Face à une faible équipe de Dijon, l'OL a soigné son goal-average avec ce large succès (8-0). Les Lyonnaises font le plein de confiance à l'image de Signe Bruun, auteur d'un triplé. Retrouvez le top et le flop de la rédaction d'Olympique-et-Lyonnais.
Le top : un festival offensif qui s’était fait attendre
On aurait pu mettre les prestations individuelles mais le plaisir collectif avant tout.Trois buts contre le FC Zürich, trois également contre le Paris FC et huit contre Dijon ce samedi. L’inefficacité offensive a été pointée du doigt depuis le début de la saison par Sonia Bompastor et les derniers matchs sont en train de satisfaire la coach lyonnaise. Ce samedi, l’adversité est loin d’avoir été des plus écrasantes mais depuis le début de la saison, on ne pouvait pas dire que les Fenottes avaient profité de la faiblesse adverse pour s’offrir des victoires tranquilles.
Quand les Lyonnaises avaient l’habitude de mettre des cartons les années précédentes, il fallait remonter à la première journée pour voir l’OL inscrire au mieux cinq buts. C’était contre Reims et la partition avait été bien plus compliquée que face à Dijon ce samedi. Les accélérations de Cascarino ont fait du bien et mis la pression sur la défense adverse pendant 45 minutes quand Selma Bacha a encore fait parler sa patte gauche avec un doublé et deux frappes limpides. L’OL commence à retrouver confiance à l’image de Signe Bruun. Pas vernie dans son rôle de pivot, elle enchaîne malgré tout avec un triplé une semaine et demi après avoir ouvert son compteur but à Zürich. Ce samedi, c’était journée porte ouverte à Décines pour le plus grand bonheur des Lyonnaises.
Le flop : une adversité maladroite en tout point
On pourrait voir le verre à moitié plein en se disant que les Fenottes ont étouffé leurs adversaires mais elles n’ont clairement pas eu à forcer leur talent. Les voir inscrire 8 buts en moins d’une heure, cela faisait longtemps que ce n’était pas arrivé et Dijon a tout fait pour que ce scénario et cette large victoire ne souffrent d'aucune contestation. L’OL avait certes fait le plus dur en ouvrant rapidement la marque après 10 minutes de jeu mais les Dijonnaises ont coulé dans les grandes largeurs à la demi-heure de jeu.
Pourtant dans un système défensif avec un schéma à cinq défenseuses, le club bourguignon a pris trois buts en l’espace de neuf minutes. Sonia Bompastor s’attendait à une équipe défensive, finalement on ne sait pas trop à quoi ont eu affaire les Fenottes ce samedi. Peu dangereuses, les Dijonnaises ont en plus été maladroites dans leurs interventions notamment sur Selma Bacha. Plus de peur que de mal mais à Lyon, on a appris à se méfier de ces situations pouvant entraîner des blessures bêtes. Ce n'est pas pour rien que l'entraîneure lyonnaise a profité du score large pour faire tourner rapidement.
Soyons prudents. Un festival défensif qu'il nous fallait attendre (DFCO).
Il y a quand même une dijonnaise, qui, malgré le score, a été d'un bon niveau, c'est la gardienne : elle a sauvé plusieurs buts dont le 4ème de Bruun qu'on voyait dedans.
Quant à cette dernière, il faut lui ajouter une passe décisive (pour Selma je crois) voire 2 (sur le but de Benyahia ?).
La gardienne de Dijon Emily Burns, c'est la gardienne qui officiait à Sainté la saison dernière, elle avait écoeuré les lyonnaises, elle avait arrêté tout leurs tirs, score 1 - 1 .
Le Bon,
Confirmé , 2 passes dé pour Signe.
Impliquée sur 5 des 8 buts.
Certains diront " peut mieux faire " .
Excellent match, alors qu'elle avait été en demi teinte lors des matchs précédents.
Il ne faut enterrer personne, comme certains l'ont fait pour Melvine.
Il faut juste être patient, qualité en voie de disparition chez les supporters ....
Tout à fait !
J'ajoute aussi Eugénie...et quand on voit le match qu'elle a rendu contre le PFC !
Tout à fait !
J'ajoute aussi Eugénie...et quand on voit la match qu'elle a rendu contre le PFC !