" 😂
Et, au dessus de "séniors" il y a quoi ? 😛
Je me souviens parfaitement de mes quelques années de joueurs, à une époque où, sur le terrain, on avait un gardien, 3 arrières, ARD, ARG, ARC) deux milieux, (demi D et demi G) deux inters (interD et InterG) et trois attaquants (ailier D, AVC et ailier G) et les matchs étaient du genre attaques défenses, tous devant ou tous derrière ! je jouais inter D et j'ai dépanné, une fois, comme gardien (on ne rit pas Roland) je ne me souviens pas de combien de buts j'ai encaissé mais je me souviens d'un joueur qui m'en a mis un direct sur corner ! 😂 il s'appelait "dédé" Lemasson ! un joueur très bon.
Hé oui, souvenirs, souvenirs ! c'était dans les années 50, en 54 si je ne m'abuse ! ça nous rajeunit ça 😀
A cette époque, le foot c'est au stade qu'on aller le voir... et même pour les pros le prix était dérisoire !
On y allait avec mon père, mais pas souvent car c'était pas donné non plus