Malgré l'absence de Maxwel Cornet, Bruno Genesio devrait reconduire son 3-5-2 pour le derby face à Saint-Etienne, dimanche.
La situation n'est pas évidente à gérer pour Bruno Genesio. Confronté à une cascade de blessures depuis plusieurs semaines avec celles d'Alexandre Lacazette, de Clément Grenier, de Christophe Jallet et de Rafael, sans oublier les suspensions de Maxime Gonalons et Mapou Yanga Mbiwa, le technicien rhodanien doit maintenant faire face au forfait de Maxwel Cornet. Un nouveau coup dur qui arrive au plus mauvais des moments, avec la réception de l'AS Saint-Etienne dimanche au Parc OL.
L'importance de Maxwel Cornet
Depuis la blessure d'Alexandre Lacazette, le meilleur buteur de l'OL cette saison (6 réalisations), face aux Girondins de Bordeaux (1-3), Maxwel Cornet a pris place à la pointe de l'attaque olympienne. Si son bilan en terme d'efficacité n'est pas exceptionnel, avec seulement 2 buts inscrits et 1 passe décisive offerte, le don de soi et l'altruisme dont il fait preuve à chaque fois auront été d'une importance capitale dans l'animation offensive de son équipe. Le joueur de 20 ans n'a jamais ménagé ses efforts sur le front de l'attaque lyonnaise et son impressionnant abattage physique aura permis de remuer et d'épuiser les défenses afin de créer des espaces pour ses partenaires.
À plusieurs reprises au cours des dernières rencontres, Tolisso et Fekir auront profité de son travail de sape pour venir s'engouffrer entre les lignes adverses et marquer des pions. L'importance de Cornet dans le onze de départ de Genesio est donc indéniable. De plus, l'Ivoirien de naissance dispose d'un profil assez complet : il est rapide, endurant, il possède un gabarit assez costaud et est difficile à bouger pour les défenseurs. Son absence, estimée entre deux et trois semaines suite à sa blessure à la cuisse contre le FC Séville, n'est donc pas une bonne nouvelle en vue du match contre les Stéphanois. Surtout, elle va obliger Bruno Genesio à venir chambouler le 3-5-2 qu'il a instauré depuis la blessure de Lacazette.
La priorité au 3-5-2
Car l'entraîneur olympien souhaite bel et bien maintenir son dispositif. "Je continue de penser que le 3-5-2 est certainement le système qui convient le mieux aux qualités de l’équipe, a-t-il expliqué en conférence de presse ce vendredi. Et cela même quand on aura récupéré nos blessés. On peut imaginer une attaque Lacazette-Fekir, Lacazette-Cornet ou Cornet-Fekir, explique Genesio. Je pense que ce système correspond le mieux aux profils des joueurs dont je dispose. Mais, c’est vrai qu’en ce moment c’est un peu un casse-tête de faire une composition d’équipe équilibrée compte tenu des absences."
Reverra-t-on une doublette Valbuena-Fekir comme face à Lorient ? C'est évidemment une possibilité. De même que celle de voir Houssem Aouar, que Bruno Genesio a pris en aparté durant la séance d'entraînement ce matin, se retrouver titulaire dimanche en position de numéro dix et en soutien de Nabil Fekir, seul à la pointe de l'attaque lyonnaise. Les absences conjuguées de Cornet et Lacazette sont un véritable problème pour le coach de l'OL, surtout que certains éléments offensifs ne semblent pas au niveau, tels que Perrin, Kalulu ou Ghezzal, loin de la forme qu'il tenait en deuxième partie de saison dernière. Mais d'autres joueurs sont capables de se montrer décisifs : "C’est sûr que j’aurais préféré avoir tout mon effectif à disposition, et notamment Alex, avoue Genesio. Mais ce sont des choses que l’ont ne maitrise pas. Il faut se concentrer sur les joueurs qui seront présents sur le terrain dimanche et les mettre dans les meilleures conditions." Peu importe la manière, peu importe le système, peu importe les joueurs... Face à St-Etienne, seule la victoire est importante.
Oui le 3-5-2 est pour moi aussi le meilleur système avec Mamanna derrière surtout et plus de Mapou.
...Et Mateta ??...il en est ou au niveau prépa...ce serait le bon moment pour le faire jouer face a la pénurie actuelle d'attaquants ..
Mateta c'est un fantôme, il ne joue pas avec l'équipe une, et pas avec la CFA. Il est où ?
