Revenu à l’OL l’été dernier, Corentin Tolisso ne s’attendait pas à un retour aussi compliqué collectivement et individuellement. Néanmoins, il caresse l’espoir de pouvoir soulever la Coupe de France le 29 avril prochain.
Comme Alexandre Lacazette, il ne s’attendait pas à ce que ce retour soit si compliqué. En revenant à l’OL l’été dernier, Corentin Tolisso avait de grandes ambitions comme celle de ramener le club en Ligue des champions. L’objectif n’est désormais plus d’actualité, et ce, depuis un moment entre Rhône et Saône. À l’heure d’un déplacement à Paris dimanche, l’OL a surtout les yeux rivés sur le 5 avril et la demi-finale de la Coupe de France à Nantes.
À l’instant T, il représente le match le plus important de la saison lyonnaise avant une potentielle finale le 29 du mois. "On a encore cet objectif de Ligue Europa via la Coupe de France. On est 10e en Ligue 1, donc le plus simple, c’est de gagner la coupe, a rappelé Tolisso au Progrès. On doit se focaliser dessus, sans délaisser le championnat. Ce match à Nantes sera plus que déterminant."
"Quand tu gagnes le trophée, tu es le plus heureux du monde"
Aussi paradoxal que ça puisse paraitre dans cette saison chaotique, Tolisso n’a jamais été aussi proche de soulever un trophée avec son club formateur. En retrouvant les couleurs rouge et bleu l’été dernier, le milieu de terrain a voulu se rapprocher de sa famille, retrouver des sensations, mais surtout réussir à faire ce qu’il n’avait pas réussi durant son premier passage.
Lui, le champion du monde 2018 et vainqueur de la Ligue des champions 2020 espère vivre ce qu’il a observé durant la période faste lyonnaise : une communion totale avec les Lyonnais. "Gagner le championnat ou la coupe dans mon pays, avec le club que je supporte depuis gamin et qui m’a formé, aurait une valeur inestimable. Gagner la Coupe de France serait l’un de mes plus beaux titres. Sans mentir, je la mettrai juste en dessous de la Coupe du monde et de la Ligue des Champions."
Avant de penser à la place des Terreaux, il y a déjà une demi-finale à gagner, au risque de vivre une fin de saison encore plus compliquée qu’elle ne l’est déjà.
Plus que son salaire plein en jouant à mi-temps ?
Il y a des milliers de salariés qui font semblant de bosser et qui touchent leur salaire.
Sauf que lui est un éternel blessé, mais je ne le crois pas fainéant ou de mauvais état d'esprit comme certains joueurs de notre équipe (indice : ils sont sur le départ).
Ceux dont tu parles n'ont certainement pas le même salaire que Tolisso.
ok, comme d'hab pas de baratin, faites le sur le terrain on discutera après !
"comme d'hab pas de baratin, faites le sur le terrain" : c'est vrai que nos joueurs n'ont pas l'habitude de beaucoup parler et de peu agir !
Gagner un trophée quand celui ci est à la portée serait effectivement une très bonne chose. Pour un club comme l'OL, c'est presque une obligation de gagner. En revanche, en cas de défaite, ce serait un sacré coup dur pour le club, les supporters et les joueurs.
Il faudra déjà battre Nantes et c'est très très loin d'être fait avec cette équipe en plume.
Nantes est une grosse inquiétude. C'est le match prioritaire.
Plus réaliste (et plus fort en grammaire ?... ou moins optimiste ?...) que David Hernandez, Tolisso, dans le texte, n'a pas dit "Gagner un titre avec l’OL aura une valeur inestimable" mais aurait une valeur inestimable...
C'est plus juste dans l'idée.