Ce samedi, le parquet de Paris a décidé d'ouvrir une enquête pour violences volontaires suite aux incidents survenus lors de la rencontre entre le Paris FC et l'Olympique lyonnais, vendredi soir.
Au lendemain des incidents qui ont émaillé le 32e de finale de Coupe de France entre le Paris FC et l'Olympique lyonnais, le parquet de Paris a décidé d'ouvrir une enquête pour violence volontaires au sein d'une enceinte sportive ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours.
Aucune interpellation
Pour rappel, il n'y a eu aucune interpellation après les heurts qui sont intervenus durant la mi-temps de cette partie entre Lyonnais et Parisiens. Seules deux personnes dont un policier ont été blessés.
En attendant, un compte-rendu un peu plus objectif sur la réalité de ce qui s'est passé.
On savait que des clients de la franchise du Qatar viendraient se frotter; c'était évident. L'organisateur comme la préfecture de Paris n'ont pas fait leur boulot.
À Lyon, et depuis des décennies, les problèmes sont essentiellement des éléments en tribune Sud ou juste à côté, en raison de de la porosité de ces groupes.
L'article:
Pourquoi le match de Coupe de France entre le PFC et l'OL a dégénéré en tribunes
La soirée de vendredi a été le théâtre de violences dans les tribunes du stade Charléty. (P. Lahalle/L'Equipe)
Fumigènes, barre de fer, panique générale, familles attaquées, charges de CRS : la soirée de vendredi à Charléty, pour le 32e de finale de Coupe entre le PFC et l'OL, a été cauchemardesque. Voici pourquoi elle a dégénéré.
Hugo Guillemet (avec St. S.)
mis à jour le 18 décembre 2021 à 22h17
Depuis la tribune opposée, la scène était déjà ahurissante à observer. Un immense mouvement de foule à la mi-temps de PFC-OL, en 32e de finale de la Coupe de France. Des gens qui courent, d'autres qui chutent entre les sièges et dans les escaliers. En face d'eux, plusieurs Lyonnais sortis de leur parcage, armés de fumigènes ou de ceintures, frappent des hommes et des femmes sur leur passage, sans discernement.
Il est aux alentours de 22 heures ce vendredi soir et le récit des photographes postés en bas de la tribune fait froid dans le dos. Des centaines de personnes fuient, terrorisées par le déferlement de violence. La panique générale, puis la charge de deux compagnies de CRS, conduisent à l'envahissement de la pelouse, alors que les joueurs lyonnais étaient de retour pour entamer la seconde période. À ce moment-là, Jérémy Stinat renvoie immédiatement tous les acteurs au vestiaire. L'arbitre de la rencontre a déjà décidé que le match (1-1) ne reprendrait pas, ce qu'entérinera la cellule de crise quarante-cinq minutes plus tard.
Supporters supposés du PSG, nunchaku, barre de fer et chaîne de vélo
De sources policières, 500 supporters lyonnais étaient présents dans le parcage, dont 200 classés à risque. Ceux d'entre eux issus des groupes, qui s'étaient déplacés en TGV puis en cars escortés, sont arrivés en retard dans l'enceinte, après environ 25 minutes de jeu. Comme indiqué par plusieurs témoins, ils se sont ensuite installés en bas du parcage et ont commencé à mettre l'ambiance. Ils n'étaient escortés que par une quinzaine d'agents de sécurité.
Comme le montrent des vidéos diffusées dans la nuit de vendredi à samedi sur les réseaux sociaux, la soirée a dégénéré lorsque des individus, identifiés par plusieurs sources comme des supporters du PSG, ont réussi à s'infiltrer à proximité des fans lyonnais. Sur certaines images capturées par des spectateurs proches de l'action, on distingue l'un d'entre eux armé d'un nunchaku s'attaquer au parcage. D'autres avaient des barres de fer et un individu tenait même une chaîne de vélo. Une première bombe agricole a été lancée dans le parcage aux alentours de 21 h 50, déclenchant l'hystérie générale et un déferlement de violence.
