Seulement 13e à la trêve, l'Olympique lyonnais est bien loin des attentes placées en lui. Une première partie de saison très difficile pour les Rhodaniens emmenés depuis cette saison par Peter Bosz.
Ce mercredi face à Metz (1-1), l'Olympique lyonnais a conclu une première partie de saison bien difficile en championnat. Seulement 13e après les 19 premières journées, le club rhodanien est éloigné de l'objectif final qui est de terminer sur le podium du championnat. A la trêve, le bilan est bien loin des attentes pour les joueurs de Peter Bosz.
L'Olympique lyonnais a raté sa première partie de saison ! Sous la houlette de Peter Bosz, arrivé l'été dernier et réputé pour le beau jeu, la mayonnaise tarde à prendre entre le club rhodanien et le technicien néerlandais. Même si les Lyonnais possèdent un match en retard à jouer face à l'Olympique de Marseille (date qui reste à définir), le bilan à la trêve n'est pas loin de frôler la catastrophe.
1,33 point en moyenne
6 victoires, 7 nuls et 5 défaites... Voici le maigre bilan de l'Olympique lyonnais à la trêve soit 1,33 point en moyenne. Un bilan qui tranche avec celui de la saison dernière où les Rhodaniens alors entraînés par Rudi Garcia avaient conclu la phase aller en tête du championnat avec 40 points au compteur et une seule défaite. Certes, l'an passé, il n'avait qu'un match par semaine puisqu'il ne participait à aucune coupe d'Europe, mais cet OL 2021-22 est bien loin des standards attendu pour un club qui est le deuxième plus gros budget de France derrière le mastodonte parisien.
Avec 24 points au compteur après ses 18 premiers matches de championnat, le club rhodanien affiche tout simplement son plus mauvais bilan au 21e siècle à ce stade de la compétition. Pour retrouver trace d'un bilan aussi maigre, il faut remonter à la saison 1995-96 où l'Olympique lyonnais comptait 20 points avant de terminer la saison à la 11e place. Malgré ce bilan, Jean-Michel Aulas a confirmé son entraîneur dans ses fonctions (lire ici) au moins jusqu'au mois de février.
La Ligue Europa en trompe l'œil
Si les Lyonnais sont passés au travers de leur première partie de saison en championnat, le discours est tout autre à propos de la Ligue Europa. Dans un groupe largement à sa portée dans lequel il était le favori aux côtés des Glasgow Rangers (Ecosse), le Sparta Prague (République tchèque) et Brøndby (Danemark), l'Olympique lyonnais a fait respecter son statut en survolant ce premier tour avec 5 victoires et un nul.
Qualifiés pour les 8es de finale de cette compétition, les joueurs de Peter Bosz peuvent avoir une belle carte à jouer dans cette compétition où, malgré un turnover fréquent de la part du technicien néerlandais, ont toujours montré un visage intéressant. Erigée en tant qu'objectif cette saison par Jean-Michel Aulas, la Ligue Europa est pour l'heure le moyen le plus rapide de retrouver la Ligue des champions l'an prochain. Il ne reste que sept matches pour les Lyonnais à disputer dans cette compétition contre 20 en championnat. Alors que le podium est à 9 points devant, la C3 peut faire office de trompe l'œil afin de sauver une saison qui prend une drôle de tournure.
Le départ de Juninho a secoué les rangs
Arrivé en mai 2019 par la grande porte au sein de son club de toujours, Juninho s'est vu attribuer le poste de directeur sportif spécialement crée pour lui. Seulement deux ans et demi après sa nomination, l'ancien numéro 8 lyonnais quitte donc ses fonctions, éreinté et épuisé... Une période durant laquelle le Brésilien aura réussi quelques coups au niveau du recrutement, notamment avec les signatures de Bruno Guimarães et Lucas Paquetá. Les deux joueurs sont aussi des éléments importants du dispositif de Peter Bosz mais leur rendement a diminué depuis l'annonce de Juninho, mi-novembre.
Rayonnant jusqu'à ce onzième mois de l'année, l'ancien Milanais n'est plus que l'ombre de lui même ces dernières semaines, en témoigne son remplacement dès la pause lors du dernier match de l'année face à Metz (1-1), mercredi. Désormais orphelins de Juninho, l'Olympique lyonnais et les Brésiliens vont devoir faire sans lui. Mais aujourd'hui, force est de constater que son départ à eu un impact sur l'équipe. Depuis ses déclarations, les Lyonnais n'ont remporté qu'un seul match de championnat face à Montpellier (0-1), le dimanche 28 novembre.
Un bilan comptable désastreux, une patte Peter Bosz qui peine à prendre, des secousses en interne sans oublier les "matches" face à Marseille et au Paris FC. Quelques mois après l'arrivée de l'ancien entraîneur de l'Ajax Amsterdam et les promesses liées à sa venue, le soufflé est vite redescendu. Aujourd'hui, l'Olympique lyonnais est en crise, aussi bien en coulisses que sur le terrain... La trêve va permettre ainsi de reposer les corps et les esprits avant un début d'année tambour battant où le PSG et Saint-Etienne croiseront la route des Lyonnais dès janvier.
Un moment donné il faut dire les choses ...
Des supporters ou pseudos supporters violent = Hooligans sans cerveaux ...
Concernant le bilan, il faut juste utiliser des mots comme : mauvais, nul, médiocre, catastrophique ...
Les joueurs ne semblent pas très motivés et concernés ...
Immatures, faibles mentalement, limités, Qi faible, pas très solidaires, sans meneurs et sans caractère ...
ETC ...
Juni a tout compris avant certains qui, eux, ne pensent qu'à leur pomme ...
Bref notre OL est devenu une formidable raison d'être malheureux et dépressif ...
😡😡😡😡😡😡😡