En vacance!!! 😉
Nan serieux, je pense qu'il n'a pas encore le niveau.
mais bon pour le faire rentrer en cours de jeu pour voir ce que ça donne cela serai bien.
connaissant BG les remplaçants sont là pour faire beau, ils rentrent en fin de match pour courrir apres le score.
Mateta serait bien pour entrer vers la 85e et marquer le sixième but, la chance du débutant en quelque sorte.
Faut casser ce 3-5-2 galere car on a pas d attaque.
Vive le 4-2-3-1.
Gaspar mamana diakaby Morel (ou rybus)
Darder tousard
Guezzal fekir tolisso
Kalulu
La puissance de tolisso sera utile sur le côté
Va dormir avec ton tolisso sur le coté. N'importe quoi !!!
Je suis plutot d'accord avec toi quoi que Ghezzal je le trouve tres moyen en ce debut de saison ( peut-etre qu'une fois son contrat signer il sera meilleur ) mais bon BG ne fera pas autant de changement surtout dans l'axe de la défense, une bonne chose c'est la suspension de Mapou.
apres pour le reste on peut toujours rêver.
Le 3/5/2 est très bien. C'est le système qui convient le mieux à mes yeux. Le 4/4/2 losange aussi correspond à nos joueurs. Au retour de nos blessés j'aimerais voir un losange avec fekir en soutient de cornet et lacazette. Puis derrière une charnière mammana diakhaby. Si 3/5/2 une défense Mammana Diakhaby Morel
Ce système ne nous handicape pas trop. Ce serait plutôt les absences. Aucune belle composition ne nous a empêché de subir de belles raclées . Plutôt que de parler d'attaquant de métier, je préfère dire qu'il nous manque un ou deux tueurs.
plus ca va moins ca va, a ce rytme la on jouera avec la cfa
« Nous sommes leaders sur le plan national depuis plus de 15 ans ; le travail effectué démontre notre pertinence. » C’est en substance ce qu’a répété Jean Michel Aulas pendant 10 minutes au cours d’un récent débat sur RMC. Face à l’anthropologue-sociologue Daniel Riolo, le président lyonnais offre une parodie de communication à propos de son mercato, et de son orientation sportive en général. Riolo est pertinent et lance un débat sur le mode de fonctionnement de l’Olympique lyonnais, qui limite selon lui son expansion sportive malgré son immense potentiel…
Stratégie de transition ou choix volontaire d’un fonctionnement lyonno-lyonnais ? Consanguinité exacerbée ? Peur de s’ouvrir vers l’inconnu ? Valbuena doit-il être interdit à vie de territoire rhône-alpin ? Tant de questions derrière les contours sportifs de cet OL…
Une avance considérable sur le reste de la L1
En termes de stratégie moyen/long terme et d’infrastructure, l’Olympique Lyonnais a une avance qui ne cesse de croître sur ses concurrents (à l’exception du PSG qui compte construire son propre centre d’entraînement et base sa stratégie sur le financement public extérieur qatari). L’OL possède une stratégie très saine, basée sur la possession de son stade, outil privé actif 7 jours sur 7 en dehors des matchs, que ce soit pour des séminaires, des visites, des concerts, etc… C’est une véritable machine économique que représente ce stade ultra moderne, qui sera également sous peu complété par un complexe hôtelier et un ensemble de centres de loisirs/remise en forme.
L’OL a des actifs très solides, et attire petit à petit des contrats de sponsoring plus rémunérateurs. En attendant le naming de son stade, l’OL a déjà nommé son nouveau centre d’entraînement « Groupama training center » moyennant 1 million à l’année. Mais surtout, l’information retentissante de cet été a été l’injection de 100 millions d’euros d’une entreprise chinoise, un apport qui fait grossir le capital de l’OL et n’implique le rachat d’aucune part, Jean Michel Aulas et Jérôme Seydoux voulant garder la main sur leur club. Cet accord a pour objectif de permettre à l’OL de rembourser plus vite son stade et de réduire le pourcentage de taux d’intérêts des banques. Dans le même temps, un aspect moyen et long terme a été intégré, avec la création d’une synergie entre l’entreprise chinoise et l’OL, impliquant le développement de la marque en Chine, Hong Kong, Macao et Taiwan, ce qui permet de gagner d’autres marchés économiques en Asie.