Manque de stadiers et défauts de sécurité
Mathieu était en bas des gradins, collé au parcage. « La sécurité était hallucinante, il n'y avait aucun personnel et on pouvait se déplacer librement entre toutes les tribunes, explique ce supporter de l'OL. C'est ce qui a rendu possible l'introduction de Parisiens dans une zone essentiellement garnie de Lyonnais. Certains étaient armés ils ont lancé un énorme pétard au milieu du parcage. La suite est désolante mais on ne peut pas comprendre l'histoire sans mentionner cela. »
Les énormes défauts de sécurité du stade Charléty ont donc permis la violence, même s'ils ne l'expliquent pas. Il n'y avait pas de stadiers en dehors du parcage pour assurer la sécurité des familles présentes à cet endroit de l'enceinte, seulement séparé des Lyonnais par une fine paroi de plexiglass.
« En descendant les escaliers, j'ai vu beaucoup de Parisiens courir pour rejoindre la bagarre, et deux mecs qui avaient des tee-shirts d'Ultras du PSG. C'est parti en vrille en moins de cinq minutes »
Sébastien, 40 ans, est chef d'entreprise à Paris et supporter lyonnais. Venu au stade avec l'un de ses salariés, il était à quelques mètres du départ des incidents, il a tout vu et voici son témoignage : « Je m'étais installé juste à côté du parcage pour profiter des chants. À la mi-temps, cinq mecs sont remontés depuis le bas du parcage, des têtes rasées, et ils se sont postés dans le coin en haut. Ils ont commencé à taper sur le Plexiglas pour provoquer une bande de jeunes assis de l'autre côté. Puis un des hooligans a passé sa tête au-dessus de la barrière et a commencé à leur cracher dessus. Là, j'ai compris que leur seul objectif était de provoquer la bande. Les jeunes ont alors commencé à aller à l'affrontement. Au départ ce n'était que cinq mecs qui se battaient à travers le Plexiglas. Mais ensuite, une vingtaine de gars du parcage sont montés pour donner un coup de main. Et côté parisien, une dizaine d'autres individus sont arrivés pour aider les jeunes avec des armes et des fumigènes. Ça a dégénéré, je suis parti parce que j'avais peur. En descendant les escaliers, j'ai vu beaucoup de Parisiens courir pour rejoindre la bagarre, et deux mecs qui avaient des tee-shirts d'ultras du PSG. C'est parti en vrille en moins de cinq minutes. »
L'OL va devoir s'attaquer au problème des hooligans
Comment des hooligans parisiens pouvaient se retrouver là, et si lourdement armés ? Le Paris FC devra s'expliquer sur leur présence à l'intérieur du stade devant la commission de discipline de la FFF, exceptionnellement réunie en début de semaine prochaine. Comme il devra justifier les manques flagrants dans la sécurité autour du match : très peu de stadiers présents, des spectateurs entrés sans billet, selon plusieurs témoignages, et quasi aucune fouille à certaines portes. « Même s'il y avait quelques ultras du PSG, cela ne justifiait pas d'arroser tout le public de fumigènes, a expliqué Pierre Ferracci, le président du PFC, au Parisien. Il y avait notre équipe féminine juste à côté, qui a dû être exfiltrée comme des centaines de spectateurs. Il y a aussi un élément qui me gène. On me dit que les RG (Renseignements généraux) étaient au courant que des ultras du PSG risquaient de venir traîner. Le Paris FC n'en a pas été informé. Quand on a fait la réunion de sécurité, il n'y a eu aucune remarque de la part de la préfecture. Donc, c'est aussi la responsabilité des RG et des pouvoirs publics de ne pas avoir anticipé tout ça. »
Rien ne prouve formellement que les individus ayant attaqué la tribune vendredi font partie d'une des principales associations d'ultras lyonnais (Bad Gones et Lyon 1950), mais l'OL devra de son côté traiter le problème de ses hooligans, issus des groupes ou indépendants.
Vendredi soir, selon tous les témoignages recueillis, « le pire a été évité par miracle », puisqu'en dehors de plusieurs blessés légers, aucun drame n'est à déplorer. Personne n'a été interpellé par la police jusqu'à la fermeture du stade, à 0 h 45, sans aucun autre incident.
publié le 18 décembre 2021 à 16h16
mis à jour le 18 décembre 2021 à 22h17
Précision sur l'article que j'ai lu hier , Lahalle est le photographe.
