À la veille de son déplacement à Gerland avec Rennes, Frédéric Antonetti a lâché quelques déclarations visant à mettre une certaine pression sur l'arbitre. « Je voudrais qu'il n'y ait pas d'influence sur le terrain et que le match se déroule dans des conditions équitables, a déclaré l'entraîneur de Rennes. Cela fait des années que je vais à Lyon et là-bas, il y a une certaine influence… Je voudrais qu'il n'y ait pas de faute d'arbitrage car quand on siffle un penalty à Lyon, il faut vraiment qu'il soit flagrant ».
Antonetti rappelle au passage es injustices dont il dit avoir été victime lors de chacun de ses déplacements à Lyon. « Je peux vous donner des exemples et toutes les cassettes des matches que j'ai dirigés à Lyon. Parce que j'ai des preuves ! Avec Rennes, je ne l'ai pas subi. Avec Nice, oui. A l'époque même Jean-Michel Aulas l'avait reconnu. On menait 2-0 et on perd 2-3 sur trois coups francs imaginaires. Lors d'une autre rencontre avec Nice, Cris avait fait une prise de judo sur Ederson et il n'y avait pas eu de penalty. Ce n'est pas propre à Lyon, à Marseille, à Paris, c'est propre aux grands clubs qui ne veulent peut-être pas de la vidéo car après, il y aurait un peu plus de justice. »
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