Le 25 novembre est synonyme de la journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes. Les clubs de Ligue 1 et la LFP s'engagent pour cette cause.
Ce jeudi 25 novembre marque la journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes. En association avec "Solidarité Femmes" et avec le soutien du Ministère chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chance, la Ligue de football professionnel et les clubs de L1 et de L2 se mobilisent pour défendre cette cause.
Ainsi, le #UnMurPourElles a été lancé ce jeudi. L'objectif de cette campagne est de faire participer l'ensemble de l'écosystème du ballon rond hexagonal afin de sensibiliser le plus grand nombre d'individus. "Les équipes de L1, de L2 et l’ensemble des associations partenaires de la LFP ont été invités à se prendre simplement en photo en train de faire un mur, geste footballistique bien connu, puis à poster en story sur Instagram cette photo avec ce hashtag. La Ligue a ensuite repris l’ensemble de ces stories pour former collectivement un mur infini contre les violences faites aux femmes, explique l'instance dans un communiqué. Tous unis pour ériger ce mur contre les violences et montrer aux femmes victimes de violences qu’elles ne sont pas seules."
Un numéro, le 3919
Pour rappel, il existe un numéro, le 3919, pour alerter des violences sexistes et sexuelles, en particulier conjugales. Il est accessible 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, également pour les personnes malentendantes.
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Mouahah
Ça la fout mal compte tenu des révélations récentes de violences faites aux femmes dissimulées par des clubs pour protéger la valeur marchande des joueurs. Rien de mieux que de la vertu publique pour cacher des vices privés, n'est-ce pas ?
Je ne peux qu'abonder dans ton sens, belle formule de conclusion !!
Tu parles sans doute de Ferland Mendy ici à Lyon
Oui et non, Ferland Mendy est un évènement qui révèle surtout une tendance de fond : la libéralisation du football amène à l'effondrement de l'ordre moral. Comme le souligne Michéa, puisque le jugement moral est interdit dans une société libérale, à la fin c'est le marché qui tranche. Et sur ce coup-là le marché a tranché et a demandé à madame de fermer sa gueule pour que monsieur aille au Real