L'article est de Hugo Guillemet qui était aussi sur place, ceci donne encore plus de garantie à la fiabilité des infos.
Hugo sait rester objectif, c'est sa particularité.
Que Lahalle laisse les professionnels faire leur travail et continue à vendre des chaussures : chacun son métier !
Avant de voir le main des "supporteurs" du PSG, commençons par balayer devant notre porte !...
Et pour moi, les accusés sont bien nos identitaires avinés, cajolés par Aulas depuis des années par pur mercantilisme !!!...
Au Danemark, en Europa League, il n'y avait pas de "supporteurs" parisiens mais nos tarés de délinquants organisés s'en sont pris à des familles et ont balancé des fumigènes sur la tête d'un gosse !!....
Le premier responsable est Aulas qui fait dire à Juni que les visiteurs doivent "avoir peur" de venir jouer au GS de Décines. Quelle incitation à la violence pour des gens dont c'est le premier mode d'expression !!...
Et je ne parle pas des matchs contre le CSK Moscou (l'OL fur averti par l'UEFA) ou Besiktas !...
Petit retour en arrière. En 2008, l'OL reçoit Tottenham en LDC. Et là, notre noble président se dit certain de mater les "rosbeefs", mot xénophobe qui a été suivi d'agressions des supporteurs Anglais et la mise à sac des bars où ils étaient dans le 7ème arrondissement de Lyon. Nos identitaires du Vieux Lyon se permettent tout quand on les encourage Monsieur Aulas !!!...
Au lieu de minimiser les faits, de chercher des excuses voire de crier au complot (langage bien compris des dégénérés alcoolisés qui peuplent nos virages du stade), admettez les faits et combattez les Monsieur Aulas !!!...
Choisissez entre les délinquants organisés et les gens qui viennent au GS pour voir vraiment un match de foot. Car vous ne pourrez durablement accueillir les deux à Décines !...
Faites comme le PSG qui a fait le ménage dans ses groupes de supporteurs.
Propos xénophobes, minimisation des incidents graves, soutien inconditionnel à vos ultras, sanctionné pour pression sur l'arbitre, vous êtes Monsieur AULAS LA HONTE DU FOO FRANCAIS. Les arbitres, les gouvernants et tous les vrais amateurs de foot savent désormais jusqu'où votre mercantilisme peut vous mener !!!...
Encore une couche à la Ferracci ?
Merci.
On y voit de plus en plus clair.
On sait que les supps de l’OL faisant les déplacements ne sont pas des anges, mais hormis des fights (qui ne regardent qu’eux) et des bagarres avec les policiers locaux (si ça les amuse d’avoir à faire à la justice…), jamais il n’y a eu de problème SANS RAISON.
S’attaquer à des familles est HONTEUX (je n’ai pas vu les images correspondantes) mais on comprend mieux le mouvement.
Ferracci, l’homme qui murmure à l’oreille du cheval (de l’Elysée) et qui a profité très largement de l’arrêt prématuré de la saison 2019/2020 qui nous fout dans une telle merde, va devoir s’expliquer et ça, ça me requinque le moral.
Le pauvre ne se doutait pas que des Ultras du QSG pouvaient venir chercher la m…. voire agresser physiquement les supps lyonnais ?
Faute professionnelle majeure, il devra en répondre devant la justice.
J’espère que la vindicte populaire que nous subissons va vite changer de camps. Mais est-ce que ça va faire vendre autant de papier ?
L'autre partie du dossier de l'Equipe etait un peu plus à charge.
Voici quelques extraits:
Il est établi ce matin que les fauteurs de troubles lyonnais les plus violents à Charléty, vendredi soir, étaient des hooligans trop souvent présents dans les parcages visiteurs de l'OL. Le hooliganisme est un mal récurrent à Lyon, où plusieurs groupuscules de quelques individus de la mouvance identitaire locale viennent régulièrement au stade pour exprimer leur violence.
