Laura Georges se félicite de l'engouement que suscite l'affiche de ce soir.
Six saisons à l'OL, cinq au Paris Saint-Germain. En cette journée de choc entre les deux monstres du football féminin français, le coeur de Laura Georges doit sûrement balancer. De nombreux supporters parisiens sont attendus à Jean-Bouin ce soir, et l'ancienne défenseure centrale n'a pas caché sa satisfaction sur le plateau de RMC Sport ce matin : "Déjà qu'avoir 200 Ultras et les entendre, c'est impressionnant, alors 1000, c'est énorme, ils vont combler tout le stade. Après, on veut forcément plus de spectateurs, parce que pour que le match soit attrayant visuellement, il faut aussi des tribunes pleines."
Les filles de Reynald Pedros ont atterri dans la capitale, ce matin.
Les filles sont à Paris ! #PSGOL pic.twitter.com/PRIEGxBG4P
— OL Féminin (@OLfeminin) November 18, 2018
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C'EST PARTI !!!!!
ALLÉ L'OL !!!!
#LYON
L'OL égalise rapidement sur une tête de Wendy Renard reprenant un coup-franc tiré par Maroszan après l'ouverture du score parisienne sur une cagade XXL de Bouhadi qui nous habitue trop souvent à mon goût à des fautes de concentration pour ne pas dire de nonchalance.
Un manque de justesse dans le jeu lyonnais même si nos fenottes dominent dans l'ensemble. J'espère que Reynald va recadrer tout ça à la mi-temps.
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On n'est que deux à s’intéresser à ce match ?
Bon bah comme d'habitude, que ça soit contre les filles ou les mecs, on se fait encore voler face à ce club de pourris... C'est hallucinant comment ils sont systématiquement avantagés.
À part les dernières minutes, deux piliers du groupe lyonnais : Renard et Marozsan. Mention à MBock mais les autres peu affûtées. Et n'oublions pas une montre en or à l'arbitre, au cocktail qatari d'après-match.
Un arbitrage pro-parisien scandaleux avec ce penalty que tout le monde a vu à la 90e minute pour un tirage de maillot évident sur Hegerberg à l'entrée de la surface.. tout le monde, oui, sauf l'arbitre...
Pour le reste, trop d'imprécision dans le jeu lyonnais avec quelques joueuses qui n'ont pas eu leur rendement habituel, je pense à Lucy Bronze, pas assez présente en apport offensif sur son couloir droit, Majri, moins tranchante ou Hegerberg pas précise dans le geste final. Même Maroszan m'a paru être en-dedans.
En face, les Parisiennes, par un pressing constant, ont bien gêné leurs adversaires.
Le pressing est leur seule force (avec les gabarits correspondants) mais il y a eu des trous et généralement ça se sent vers la fin.
Bouhaddi commence à s'user. J'ai craint un tir en hauteur car j'étais sûr qu'elle n'aurait pas sauté. Sur sa bévue, elle ne réagit pas et reste couchée ; mais peut-être que j'attend d'elle un influx trop masculin.
Le pressing est l'arme des faibles laquelle consiste à pourrir le jeu de l'adversaire en ne proposant pas grand chose en retour.