Heureuse de retrouver ses coéquipières à l'OL, Daniëlle van de Donk estime que la Women's International Champions Cup est un bon test pour se rendre compte de la mentalité à Lyon.
Le 13 août prochain, les Fenottes s'envoleront pour les Etats-Unis. De l'autre côté de l'Atlantique, la section féminine de l'OL disputera la Women's International Champions Cup, en se frottant notamment à Chelsea puis Portland ou Monterrey. Un tournoi amical important pour Daniëlle van de Donk qui l'avait disputé lors de sa première pré-saison avec le club rhodanien. "On avait bien réussi cette compétition l'an dernier. En y participant, j'ai tout de suite compris que l'OL était une équipe faite pour gagner des trophées", a expliqué la joueuse de 31 ans au micro d'OLPlay. L'été dernier aux USA, les joueuses de Sonia Bompastor s'étaient inclinées en finale, sur la plus petite des marges contre Portland (0-1), après avoir disposé du FC Barcelone (2-3) au tour d'avant.
"Se rendre compte" de la mentalité à l'OL
Revenue dans le Rhône, lundi, en même temps que sa compatriote Damaris Egurrola, la milieu de terrain a pu retrouver une bonne partie de ses coéquipières, avant de se plier aux traditionnels tests physiques suivis d'une courte séance. Eliminées en quarts de finale de l'Euro par la France, les deux Néerlandaises avaient pu profiter de deux semaines de repos. De retour aux affaires, Daniëlle van de Donk estime que cette compétition américaine "permettra aux nouvelles recrues de se rendre compte" de ce qu'est la mentalité lyonnaise. L'occasion idéale pour la néo-Lyonnaise Sara Däbritz, finaliste du championnat d'Europe avec l'Allemagne, ou Inès Jaurena, arrivée cet été, de se mettre rapidement au diapason Olympique lyonnais.
Impatient de vérifier le niveau.
Euh, faut pas rêver... Au retour de vacances, pas sûr qu'il y ait le niveau !
Lors du match du Trophée des Championnes, elles seront en forme... au moins autant que les parisiennes qui elles aussi auront participé à l'Euro et à un tournoi de pré-saison.
Précheur n'aura pas encore eu le temps nécessaire pour les mettre au niveau qu'il souhaite... il lui faudra aussi combler les départs et la blessure de leur attaquante de pointe.
L'OL aura toujours le petit avantage psychologique qui forme le mental de vainqueur.
Dès que y'a un petit bout de nichon qui pointe ou un petit cul qui bombe, cette équipe de l'OL redevient un petit peu intéressante.