Hier, l'OL a réagi d'un communiqué très ferme en promettant vouloir « éradiquer ces phénomènes de hooliganisme et bannir tous ceux qui sont ennemis, par leurs actes, du football, mais aussi des clubs dont ils se revendiquent. »
En mars 2018, en marge d'un match face au CSKA Moscou, un symbole SS et des saluts nazis sont aperçus dans le virage et sanctionnés par l'UEFA.
C'est aussi au Sud que s'étaient mobilisés les identitaires rhodaniens auteurs de violences lors de Lyon-Besiktas au printemps 2017, «avec des frappes sans distinction, ce qui rappelle les événements de Charléty», souffle-t-on au club.
En septembre 2016 contre Lille, les « hools » fascistes de la Mezza Lyon avaient no-tamment déployé une banderole «Refugees gees not welcome» (« Les réfugiés ne sont" pas les bienvenus »). Ce groupe, composé d'une grosse quinzaine de personnes, serait aujourd'hui le plus actif dans le hooli-ganisme lyonnais. Selon des sources sur place, certains de ses membres étaient présents vendredi à Paris et au départ des provocations et des violences. Fans de Mussolini, dont ils sont déjà allés visiter la sépulture, adeptes des fights contre d'au-tres hools, ils profitaient jusqu'à présent de la porosité du virage sud et du laxisme de l'OL pour exister lors des matches.
« J'étais dans le parcage au Parc des Princes en septembre et c'était déjà parti en couille à l'époque (un supporter du PSG âgé de 11 ans avait été blessé par un siège lancé depuis la zone visiteurs), témoigne Carlos, un supporter lyonnais à Paris. Ce qu'il s'est passé à Charléty aurait déjà pu arriver au Parc, sauf que la sécurité était là. Ça fait des années qu'on ferme les yeux sur certains mecs. »
« Les gens à Lyon le savent, il y a uni frange de mecs violents d'extrême droite poursuit un agent très bien implanté à l'OL. Si les Lyonnais font comme s'ils ne le savaient pas, alors ce sont des hypocrites et des menteurs. Ce sont des mecs à qui on a donné carte blanche, c'est tout. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités. La place de ces mecs, qui font tous les déplacements, n'est pas seulement en dehors des stades mais en prison. Même depuis les loges proches des virages, on les voit. Ils sont là.» À l'OL de faire le nécessaire, désormais, pour que ce ne soit bientôt plus le cas. »
Mais il y a un passage qui remonte le moral où il est dit que plusieurs coupables semblent identifiés:
Dans les faits, les dirigeants se sont déjà mis au travail et ont passé toute cette journée de samedi à compiler les images des réseaux sociaux et des agences photo afin d'identifier les individus. Et lorsqu'il a porté plainte contre X, l'OL a aussi demandé les images de vidéosurveillance du stade parisien pour poursuivre ce travail. Plusieurs hommes coupables de violences ont déjà été identifiés, mais aussi un autre qui avait lancé des insultes racistes et imité un singe avant que la rixe ne commence. Le club compte les radier « à vie» même si, pour prendre de telles mesures, il devra être aidé par la loi.
Aulas fera le ménage, je n'ai aucun doute là-dessus. Au moins, la vérité a été rétablie, mais est-ce que les médias la relaieront autant que leurs propres mensonges ? Rien n'est moins sûr.
@Le_Lyonniste
Il serait grand temps de faire le ménage.
Ca aurait dû être fait depuis longtemps: les fachos dans les virages c'est pas nouveau.
Mais il faut attendre que les sanctions sportives tombent (-1 point et probable disqualification) pour s'y mettre sérieusement.
Comme quoi les sanctions sportives ca marche en boostant le volontarisme des dirigeants.
Et comme quoi quand on veut on peut.
eh ben voila ! sans la propagande anti lyonnais qui a été développée par l équipe et mème par des soi disant supporters lyonnais qui ont pourri ce forum en vomissant sur Lol ,comme dit le proverbe: c est a la fin du bal qu on paie les musiciens , en parlant d une justice neutre bien sur
Voilà on y arrive, c'était à prévoir que l'extrême droite était dans cette histoire une fois de plus. On sait tous que des identitaires à Lyon se sont infiltrés depuis 3 ou 4 ans, il y a de plus en plus de témoignages de lyonnais qui commencent à parler, ils en on marre de se retrouver à côté de ces gens là. J'ai un pote lyonnais qui ne va plus chez les bad gones à cause d'eux . Le jour où il a entendu Aouar se faire traiter de sale bougnoule il a bougé. Et il n'est pas le seul.
