Grand Stade : l'Euro 2016 justifie le prix du naming, selon Aulas

Jean-Michel Aulas demande 10M€ par an pour le naming de son stade. Une somme importante que le président lyonnais justifie aisément.

Le Grand Stade de l'Olympique lyonnais devrait être prêt pour le début d'année 2016. Pour l'instant, aucune entreprise n'a obtenu le contrat de naming de l'enceinte ultra moderne du club rhodanien. Jean-Michel Aulas demande 10M€ par an et sait se justifier. "Nous nous sommes alignés sur les tarifs pratiqués au Bayern pour l’Allianz Arena. Notre stade va quand même accueillir l’Euro 2016, la coupe du monde de football féminine et plusieurs autres manifestations mondiales", a-t-il déclaré au Progrès.

Après le naming du futur centre de formation (lire notre article), Jean-Michel Aulas cherche toujours une entreprise prête à donner la somme qu'il souhaite pour son Grand Stade.

7 commentaires
  1. OL48
    OL48 - ven 15 Mai 15 à 19 h 29

    Aulas obtiendra ce montant, mais ce sera une entreprise venant d'un pays où l'argent n'a pas la même valeur que chez nous.
    Il faudra s'habituer à un nom à consonance Arabe, Russe, Coréenne ou Chinoise.

    1. Frimmy69 - ven 15 Mai 15 à 20 h 05

      La Corée du Sud c'est quand même plus cool que les autres pays que tu as cité ! En tout cas un partenariat avec Hyundai m'irait parfaitement, je préfère ça à un Gazprom ou autres par exemple...

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        Slaimer - sam 16 Mai 15 à 12 h 13

        Oui quitte à choisir autant prendre la corée du sud, niveau droit de l'homme c'est sûrement les plus proches de nous ^^

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    Sophiann Taïder - ven 15 Mai 15 à 20 h 40

    Hyundai Arena? Bof...

    1. Frimmy69 - ven 15 Mai 15 à 21 h 30

      Pas forcément dans le nom, mais dans le profil

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    HorreursMusical - ven 15 Mai 15 à 21 h 40
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    Machette De l’Arbre Sec - sam 16 Mai 15 à 23 h 14

    Petite incursion de ma part dans le monde des bisounours. Bonjour! Alors question droits de l'homme à l'étranger (puisque c'est apparement le sel de la vie chez certains) sachez que la Corée du Sud n'a pas de leçon à faire à la Russie ou au monde Arabe. D'ailleurs (toujours au chapitre droits de l'homme) sachez que la France régresse elle aussi comme la neige au soleil, mais passons.

    L'argent est le nerf de la guerre, sans lui nous ne pouvons rien, mais le naming commercial reste une régression terrible. Les clubs de football ont cette particularité merveilleuse de ne pas être tout à fait des entreprises. Ils incarnent plutôt une histoire, un patrimoine. Un truc que partagent les gens entre eux. Et moi de voir une entreprise donner son nom à notre stade me fait pleurer.

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