aouar-maolida
Sur le plan sportif, l’OL est le club référence en termes de formation en France, une stratégie qui a permis au club de survivre au très haut niveau durant les années pré Grand Stade. La qualité de cette formation (décryptée au sein d’un article précédent sur Ultimo) permet au club non seulement de fournir des joueurs aspirant au niveau élite européen mais aussi d’avoir un potentiel d’actifs à haute valeur en cas de revente. L’OL a ainsi pu refuser (avec l’aide de Tolisso) une offre de plus de 37.5 millions du Napoli pour son joueur. Ce renouvellement permanent de talents permet donc au club d’avoir une assurance sportive et financière. Chaque génération n’est pas égale en termes de talents, mais parmi la prochaine risquent de figurer plusieurs potentiels futurs titulaires au sein du club (Aouar, Maolida, Gouiri, Gaspar, ou encore Caqueret…). L’OL s’ouvre même à l’internationalisation de son centre en prospectant à l’étranger, notamment pour la post-formation.
Mais là où le bât blesse, c’est au niveau de la gestion du secteur professionnel.
Le gâchis du potentiel sportif
Décembre 2015, l’OL est dans une crise profonde après avoir été ridicule en Champions League et en Ligue 1, et ce juste avant d’entrer dans le nouveau Parc OL, censé être synonyme d’ambitions. L’arrivée dans une nouvelle ère est gâchée pour Jean Michel Aulas, qui commence une réflexion sur son fonctionnement sportif et remet en cause ses principes. Il prospecte ainsi auprès d’entraîneurs étrangers réputés pour leurs compétences tactiques et leur vision du jeu très élaborée. Face à la difficulté d’enrôler Lucien Favre et Marcelo Gallardo, le président doit se résoudre à offrir le poste à Génésio, adjoint d’Hubert Fournier, en misant sur sa relation proche avec les cadres de l’effectif. Mais il n’abandonne pas pour autant son idée de révolutionner le secteur sportif. Face à un constat d’échec concernant le recrutement, il souhaite en remanier les étapes décisionnaires et amorce une réflexion autour d’un directeur sportif ayant « un carnet d’adresse et des idées ». La mini révolution devait avoir lieu dans le courant de l’été 2016.
Il s’avère que suite à un sprint permettant de rattraper un Monaco faiblard, l’OL atteint son objectif sportif et économique qui est la Champions League. Certaines recrues comme Yanga Mbiwa s’adaptent et sont performantes. La recherche d’un directeur sportif et une augmentation du capital de recruteurs au sein du club sont toujours d’actualité et annoncées par Jean Michel Aulas. Néanmoins face à la réussite sportive, les bonnes résolutions de janvier sont vite oubliées. Aulas prolonge Génésio de 3 ans (!!) pour avoir fait ce qu’a réalisé Antonetti en cours de saison avec le LOSC, ou encore Hubert Fournier une saison auparavant, et semble ne retenir aucune leçon tant il tâtonne dans sa recherche d’un directeur sportif. Il cherche également un préparateur physique d’expérience pour chapeauter le secteur performance de l’OL. Antonio Pintus arrive le 30 juin, et repart le 15 juillet comme un voleur face à une offre du Real Madrid – preuve s’il en fallait des qualités morales de cet homme de parole.
Le mercato va, sur plusieurs points, démontrer que l’OL est désorganisé et par certains aspects travaille presque comme une épicerie familiale. Après avoir recruté Rybus et Nkoulou gratuitement, le club a l’excellente idée d’aller chercher le très demandé Emmanuel Mammana pour préparer l’avenir au poste de défenseur central. Sur cette idée de Florian Maurice, le club réalise un très beau coup sur le marché des transferts début juillet. Le secteur offensif lui est ciblé par l’état-major lyonnais avec deux postes visés. Pour le poste d’ailier (face au départ programmé de Valbuena), l’OL essuie le refus de Ben Arfa, qui face à « la volonté du coach de l’intégrer dans son projet sportif », n’a pas résisté à l’offre du PSG. L’OL n’aura aucun plan B à ce poste. Pire, il pousse à peine dehors Valbuena. En le faisant se sentir le bienvenu au club, celui-ci refusera plusieurs offres et continuera d’hanter le club Gone de son âme démoniaque. Concernant le poste de numéro 9, pour lequel le club ne dispose que de Lacazette comme joueur confirmé, l’OL se fie à Florian Maurice pour débaucher l’excellent Roger Martinez. L’affaire sent bon l’excellent coup, mais un club chinois double l’OL, ce qui peut arriver sur le marché des transferts. Il faut alors passer au plan B, à la deuxième option sur la liste du club. Mais quelle liste ? L’OL attendra le 30 août et une menace de blessure de Lacazette pour essayer de recruter des joueurs offensifs en catastrophe. N’y arrivant pas, il fait passer cela pour un choix du club. Quelques jours plus tard, Lacazette se blesse un mois : l’OL est face à ses errements et son amateurisme.
