Un mois après avoir débarqué sur le banc du Beijing Guoan, Bruno Genesio est revenu sur son adaptation et a expliqué son choix de poursuivre sa carrière d'entraîneur en Chine.
Pendant que l'Olympique lyonnais débute une nouvelle ère avec Juninho et Sylvinho à sa tête, son ancien entraîneur Bruno Genesio lutte pour le titre en Chine. Il y a pile un mois, le technicien qui a passé trois et demi sur le banc de l'OL, s'est assis sur celui du Beijing Guoan. Un choix motivé par l'envie de s'éloigner de ses tourments lyonnais. « D’un point de vue personnel, je souhaitais m’éloigner de Lyon et de la France. L’Europe était trop proche, la Chine me semblait un bon challenge », a expliqué l'entraîneur à la presse chinoise, dans des propos traduits par Lucarne Opposée.
Dans son nouveau club, Genesio s'est rapidement adapté. Peut-être parce qu'il y voit des similitudes avec l'Olympique lyonnais. «J’ai décidé de venir en Chine en 48 heures et mon adaptation a été plutôt bonne. Mon staff et moi-même sommes arrivés dans un club très professionnel. Sous la direction du président Zhou et du manager général Li, le club est très bien structuré, tous les employés du club sont salariés à temps complet. Ce type de management me rappelle la Ligue 1 avec un niveau de management proche de celui du PSG ou de Lyon, a souligné l'ancien adjoint de Rémi Garde. Je ne pense pas qu’il y ait de grande différences entre l’Olympique Lyonnais et le Beijing Guoan, chaque employé sait ce qu’il doit faire, les tâches sont très bien réparties afin de maximiser les performances. »
Bruno Genesio explique sa philosophie de jeu
En Chine, Bruno Genesio souhaite s'appuyer sur un équilibre de jeu qu'il n'a jamais trouvé à l'OL. « J’aime avoir une équipe avec une grosse capacité à contrôler le ballon et qui est équilibrée entre attaque et défense. Si nous perdons la possession, nous devons faire le maximum pour récupérer le ballon très rapidement et nous projeter vers l’avant. Si nous n’arrivons pas à reprendre le contrôle, il nous faut passer rapidement en mode défensif, a indiqué l'entraîneur. Pour moi, l’équilibre entre l’attaque et la défense est primordial. J’en ai déjà parlé avec les joueurs et nous avons beaucoup travaillé avec l’aide de la vidéo. J’ai déjà vu des améliorations lors des précédentes rencontres. » A sept journées de la fin du championnat, le Beijing Guoan est deuxième de Chinese Super League à cinq points du Guangzhou Evergrande de Fabio Cannavaro.
Euh, tant mieux pour lui mais pourquoi cet article içi et maintenant ?
Comme le dit un potache qui ferait mieux de préparer son année de lycée : Heureusement qu'il n'est pas arrivé à pied par la Chine !
Mitroglou dirait:
"j'avais besoin de m'éloigner de France (ici tout le monde sait que suis une brèle), je suis un attaquant qui aime marquer, mettre 3 buts par match s'est normal pour moi. Je travaille beaucoup avec la vidéo, maintenant je sais où se situe la cage"
On se moque de lui mais pendant ce temps on juste 1 point de plus que l'année dernière à même époque. Genesio il est pas plus bête qu'un autre. Mais nos leader technique Memphis, Aouar, Traoré, Ndombélé à l'époque etc et etc. Sont ou était des mecs qui n'aiment pas se faire mal et qui pense que leur supposé talent suffit.
Je vois toujours le même jeu que l'année dernière. Et je vois les joueurs dirent comme toujours on a compris, l'année dernière c'était des on s'est remis en question on s'est posé les bonnes questions. Mais pourtant l'année dernière comme cette année c'est tjrs pareil sur le terrain
Bruno a vraiment dit ça ? Il manque juste les 4 secondes... 😆
C'est une blague, j'y crois pas !
Putain sylvinho à tout copier sur lui. Même discours. Par contre pour la Chine c'est du pipeau. S'il avait pu entraîner en Angleterre il y serait mais hélas pour lui personne n'en a voulu.
Il y a de quoi être décontracté là-bas. Ils jouent deux ou trois fois par mois maximum. Le dernier match remonte au 15 août et le prochain se joue le 13 septembre. Pépère le Pep!