L'Olympique lyonnais n'a pu qu'accrocher le match nul sur la pelouse de l'AS Monaco. Sur un corner, Anthony Lopes a mal jugé la trajectoire du ballon et a permis à Mario Pasalic de marquer.
D'ordinaire irréprochable, Anthony Lopes a commis une erreur et l'a payé cher. Le gardien de l'OL a mal apprécié la trajectoire du corner frappé par Thomas Lemar, et Mario Pasalic ne s'est pas prié pour propulser le ballon au fond des filets, de la tête. Si le club rhodanien a trouvé la faille en fin de match, et a pu ramener un point de la Principauté (lire le compte-rendu), l'international portugais s'en veut pour cette erreur. "Chaque équipe a eu sa mi-temps. Dommage de prendre un but pourri sur un mauvais jugement de ma part", a lâché le portier sur la chaîne du club.
Mais selon lui, l'Olympique lyonnais doit être bien plus constant. Moyens en première mi-temps, bons en seconde période, les hommes d'Hubert Fournier ont une nouvelle fois montré deux visages différents au cours de la même rencontre. Et cela agace Anthony Lopes : "Le message est simple : jouer un match complet pendant 90 minutes. Au Zénith, il faudra le faire pour répondre présent."
C'est sur que c'est le premier responsable sur le but. Mais faudrait peut être arrêter de toujours compter sur les autres pour faire le boulot dans cette équipe. Pourquoi faire des appels de balle et se démarquer? Machin va bien le faire... bah voyons....
Là c'est pareil. Pourquoi sauter au cas où, Lopes va dégager la balle.... Sauf que Pasalic il a sauté, lui... et il a marqué...
Ca parlote, ça parlote, et au moment de jouer ça se regarde le trou de balle. J'en ai marre de toutes ces déclarations hypocrites.
C'est pareil le joueur dit " c'est de ma responsabilité " vous lui crachez dessus, il aurait dit "c'est pas ma faute " vous lui aurez cracher dessus...
Vous êtes tellement énervé que quoi que fasse ou dise un joueur il aura tord, ça en devient hallucinant.
Faute avouée est à demi-pardonnée.
Pour ma part, je pardonne volontiers à Lopes son erreur d'appréciation de trajectoire du ballon, d'autant plus que le bonhomme fait partie de ceux, très rares, qui n'ont rien à se reprocher tout au long des matches.
Il a par ailleurs été l'auteur de sauvetages décisifs dans cette rencontre en évitant à son équipe de prendre un deuxième but qui lui aurait été fatal.
Au final, que lui est-il reproché ? On l'interview, il répond. Point.
Ce n'est pas comme s'il se lançait, à l'instar de certains, dans des épanchements sans fin dans un quotidien sportif.
Critiquer à tout va pour critiquer devient pénible à lire.