Quand aux parisiens se sont des hooligans qui pour la plupart ont été exclu du parc et du coup ils viennent gangrener les autres stades dès qu'ils peuvent. De mouvance d'extrême droite eux aussi mais plutôt tendance F'haine, ils sont souvent pris à la sécurité dans les meetings.
La peste brune s'infiltre partout, même sur le site il y a des tentatives de 2 ou 3 personnes.
Perso je laisserais rien passer et ce qui me rassure c'est que beaucoup d'autres ici ne laisse rien passer non plus.
Merci molo d'apporter quelques témoignages 👍
👍pour le message de Juni du 36
J'ai lu moi aussi l'Equipe ce matin.
Certes, le CR montre que le donneur de leçon Ferracci devra comprendre les défaillances de son club dans l'organisation du match (et donc ses responsabilités pour les décisions à venir). Ce CR montre bien que des voyous "issus" d'autres clubs ont joué aussi un rôle très néfaste, comme cela avait d'ailleurs été déclaré par le journaliste de la chaîne l'Equipe, présent au stade qui avait parlé de mouvements de foule d'une tribune vers celle des supporters lyonnais.
Cela n'en dédouane malheureusement en rien l'OL qui va payer cher pour ses propres voyous.
Sans aucune provocation, j'ai pu observer de mes yeux cette violence au Groupama Stadium. Il y a effectivement un gros ménage à faire aux sein des Kops, apparemment plus dans la tribune Sud que dans celle du Nord. D'après les articles, les dirigeants des associations de supporters seraient plus ouverts à ces mesures que certains intervenants ici qui, soit sont parties prenantes, soit ont de la peau de saucisson devant les yeux.
Le soi-disant sénile et ses équipes semblent vouloir s'y atteler. C'est là-dessus et non sur sa com qu'il devra être jugé.
Pas de politique dans les stades, encore moins d’extrémisme.
Jean-Michel, tu as une chance unique de nettoyer ces merdes, ne la laisse pas passer, tu auras le soutien des vrais supporters !
Merci Hannibal pour l'article !
Le fait qu'il soit payant ne facilite pas la diffusion de l'information, et beaucoup s'en sont arrêté à la version de vendredi soir, que les supporters lyonnais étaient les uniques responsables.
Bien, espérons que la suite à donner sera de rejouer le match, quitte à le faire le 25 décembre ! Y en a marre de ces arrêts de match pour des faits individuels. ça leur donne trop d'importance, et les encourage à recommencer
Je lis et vois tout. Certes des faits nous sont exterieurs mais on voit bien que ce que montrent de Lyon les charognes de vendredi nous mettent au ban du foot. Et aussi que la situation date de 2016 ou avant.
J'ai des souvenirs de mecs faisant le salut fascho du temps du grand ol ...
C'est un immense reproche a faire et une tache prioritaire et immediate a accomplir.
On les aura plus ailleurs mais on les veut plus dans notre stade.
Dehors!
Doudski69, si tu lis et vois tout... Serais-tu Dieu ?
D'où le "D" débutant ton pseudo ?
Les mecs qui font des "saluts nazis" ont heureusement toujours été minoritaires.
Tout problème est une opportunité déguisée...et à Lyon on commence à avoir un paquet d'opportunité depuis le début de la saison.
Les problèmes lyonnais sont les mêmes qu'en Île-de-France, ou en métropole marseillaise et autres... Le contrôle de ces individus marginaux et anarchiques, bien organisés, n'est pas du ressort d'un club, même grand comme l'OL et encore moins d'un club modeste de L2. Il appartient essentiellement aux RG (dont on ne discutera pas ici le rôle obscur auprès du pouvoir) de faire le ménage, sinon un encadrement serré.