Comme je n'ai pas encore revu les images et que vu de Gerland tout ça m'a paru très légal je ne vais pas faire la fine bouche et polémiquer sur l'issue du match. Il a été si formidable dans l'émotion et tellement heureux dans le dénouement que je ne peux que jubiler. Et tant pis pour les niçois qui après tout, n'ont eu que 2 occases. Lyon a été cherché cette victoire et il l'a mérité. Mené 2 buts à 0 à la demie-heure de jeu, Lyon a ensuite été renversant.
D'ailleurs, il ne faudrait pas en faire des tonnes sur le petit match de Cris car la faillite était sans doute plus globale à l'entame. Il faut dire qu'avec autant de changements apportés à l'équipe, Puel n'avait pas fait dans la demie-mesure. Je crois bien qu'il y a match mercredi.
Sans Benzema, ni Govou ni Toulalan, Lyon n'est plus tout à fait le même qu'on se le dise. Déséquilibré au milieu et sans explosivité devant il a manqué de repère pendant toute une mi-temps. Certes Nice n'était pas plus dangereux que ça mais à coup sur plus réaliste. Et c'est donc finalement Juninho qui a sauvé ce qui pouvait l'être en réduisant la marque d'un maitre coup-franc juste avant le repos (1-2). C'était d'au moins 25 mètres et sous les yeux de Benzema alors à l'échauffement...quelque chose devait changer !
Et le jeune international n'a pas mis longtemps à se mettre en évidence. Deux superbes occasions manquées d'un rien dés la reprise puis dans tous les bons coups jusqu'à ce penalty transformé de la 94ème (3-2). Entre temps, Juni encore lui, avait fait des siennes (2-2). Un coup-franc maison de 40 mètres qui médusait Letizi, gêné juste ce qu'il faut par Piquionne rentré quelques minutes auparavant.
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