lacazette
Que manque-t-il au club pour mieux gérer les mercatos ? Florian Maurice fait un travail de qualité mais il est trop seul ; sur ce point le président Aulas a déjà annoncé la mise en place de recruteurs en Europe, au Maghreb et en Amérique du Sud pour travailler en Florian Maurice. Mais l’OL a également et surtout besoin d’un axe directeur sportif / coach très compétent et aux fonctions définies. Aujourd’hui l’OL a engagé Gérard Houiller en tant que « consultant externe », à cause de ses problèmes de santé. Le contrat a été prévu pour débuter une fois le mercato terminé : idée et timing brillants. L’OL se limite encore une fois à ses anciens et prend quelqu’un dont les relations et idées sont déjà dépassées. Dans ce cas, pourquoi ne pas prendre Lucien Eynard en tant que directeur sportif ? Aucune vision à long terme, aucune prise de risque et un manque de clairvoyance. Dernière blague en date : Gérard Houiller vient de proposer Emmanuel Adebayor, qu’il avait failli recruter en 2005. Le prochain sera probablement Salif Diao ou Milan Baros.
Génésio : 3-5-1-1 et improvisations
Après six premiers mois réussis dans un contexte spécifique, Génésio montre ses premières limites dans la construction de son équipe. Il n’a pas beaucoup de poids durant le mercato, reste inactif face aux besoins dans le secteur offensif et présente une équipe aux immenses lacunes tactiques dès le mois d’août face au PSG lors du Trophée des champions, puis à Dijon contre une équipe de niveau Ligue 2. Un pressing désorganisé comme rarement vu, des lignes étirées, une défense prise à défaut sur plusieurs simples longs ballons. La réaction du maître Génésio face à Bordeaux est ensuite tout simplement de positionner son équipe très bas à domicile, subissant le jeu du maestro Gourvennec et semblant parfois à la limite de l’agonie. Résultat : 3-1 et une rechute de Lacazette qui joue 95 minutes en reprise. Les premières critiques fusent et Bruno Génésio commence à se défendre : s’il s’appelait « Bruno Ramirez Sanchez » il n’en essuierait pas autant -référence à la hype des entraîneurs latins.
C’est donc probablement de la faute des entraîneurs latins si Génésio n’a rien travaillé correctement tactiquement durant les deux mois de préparation et s’il se rend compte à trois jours de la Champions League qu’il serait intéressant d’expérimenter un autre système. Surtout quand celui-ci semble être taillé pour l’effectif. Un système à trois qui correspond au profil technique des défenseurs centraux (relanceurs, avec des qualités d’anticipation et de lecture du jeu) et des latéraux Rafael et Rybus, très offensifs. De plus celui-ci permet de conserver le triangle du milieu tout en recentrant Fékir à son meilleur poste, soit en duo avec Lacazette. Là où le café du commerce réclamait de tester ce système en préparation, Bruno Ramirez ne s’y est résolu qu’au dernier moment, alors que le calendrier faisait qu’il n’avait plus vraiment le temps de le travailler. Aujourd’hui et après plusieurs défaites, il se complaît dans la position de l’entraîneur victime de la malchance et des barres transversales, sans réellement avoir une explication sur les lacunes collectives de son équipe.
De manière générale, un manque de clairvoyance, de vision et d’expertise tactique se dégage du travail du staff professionnel à l’OL. Le rôle de l’entraîneur dans les principes et les mécanismes de jeu (avec et sans ballon) est trop souvent minimisé par nos propres entraîneurs locaux en France, et l’expression collective des équipes s’en ressent sur le plan européen. La saison de l’OL ne fait que commencer mais le gâchis sportif guette l’OL vu le potentiel technique de l’équipe, qui a bien besoin d’une direction plus précise.
Nous ne sommes qu’en septembre mais les prémices d’une moitié de saison compliquée s’annoncent à l’OL. Jean Michel Aulas avait déclaré courant 2016 : « nous ne ferons pas les mêmes erreurs que l’année dernière sinon ça voudrait dire que nous sommes idiots ». Il semble que le bateau tangue à nouveau, l’OL refusant de faire sa révolution sportive. Est-ce par choix dans une période de transition ? Jean Michel Aulas avait laissé entendre cela sur RMC en déclarant que l’OL n’avait pas besoin d’un grand coach « pour l’instant ». En attendant, cela n’empêche pas la nécessité et la capacité pour le club d’être plus incisif dans sa politique sportive.
C'est une synthèse très complète de la situation compliquée qui pèse sur l'OL.
Aulas prend souvent exemple sur la gestion cadrée du Bayern.
Il ne reste plus qu'à en appliquer les principes au quotidien.
Un long pamphlet avec des interprétations tout à fait personnelles sur certaines situations...
Un discours désabusé et défaitiste.
C'est de toi ? Ça ressemble aux délires de Don Ramon...
En tout cas bravo à l'auteur, une belle plume.
J'adère plus a ton discour que le post precedent qui est un long resumé du debut de saison fortement bien tourné mais un peu defaitiste nous sommes supporter avant tout dans les bon comme dans les mauvais momments.
e
Le Grand Stade de L'OL. pointe finalement du doigt les insuffisances et le manque de cohérence sur le plan sportif.
On a un effectif de talent à part 2-3- exceptions mais avec un coach et un staff pas au niveau,sur le plan de la tactique ,de la prépa physique,et ...psychologique quand on voit ce manque de 'refus de la défaite" sur le terrain.
Souvenons nous :Les années 2004/2006;L'OL possède une des meilleures équipes européennes avec sans doute le meilleur milieu de terrain et une des meilleures défense (3-0 contre le Réal à Gerland,imaginez aujourd'hui!!)
.A l'époque c'est souvent Juni qui finit meilleur buteur du club,avec Govou et Wiltord.
Manque un attaquant de haut niveau qui pourrait nous emmener au moins en finale de la LDC.
Aulas nous ramène du Fred,du Barros, de l'Elber,mais loupe E'too pour quelques dollars de plus?
Du coup,on devra se contenter d'une pauvre demi où L'OL n'aura guère existé contre le Bayern.
C'est là que je veux pointer l'incohérence de Aulas.Comme s'il devait à chaque fois manquer qq chose au club pour devenir grand.C'est rageant!
Mener à bien un grand projet économique en délaissant le grand projet sportif,à quoi bon?
Oui il est complètement perdu
La phrase : " Mais surtout, l’information retentissante de cet été a été l’injection de 100 millions d’euros d’une entreprise chinoise, un apport qui fait grossir le capital de l’OL et n’implique le rachat d’aucune part, Jean Michel Aulas et Jérôme Seydoux voulant garder la main sur leur club." ne me semble pas exacte. Apport ou vente des actions ça ne change rien pour les deux actionnaires, dans tous les cas ils perdent une partie de l'entreprise. En revanche pour l'entreprise elle-même ça change tout, dans l'apport ça augmente les fonds propres et les liquidités.
On est d'accord un stade ne pointe pas du doigt,ni du reste,LOLLL!OK,la phrase est mal tounée.
Je parle d'un GRAND projet sportif à la hauteur du projet économique, avec des recrutements plus ambitieux .Depuis qq temps,je trouve que JMA joue "petit bras"sur ce point.
Heureusement que le président est prudent ! L'argent ne pousse pas aussi vite que la pelouse.
Finalement l'histoire des vermines qui viennent avec la CFA c'est surtout du flanc. Ils doivent avoir moins de titulaires absents que nous.
J'ai vu que c'était la même équipe qui a joué en EL.
"Heureusement que le président est prudent ! "
ah ouais ça ,il est prudent le préz!!...T'ain ce qu'il faut pas entendre!!!!!
OLV C'est vraiment n'importe quoi dans la mesure ou les 100 millions sont affectés à réduire l'endettement c'est le ratio fonds propres sur endettement qui augmente mais en aucun cas les liquidités.
Donc pas de pez à dépenser dans l'immédiat.
Nos problèmes actuels sont plus dus à un manque D envie de Niaque et d'intégration des jeunes.de mise en concurrence de joueurs trop sûrs d'être titulaires aussi.Et on l'a souligné les uns et les autres un Vrai capitaine sur le terrain capable de remotiver Quand ça va mal.
Sur Le bord du terrain et dans le coatching aussi on doit s'améliorer.La qualité on l'a il suffit de bien l'utiliser.